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© Futuropolis

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La boîte noire
ScénarioBenacquista Tonino
DessinFerrandez Jacques
CouleursFerrandez Jacques
Année2000
EditeurFuturopolis
SérieOne-shot !
Bullenote [détail]

- Que feriez-vous si on vous donnait la chance d'ouvrir votre «boîte noire» ? Là se trouve la clé de votre mémoire secrète. Moi je n'ai pas pû résister...

 

2 avis

cadou
Accidenté, Laurent Aubier est resté quelques heures dans le coma. A son chevet Jeanine, l'infirmière veille sur lui, et note dans un carnet les délires verbaux du malade. Laurent se retrouve ainsi en possession d'une porte ouverte sur son inconscient, une " antenne sur la boîte noire " de son esprit.
Fasciné par ce qui se cachait au plus profond de lui-même, Laurent va entreprendre de renouer les liens de ces souvenirs épars. Mais pour trouver quoi au bout du chemin : rédemption ou déchéance ? Est-il bien nécessaire de vouloir redécouvrir ce que notre conscience a préféré oublier ?

Toujours est-il que cette Boîte noire est bien plaisante à ouvrir : l'intrigue psychologique est bien menée et on suit avec plaisir le chemin initiatique de ce héros aux faux airs de Jacques Gamblin. Le dessin de Ferrandez est joliment maladroit, et comme souvent dans ses albums ce sont les dessins sans traits noirs en couleurs directes qui sont les plus émouvants. Ma seule insatisfaction vient de la fin du livre où la boucle se referme un peu trop bien... De façon surprenante, je trouve cette fin trop carrée, trop bien ficelée. Mais quand le scénario est écrit par un maître du polar, c'est probablement inévitable !
Mael
Futuropolis deuxième époque.
Je pouvais m'attendre au pire depuis que Robial avait totalement quitté la maison d'édition.
Et bien là, j'aurais eu tort.
En effet si cet album aurait pu paraitre chez un autre éditeur il est tout a fait à sa place en dessous du label Futuropolis.
La débauche, autre ouvrage de cette époque, m'avait quelque peu déçu (sans non plus l'avoir trouvé mauvais), la boite noire par contre fut une véritable surprise.
Je ne connaissais et ne connais toujours pas Benacquista autrement que de nom, tout ce que je sais c'est que c'est un auteur reconnu de roman policier. Ferrandez je le connaissais pour ses adaptation de Pagnol et pour les carnets d'orient.
Le dessin donc est très bon, Ferrandez est reconnu pour cela, les couleurs sont superbe, un trait réaliste du plus bel effet et les pages en couleurs directes sans le moindre traits noirs (les souvenirs du héros) sont loin de me déplaire. Un dessin réaliste certes mais avec une vie et un style certain.
Le scénario est à la hauteur de ce dessin ce qui est donc une exellente surprise (pour moi). Une intrigue très bien menée résumée à la perfection par cadou dans l'autre chronique. Je ne ferais pas doublon je suis d'accord avec lui/elle pour l'ensemble de l'album. Par contre cette fin me plait moi. Rien ne nous dit que ça va bien se finir et rare sont ceux qui l'on deviné.
Un bon album policier comme on ammerait en voir plus souvent avec une belle trame psychologique qui est loin d'etre désagréable. Et comme l'indique la phrase de Luis Buñuel préfaçant l'ouvrage : "Il est dangereux de se pencher au dedans"
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