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Qui vole un Titeuf vole un boeuf...

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


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Matthieu, 29.01.2002 à 5:4216083
dans la collec humour librre Zep a aussi participé au collectif "sals petits contes" tome 2

(et en effet c'est bien chez Dupuis)

Thorn, 28.01.2002 à 14:4616041
Zep a fait 2 albums dans la collection Humour Libre (je crois que c'est chez Dupuis) qui sont l'Enfer des concerts et les Filles éléctriques. Moi qui suis pas fan de Titeuf, j'ai vraiment bien rigolé avec ces 2-là ! A quand un autre ???

everland, 27.01.2002 à 14:0415916
Oui c'est vrai que j'ai mis longtemps à recopier cet article du monde :o)))

Dis Matthieu, tu crois vraiment que j'achète le monde tous les jours ? Il s'agissait de la version internet du canard, bien sûr :o) Quand on fait dans le dessin de presse, c'est une source d'inspiration non négligeable, je le visite régulièrement...

Léon le Wacky, 26.01.2002 à 22:5115893
A propos de rock, Zep a aussi publié "L'enfer des concerts", dans la collection Humour Libre. J'en ai lu quelques planches, c'est pas mauvais du tout. :o)

Matthieu, 26.01.2002 à 15:5715881
y'en a qui doivent vraiment s'emmerder le samedi apres midi pour tapper des post aussi long :o)))

everland, 26.01.2002 à 14:2715879
Un article du monde d'hier pour se convaincre que Titeuf est totalement méconnu...


Zep, père comblé de Titeuf
Titeuf, écolier naïf, ronchon, blagueur et sensible aux peurs de l'époque est devenu en huit albums le héros d'une BD culte. Son créateur, Zep, lui ressemble un peu. Portraits.
Il doit avoir une dizaine d'années. L'âge des pitreries de fond de classe. Il est blond, comme Tintin. Pas bien grand, comme Astérix. Et plutôt maigrichon, comme Spirou. Mais ses aventures n'en feront jamais un héros sans failles ni défauts. Titeuf est plus modestement le fils de son époque : il a des baskets rouges et des zéros en maths ; il n'aime pas l'injustice, les épinards et les "sandales à doigts de pied apparents". L'univers des adultes l'attire. Surtout les "gros nichons" des "filles à poil". Sa vie est faite de surprises ("trop mortel !"), de colères ("c'est pô juste !") et aussi d'amour (platonique) pour la jolie Nadia. Du coup, sa scolarité en souffre. "Faudrait savoir, objecte l'intéressé... Ils disent que l'école c'est pour s'épanouir dans la tête... Mais si on nous bourre le cerveau avec des formules de maths et des batailles historiques, y a plus de place pour nous épanouir les neurones... C'est vrai, quoi ! Lâchez-nous le slip !"Ainsi parle Titeuf. Ainsi l'adorent les gamins de France.

L'engouement confine au phénomène de société. Sur la seule année 2001, les huit albums de la série se sont vendus à 1,3 million d'exemplaires ; sans compter le Guide du zizi sexuel (plus de 250 000), un livret éducatif destiné aux 9-13 ans. En novembre 2001, le nom de Titeuf apparaissait neuf fois dans le classement mensuel des quarante meilleures ventes de livres en France, tous genres confondus. Pour le prochain album, programmé en août, les éditions Glénat annoncent un tirage d'un million d'exemplaires. Côté produits dérivés, le gamin à la mèche blonde rafle déjà la mise. Il est partout : à la télévision, en jeu de Gameboy, sur des verres, des cahiers, des agendas, peut-être un jour au cinéma... C'est aussi un citoyen du monde, mobilisé contre les mines antipersonnel au profit de l'association Handicap international.

Bref, voilà bien un héros "overmégamortel". Mieux : "mégagénialtop" ! Dans son univers de fiction, Titeuf a un papa attachant mais irascible. Rien à voir, donc, avec son père de chair et d'os, Philippe Chapuis, alias Zep. A 34 ans, ce dessinateur suisse a le sourire facile des enfants de la BD. La douceur de sa voix dénote un calme à toute épreuve ; sauf, paraît-il, quand il monte sur scène, guitare en mains, avec son groupe de rock, Zep'n'Greg. Le reste du temps, il habite une drôle de maison, pleine de disques et de dessins, dans les environs de Genève. Pour y accéder, le visiteur doit franchir les grilles d'un parc public, emprunter un chemin à flanc de colline, monter, monter encore, s'approcher d'une demeure du XVIIIe siècle, pousser la porte vitrée, gravir un escalier en bois, pénétrer dans une pièce mansardée... Des tables à dessiner, un ordinateur, des fauteuils... C'est là. L'antre de Zep. Le cœur du "Titeufland".

Philippe Chapuis, fils d'un policier et d'une couturière, n'a pas toujours été une star de la BD, chef de file d'une bande de dessinateurs (Buche, Tébo, Tehem...) affiliés, comme lui, au mensuel Tchô !. Son succès, qui lui a également valu d'illustrer le dernier disque du chanteur Jean-Jacques Goldman (Chansons pour les pieds), n'était pas planifié. Il ne doit rien à une quelconque opération de marketing à la Disney. Autrement dit, il y a eu une vie avant Titeuf...

L'enfance, d'abord. Plutôt solitaire, dans une cité genevoise. "Philippe sortait peu jouer avec les autres enfants, se souviennent ses parents. Le sport non plus, ce n'était pas son truc. Il préférait rester à la maison et dessiner. A 5 ans, sur les conseils de la maîtresse, nous l'avons inscrit à des cours. Mais, comme les autres élèves étaient plus âgés, cela n'a pas duré." Le petit continue tout de même de dessiner : des cow-boys, des Indiens, ses camarades de classes... A 8 ans, il remporte des concours de BD. Quand la famille va au restaurant, il emporte ses crayons. En fin de repas, les serveuses demandent à garder la nappe.

Arrive l'adolescence. Entre musique et BD, toujours dans le même quartier. Philippe Chapuis a déjà un surnom – "Zep", en référence aux rockers de Led Zeppelin – mais peu de connaissances dans ce milieu, hors de Genève. A peine entré à l'Ecole des arts décoratifs, il démarche lui-même les employeurs potentiels : fanzines, journaux... "A 17 ans, raconte-t-il, j'ai été engagé par le magazine Spirou, à Bruxelles. C'était le rêve, j'avais l'impression d'être arrivé. En trois ans, je leur ai fourni une centaine de pages d'une série baptisée Victor. Mais, au fond, leur ligne éditoriale ne me convenait pas, il était impossible d'évoquer les sujets de société..."

Le tournant des années 1990 s'annonce délicat. Zep a beau multiplier les allers-retours vers Paris – autre place forte de la BD –, ses projets d'album laissent indifférents. Les éditeurs doutent de son talent. L'humour n'est pas dans l'air du temps. Ses parents l'encouragent, mais sans trop y croire. "Nous pensions qu'il bifurquerait tôt ou tard vers le graphisme", confessent-ils. Le jeune homme gagne à peine de quoi vivre. Il boucle ses fins de mois en confectionnant des affiches pour des partis ou des associations de gauche. "Cette expérience a été très enrichissante, assure-t-il. Ainsi, je me suis fait une conscience politique. Ce travail d'affichiste m'a conduit à m'intéresser à toutes sortes de sujets, par exemple le référendum sur l'abolition de l'armée, en 1989." Il gardera de cette période militante un intérêt marqué pour des causes, évoquées ensuite au fil de son œuvre : l'aide aux demandeurs d'asile ; l'antiracisme ; l'intégration des handicapés...

Titeuf, lui, ne fait son apparition qu'en 1991. Et encore, pas en public : juste dans les carnets de croquis de Zep, des livrets intimes que le jeune dessinateur de 24 ans remplit d'idées, de mots, de dessins, sans nécessairement les soumettre à des professionnels. "J'ai tout de suite senti qu'il se passait quelque chose entre Titeuf et moi. J'ai retrouvé le plaisir de la BD grâce à ce personnage libre de dire merde et non pas saperlipopette. Je l'ai montré à mon entourage. Un fanzine suisse a été le premier à le publier."

En 1992, un exemplaire de ce fanzine traîne chez Glénat quand l'un des directeurs de collection, Jean-Claude Camano, le remarque par hasard. "J'étais à la recherche de sujets en prise avec la société, se souvient M. Camano. Or c'était le cas de Titeuf..." Il faut dire que Zep loue alors à Genève un atelier avec vue sur le préau d'une école primaire ! Les gosses jouent et se chamaillent. Zep observe, écoute, dessine. Des souvenirs personnels, extraits des précieux carnets, viendront nourrir ses gags. Le décor, d'inspiration genevoise, pourrait tout aussi bien être français ou belge. Le monde de Titeuf ignore les frontières. Il est peuplé de copains (Ramon, Manu...), d'adultes un peu "nazes" et de filles incapables de résoudre le mystère des mystères : "C'est quoi, faire l'amour ?"

Ce premier album, intitulé Dieu, le sexe et les bretelles, est tiré à 8 000 exemplaires, en noir et blanc. Il reçoit un très bon accueil en Suisse romande, beaucoup plus mitigé à Paris. Explication de M. Camano, éditeur et ami depuis maintenant dix ans : "Les libraires n'y croyaient pas ni la presse spécialisée. Certains le jugeaient vulgaire, agressif. Progressivement, Zep a trouvé un public, en Suisse puis en France. En 1996, tout s'est accéléré et Titeuf a fini par devenir un héros totémique. Au total, nous devons en être à 4 millions d'exemplaires ! Je n'ai pas souvenir d'un personnage aussi fort depuis vingt ans."

Par quel miracle un gamin timide avec les filles (surtout Nadia) devient-il ainsi un "totem" de l'édition ? "En cassant la barrière entre BD pour adultes et BD pour enfants", suggère Buche, un autre dessinateur genevois, auteur de Frankiesnow, personnage très en vogue chez les préados. Au fil des années, l'album de Titeuf est devenu le cadeau star des anniversaires et des premières boums. Les gosses l'adorent, les parents s'en amusent. Zep, lui, n'a pas changé. Et garde sur la vie un regard de gosse : "Une partie de moi-même n'a jamais vraiment quitté l'enfance et reste attachée à des peurs, des envies, des utopies de gamin. Sur certaines choses, j'ai l'impression d'être assez naïf par rapport aux gens de mon âge. Oui, Titeuf, c'est un peu moi... Aujourd'hui encore, des souvenirs me reviennent. Un jour, ça s'arrêtera et il sera temps de passer à autre chose. Mais, pour l'instant, j'y prends encore un plaisir fou."

Sa compagne, Hélène Bruller, coauteur du Guide du zizi sexuel, confirme cette dimension autobiographique : "Philippe, c'est Docteur Zep et Mister Titeuf. Quand je venais le voir dans son ateler avec un texte pour le Guide, j'assistais à sa transformation. En lisant, il se mettait à rire comme un enfant en pensant au gag qu'il allait en tirer. Chez lui, tout est spontané." Le graphiste Philippe Valott, un ami des temps difficiles, voit là le génie créateur d'un artiste d'exception : "Titeuf est une œuvre ultrapersonnelle, construite autour de mille influences. Vous ne pouvez pas imaginer le doute qu'il y a derrière cette maîtrise technique. Contrairement à beaucoup d'autres, Zep ne se regarde pas dessiner. Il dessine comme il vit, c'est un prolongement de lui-même, et Titeuf n'en est que la pointe émergée. Sa main va toute seule, comme celle d'un écrivain qui écrirait sans arrêt. C'est un besoin chez lui, ses pensées doivent s'exprimer de cette manière, pas autrement."

Zep est ainsi fait qu'aujourd'hui encore il passe son temps à observer. Tout, chez lui, est source d'inspiration : une école, les magasins, un supermarché... Des enfants passent et il attrape au vol une insulte inédite ("connard du cul !"), une expression ("Génial ! Ça va être superkill !"), il "croque" une scène de dispute ou de rires. Un jour, peut-être, il en fera un gag, une tranche de vie tendre ou cruelle, souvent riche de sens. Ainsi, Zep-Titeuf se dévoile peu à peu : naïf, ronchon, blagueur, idéaliste, rêveur, généreux, indigné par la bêtise des hommes, sensible aux peurs de l'époque (sida, chômage, pollution...) mais tout de même heureux d'avoir dix ans. Quand un conseiller d'orientation lui demande : " Et toi, alors... ? Qu'est-ce que tu aimerais faire quand tu seras grand ?", le pauvre en tremble d'effroi : "Heu... je dois obligatoirement grandir ?"

Matthieu, 26.01.2002 à 11:5315872
juste pour info, Titeuf 8 est la 10eme meilleur vente de BD pour decembre alors qu'il est sorti y a pas mal de temps.
pareil pour le guide du zizi sexuel qui est 4eme

manu, 24.01.2002 à 15:5215762
C'est tellement pas connu chez nous qu'il en mettent dans les carambars pour faire de la promo :o)

Léon le Wacky, 23.01.2002 à 21:1015714
Joe, faut ajouter : "Tchô, monde cruel!"

Joe, 23.01.2002 à 18:4215708
Joe, le dernier Titeuf a été publié à plus de 500 000 exemplaires... Je veux bien croire que la Belgique est le berceau de la BD, mais de là à ce que les Belges achètent la totalité du stock, ça serait quand même pousser le bouchon un peu loin.

Je signale juste que certaines séries rencontrant un franc succès dans certains pays et des bides totaux dans certains autres, fussent-ils limitrophes... Par exemple Les bidochons et ibicus font des ventes ridicules en belgique, et inversément bob et bobette se vend comme des petits pains dans le plat pays, pour deux-trois exemples. Et il n'est pas si rare que certains séries laissent indifférents certains pays, sans qu'on puisse y trouver quelconque raison, d'où ma question originelle quant où succès possible de Titeuf en France.

Pour ce qui est du succès en Suisse cela ne coule pas forcément de source, nul n'étantbien souvent prophète en son pays...

Sur ces belles et grandes paroles, tchô!:o)))

everland, 23.01.2002 à 15:5815702
warf... sexy zap... que de bons souvenirs :o))))) (quoi... euh, non, j'ai rien dit :o)


Bon bin moi j'ai j'amais lu que quelques planches de Titeuf et à chaque fois je les trouve excellentes. Ca fait plusieurs fos que je suis à deux doigts d'en prendre un d'ailleurs, ça va bien finir par m'arriver.

Bon, maintenant si on en parle pas tant que cela bin euh... ça veut pas dire que personne connait. C'est tout simplement la série récente qui se vend le mieux en BD devant Lanfeust. la seule qui tienne vraiment le choc face à Astérix, Lucky Luke ou Blake et Mortimer. C'est mérité.

crepp, 23.01.2002 à 15:0115699
Tu as raison Léon,c'est la première chose qui me soit venue à l'esprit à la vue d'une photo de Manu!! ;o))

Léon le Wacky, 23.01.2002 à 14:4315697
Définition du préservatif : c'est comme un gros capuchon et ça se met dans le ventre de la maman, comme ça, le bébé, il peut plus respirer. C'est dans Titeuf qu'on apprend ces choses-là, si, si... Comme quoi c'est instructif, les BD.

manu, 23.01.2002 à 14:1215694
Ha fallait que tu la ramènes, Léon :o))

Léon le Wacky, 23.01.2002 à 14:0815693
A propos, je me souviens tout d'un coup que le copain de Titeuf, celui avec le gros nez, les lunettes de miro et, ça va sans dire, l'air un tantinet demeuré, s'appelle Manu. :o)))

manu, 23.01.2002 à 7:5615642
Hop, une planche ici. (c'est la planche accompagnant la fiche de l'album... ça sera donc la seule, of course ;o))

Léon le Wacky, 23.01.2002 à 7:1915637
Pas grand-chose à ajouter, sinon que j'aime beaucoup Titeuf, dont les dialogues m'amusent énormément, et qu'effectivement, je trouve ça meilleur que le petit Spirou... ou Quick et Flupke. :o))))
Mon insulte titeufienne préférée : "T'es qu'un pôv' connard du zizi sexuel!" :o))

Joe, 22.01.2002 à 20:4215609
Euh je signale que c'était pour simple information, n'ayant jamais entendu parler de titeuf tant ici, sur le t'chat que sur Bdisio, il y avait de quoi se poser des questions non?

A moins que l'évidence que c'est tellement bien ne vous laisse mot dire...

C'est pô juste...

Deck, 22.01.2002 à 20:3515606
Joe, le dernier Titeuf a été publié à plus de 500 000 exemplaires... Je veux bien croire que la Belgique est le berceau de la BD, mais de là à ce que les Belges achètent la totalité du stock, ça serait quand même pousser le bouchon un peu loin.
Oui, Titeuf cartonne en France, comme il cartonne en Belgique, en Suisse (ça serait le comble pour Zep que cela ne marche pas chez lui...), au Québec... C'est devenu un véritable phénomène commercial, que je déguste de temps à autres sans déplaisir :o)

manu, 22.01.2002 à 20:2615602
Titeuf, c'est mon ptit bonhomme préféré, loin devant le petit spirou et cie.
Un humour qui fait mouche à chaque fois, avec même de la cruauté dans certaines planches. Un régal que je suis depuis quasi le premier album.

Tchô, les p'tits zizis :o)

frads, 22.01.2002 à 20:1815601
Joe, jtexplique: oui titeuf existe en france vu que glénat est un éditeur français. :o)
Perso, oui, j'aime bien titeuf meme si g jamais bcp lu ces bds (une tite planche de tps en tps). Les DA, c'était bien aussi, quoique un peu plus léchés, mais bon, on pouvait s'attendre à nettement pire. Vivement les Petit Vampire en DA, tiens, tant qu'on y es.

Tcho!

Joe, 22.01.2002 à 20:0315597
Bon oki okiiii, ça reste à prouver....quoique:o)))


Bon bin un 'ti sujet parce que cette série et ce perso m'ont l'air fott méconnu en ces lieux d'éruditions bédéphiles et qui font pourtant un tabac (mérité) en librairies (belges en tout cas).
Voilà bien l'une des séries actuelles qui me fait le plus marrer, trèèèès loin devant le Petit Spirou et consorts...Titeuf c'est frais, original et trèèèèès actuel:)

Bon on dit qu'on peut les commencer vers 10-12 ans, pourtant moi je trouve pas ça piquer des hannetons du tout, m'enfin, je dois avoir un décalage certain avec ces mômes-là aussi:-)))

Alors, Titeuf existe en France? Marche en France? Vous connaissez, aimez? adorez?:))

Bref, si vous n'en avez jamais lu: à courir acheter tellement que c'est excellement hilarant!

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