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| Big Johnson Bone contre les rats-garous |
L'action se situe bien des années avant les événements contés dans la série « Bone ». A cette époque, quand le monde était un endroit sauvage plein de mystères et de dangers, seuls quelques rares individus osaient s'aventurer dans les vastes contrées inconnues. Parmi ces grands personnages, dont le nom et les exploits sont entrés dans la légende, figurent des hommes tels que Pecos Bill, Davy Crockett, ou encore... Big Johnson Bone ! |
  petitboulet
| Big Johnson Bone contre les rats garous est le premier hors-série de la saga Bone. Il retrace une étape de l'histoire du fondateur de Boneville et ancêtre des cousins Bone, Big Johnson Bone.
Dans cette histoire Big Johnson Bone arive dans la vallée que nous connaissons bien (enfin si l'on a lu la série Bone précedemment...) et trouve maille à partir avec les rats garous qui peuplent cette valée. Big Johnson Bone va rencontrer une floppée de personnages plutôt pas mal fichus, depuis le dragon handicapé (il ne peut pas cracher de feu) jusqu'à la reine des rats-garous, énorme et coquette...
Cet album est placé résolument sous le signe de l'humour, les gags s'enchainent à un bon rythme,le dessin de Jeff Smith nous ravit toujours et on ne s'ennuiera pas. Néammoins, on ne peut cacher une légère déception, dûe au sentiment d'être en face du premier album de l'univers Bone qui soit dispensable, parce qu'un brin anecdotique. Il n'apporte pas grand chose à l'univers, les gags sont bons mais sans plus, même si certains passages peuvent rappeler la dantesque course de vaches...
Bref s'il y a un album de l'univers de Bone dont vous vous passeriez, ce serait celui-là, pas un mauvais album, juste un album de plus... |
nepenthes
| Nous voici bien avant la saga Bone, à la découverte du premier contact de la famille Bone (l'ancêtre Big Johnson Bone) avec les rats-garous dans la vallée que l'on retrouvera plus tard.
Certes, ce n'est pas indispensable mais c'est un très bon moment à passer, surtout après avoir dévoré Bone. On y retrouve avec beaucoup de plaisir le graphisme très riche de Jeff Smith, contrasté entre Bone, très simple et quasi Disney, et les autres protagnistes, animaux de tous genres et tous ages, superbement saisis.
Au niveau scénario, beaucoup de bonheur aussi avec ce Bone dont on sent bien l'emphase et la mythomanie maladive que l'on retrouvera un peu dans Phoney Bone et puis la stupidité jubilatoire des rats-garous... dont on apprend à l'occasion l'origine d'un de leurs rites corporels. Beaucoup de plaisir aussi avec le personnage du Dragon non-cracheur de feu.
Alors, au final presque un coup de coeur, parceque la magie de Bone continue à opérer avec ce hors série sans prétention. |
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