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Jagger et le Rock ? Non ! C'est un autre Mick, et maousse lui aussi. C'est Mickey !

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


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lanjingling, 29.12.2018 à 2:42370891
Il y a un peu l'aspect méchant et cruel des premiers Mickey, cet album aurait quasi pu être fait identiquement en 1936, c'est assez malsain, j'aime bien.

Le PBE, 01.07.2016 à 14:10362662
Herbv :
J'irai, mais j'en attends rien de bon, les expos d'Art ludiques sont chères et peu intéressantes.

Hors-sujet: Quelqu'un est allé voir celle du moment sur les studios Blue Sky ? (recherchde d'avis pour visite potentielle avec enfants de 4, 7 et 40ans)

Le PBE, 01.07.2016 à 11:25362661
Il aura aussi une expo « Mickey vu par... " à Quai des Bulles
(cela fait un bout de temps que je n'y suis pas allé, mais - oyez oyez, qu'on se le dise - cette année : petit week-end malouin)

lanjingling, 17.06.2016 à 3:08362534
Pierre :
crepp :
pour octobre 2016, une expo sur "Walt Disney le mouvement par nature"

Glop glop !

Il y a un certain cousinage, en effet

Herbv, 16.06.2016 à 21:05362532
J'irai, mais j'en attends rien de bon, les expos d'Art ludiques sont chères et peu intéressantes.

Pierre, 16.06.2016 à 20:06362531
crepp :
pour octobre 2016, une expo sur "Walt Disney le mouvement par nature"

ici


Glop glop !

crepp, 16.06.2016 à 19:20362530
pour octobre 2016, une expo sur "Walt Disney le mouvement par nature"

ici

Pierre, 05.05.2016 à 7:37362204
Claude Marin est un inconnu pour le grand public mais il est illustre auprès de ses pairs. Au détour des interviews, nombreux sont ceux qui font référence à son travail. Son oeuvre pour Disney (pas signée de son nom mais elle l'est par son style reconnaissable - l'anonymat il l'a connu toute sa vie) représente les quinze dernières année de sa carrière, si je ne dis pas de bêtise. Avant de se consacrer quasi exclusivement aux Bébés Disney, il a animé Mickey et Dingo (avec Pat Hibulaire, le Fantôme noir), dans de nombreux récits au début des années 80 (et même quelques histoires avec Donald et Picsou). Il a même fait école au sein du Journal de Mickey, Gen-clo dessinait dans son style - en moins bien. Les scénarios étaient assez convenus, mais la griffe Claude Marin mérite d'être célébrée pour elle-même: dynamisme, élégance, poésie ... Si au détour d'une case, vous repérez un hibou en ombre chinoise au clair de lune, pas de doute, c'est un dessin de Claude Marin !

En consultant le lien du PBE ci-dessous, je vois que les éditions du topinambour continue leur entreprise d'édition avec des bds de la première partie de son oeuvre, c'est très louable. J'ai encore dans ma bibliothèque une dizaine de recueils de revues années 50 farcis de pages de Claude Marin, que je feuillette de temps à autre et si l'inspiration dans cette production pléthorique, n'est pas toujours au rendez-vous et que l'ensemble est marqué par l'époque, la fraîcheur et la sincérité y sont toujours intactes.

Mr_Switch, 04.05.2016 à 18:28362201
Claude Marin est généralement cité comme le créateur de la série.
Inducks présente Marin comme le dessinateur du premier gag de la série. C'est d'ailleurs une série vraiment européenne, si ce n'est française.
Mais Mickey a été vu bébé avant de la série existe.
Et Disney a utilisé des Bébés Disney pour orner du matériel de puériculture. D'autres Bébés Disney que ceux de Marin, mais ça reste des Bébés Disney.

Le PBE, 04.05.2016 à 14:31362196
Pierre :
(A noter, au détour d'une case: un sympathique hommage aux "Bébés Disney", création du Français Claude Marin pour le Journal de Mickey dans les années 80)

Hasard de calendrier, les éditions Taupinambour viennent de sortir une aventure d'Eva de Claude Marin. J'en profite pour compléter un peu sa biblio, dont deux albums des Bébés Disney. clic
(pour précision et si j'en crois une recherche rapide, même si c'est en France et sous la plume de Marin que les Bébés Disney se sont épanouis, le ''concept'' est né aux USA)

Pierre, 02.05.2016 à 17:02362186
Eh bien tant mieux ! J'ai l'impression qu'on est passé à côté de ce bouquin et c'est dommage, alors même que le Trondheim est toujours en vitrine des librairies spécialisées avec épinglé dessus "le coup de coeur de votre vendeur" (assorti d'arguments du niveau de celui relevé plus bas).

lanjingling, 30.04.2016 à 15:11362168
Pierre :
Acheté sur les conseils de mon libraire à qui je venais de faire part de ma déception quant aux bouffonneries vaines de Trondheim et Kéramidas (à ce propos, entendu à Amiens, librairie Bulle en stock, un libraire à un client: "Kéramidas tu connais pas? Kéramidas: c'est un tueur" (sic), summum de la connerie en matière de jugement critique).

A première vue, ça ne paie pas de mine. On feuillette l'album: ça a l'air un peu statique et gentillet, et pourtant... Cela se révèle une véritable réussite, à plus d'un titre. Réussite au point de vue de l'esthétique, de la narration et de la signification. Tandis que Trondheim dans une tentative similaire ne parvient pas s'élever au-delà du discours creux de l'hommage faussement irrévérencieux, Cosey lui se réapproprie le mythe pour le fondre dans son univers propre, et cela afin d'esquisser une réflexion sur la création artistique. Il y a tout un réseau qui se met rapidement en place et fait sens avec une économie de moyens, un absence d'effet qui sont admirables.

L'argument est apparemment mince: Mickey à sa table de travail rédige un scénario qu'il s'en va ensuite soumettre à un producteur à Los Angeles. La confrontation du créateur avec l'homme d'argent vient interférer dans son processus créatif, et le perturber ("le public attend ceci, réclame cela"... "Prenez donc exemple sur Shakespeare..."). Le voyage du retour en train donne à Mickey l'occasion de s'éprendre d'une belle et mystérieuse personne qui va occuper ses pensées cependant qu'il se remet à l'ouvrage en tâchant de satisfaire aux exigences du public.

Les personnages évoluent dans un univers qui est celui de Cosey (avec ses codes graphiques et narratifs: grandes cases, compositions aérées, schématisme, ellipses, monologue intérieur, concision des textes, couleurs en demi-teintes) mais dont les références sont celle d'un Mickey des origines, d'avant sa transformation en phénomène culturel, installé dans une Amérique idyllique des années vingt immortalisée à la veille de la grande Crise (à relever, un rigoureux travail de cohérence dans l'emploi des noms anglo-saxons pour les arrières-plans, avec lesquels le contenu des bulles en Français semble dissoner exprès, comme si l'on avait affaire ici à une version doublée - ce travail est seulement gâté par la présence regrettable d'une bévue: "dilemne" écrit au lieu de "dilemme") .

Le thème central de cet album est donc la création. Mickey y incarne la figure de l'auteur dont on voit le travail soumis à différentes interactions: la sensibilité propre de l'artiste (ce sur quoi le verse son penchant naturel) doit s’accommoder des exigences de l'éditeur mais est aussi brouillée par les états d'âmes, les sentiments du moment (ici amoureux) qui l'habitent. De tout cela, émergera finalement une oeuvre originale.

Il y a ici une mise en abyme subtile (rendue possible par la vacuité inhérente au personnage de Mickey - comparable à celle de Tintin ou Spirou - et l'univers codifié et familier au lecteur dans lequel il évolue) qui permet d'y projeter la figure d'un créateur qui pourrait tout aussi bien être Walt Disney que Cosey lui-même. Les poncifs utilisés (la belle inconnue, le quiproquos, la découverte de "l'affaire du siècle"...) sont détournés de façon à montrer qu'ils peuvent être producteur de sens, en dépit de leur usure: c'est leur mise en ordre qui crée la singularité, ainsi que la sincérité du propos qui confère la profondeur et cette vérité dont le travail de Trondheim est dépourvu.

Quand Trondheim raille les "cités perdues" et autres chasses au trésor qui peuplent les histoires des Mickey Parade, il s'en tient au ricanement bête et ne produit rien; Cosey dans son approche est plus pertinent. Dévoilant in fine la nature de la fameuse "affaire du siècle" (un prétendu manuscrit perdu et inédit qui obnubile et égare le personnage de Dingo), il brocarde la vanité des espoirs qu'elle contient, mais il nous suggère aussi que l'intérêt réside davantage dans le renouvellement de la forme (ce à quoi s'est attelé Mickey) que dans la recherche chimérique d'une énième pièce de Shakespeare (l'inédit et le "à la manière de" ne sont-ils pas deux des travers où se complait la frilosité des entrepreneurs en édition?). De la même manière, la révélation du personnage de Minnie (argument de l'album) tord le cou aux clichés sexistes qui abondent dans la littérature populaire et justement illustrés jusqu'ici par l'éternelle fiancée de Mickey, en imposant cette fois un personnage féminin crédible, au caractère affirmé.

Dans le contexte a priori le plus contraint qui soit, Cosey réinvente Mickey (figure emblématique d'un empire financier, d'une idéologie, d'une vision du monde) donnant une oeuvre atypique et intemporelle, où la réflexion personnelle est empreinte d'une indéniable poésie.

(A noter, au détour d'une case: un sympathique hommage aux "Bébés Disney", création du Français Claude Marin pour le Journal de Mickey dans les années 80)

Tu décris bien dans ton avis ce que j'aime retrouver chez Cosey, avec une pique de curiosité en plus (Cosey et Mickey, c'est une association pas évidente a priori); cet album fait maintenant partie de mes fortes attentes .

Pierre, 31.03.2016 à 11:53361905
Je voulais me fendre d'un avis sur cet album, mais Rohagus l'a fait pour moi:





Rohagus :
J'attendais un peu mieux de cet album. Il comporte des choses que j'ai beaucoup aimées ; mais j'en ressors quand même légèrement déçu.

D'emblée, j'ai apprécié cette idée de faire croire au recueil de planches antiques retrouvées par hasard par les auteurs. Le travail éditorial et visuel pour donner un aspect vieilli et abîmé aux pages est très beau et fonctionne parfaitement avec le graphisme de Keramidas qui pourtant contraste avec son trait plus moderne et plus fantaisie. Et l'idée que toutes les planches n'ont pas été retrouvées et qu'il en manque dans l'album permet des ellipses bienvenues, autorisant les auteurs à se focaliser sur les moments d'action et d'humour principaux sans s'embarrasser de transitions parfois compliquées. J'ai retrouvé au passage les émotions que je pouvais ressentir quand je lisais des séries à suivre dans des journaux comme Mickey, Spirou ou Tintin sans avoir tous les épisodes et que j'imaginais les événements intermédiaires.

L'intrigue en elle-même n'est pas intéressante. C'est une grosse course-poursuite où, à la manière des vieux récits d'aventure du début du XXe siècle, les héros parcourent le monde vers des lieux parfois complètement exotiques ou imaginaires.
Mais c'est avant tout un prétexte à aligner des gags en une planche, se suivant plus ou moins, exercice dont Trondheim est un grand adepte. Ces gags, s'ils ne m'ont pas trop plu pour les premières planches, m'ont vraiment fait rire à d'autres moments. C'est un peu inégal mais parfois très bon.

En définitive, Mickey's Craziest Adventures est un bel album, tant physiquement avec son papier épais et sa couverture toilée, que graphiquement avec le dessin de Keramidas et le travail de vieillissement des planches. C'est aussi un bel album dans l'idée de faire revivre l'ambiance des récits d'aventure du début du XXe siècle et de l'univers de Walt Disney tout en leur donnant une touche indéniablement moderne et second degré. Mais le rendu final est un peu trop inégal en terme d'humour et trop peu marquant en terme d'intrigue elle-même pour que je sois complètement tombé sous le charme.


Rien a ajouter.

NDZ, 10.03.2016 à 13:32361733
Hé bien moi ça m'a PLUTO plu. Plus d'une blague sur quatre m'a vraiment fait sourire, ce qui fait dix sourires... Mais le grand plaisir que j'ai surtout trouvé à ce "recueil", c'est aussi de voir l'aboutissement d'une idée de Trondheim qui devait être développée dans un Donjon : un best-of qui devait balayer les différents porteurs de l'épée du Destin, avec des hitoires courtes dessinées par différents auteurs, il me semble. En tout cas, c'est clairement une belle appropriation de l'univers Disney par LT. Keramidas est plus qu'efficace (là il ne laisse pas trainer une épée à un porteur qui ne devrait plus l'avoir). Agréable, voilà tout, pour un album à "grosse visée commerciale". En tout cas, chez moi, les enfants adorent.

Pour celui-ci, c'est moins évident. Des choses sympas, d'autres franchement ennuyeuses (pas forcément ratées, mais qui font bailler). Ne casse pas trois pattes à un canard, ou cinq à une souris. Les enfants adorent toujours.



Si le but c'était de draguer les trentenaires pour qu'ils achètent du Mickey à leurs progénitures, Glénat a réussi son coup: mes deux grands me réclament désormais les recueils historiques des aventures à Mickeyville & Donaldville.

crepp, 07.03.2016 à 15:36361708




Oui c'est beau, oui c'est amusant parfois, mais c'est quand même très répétitif.
Les deux points positifs: Cette idée des pages en moins qui laisse l'imagination aux lecteurs, et la réussite de Donald. Mais j'ai quand même déjà oublié la lecture.
2 Pièces d'or.

Mr_Switch, 02.03.2016 à 18:33361663
Jacques Glénat était invité dans les 5 dernières minutes du JT de 13h de France 2, hier.

Pierre, 02.03.2016 à 17:44361662
Mr_Switch :
Romuald Reutimann avait proposé ceci :


Là on est clairement dans la continuité du Mickey de l'âge d'or de Gottfredson (en gros du début à la fin des années 30). On est dans le plus pur pastiche, ce qui me fait douter de l'intérêt d'une telle entreprise sur la longueur tellement cela ressemble au Astérix de Conrad et Ferri ou au Blake et Mortimer de Ted Benoit et van Hamme. Mais voilà qui me donne envie de me replonger dans la fraîcheur naïve de ces strips réellement captivants (Ah ! Mickey agent secret, Mickey sosie du roi, Mickey et le gangs des plombiers...).

Mael, 02.03.2016 à 14:56361660
J'ai lu le Cosey et le Keramidas/Trondheim.

Pour le premier je ne suis pas un fan de Cosey à la base, je l'ai trouvé plutôt agréable, le ton très doux, avec une couleur directe rendant un dessin plutôt maladroit joli (le terme est vraiment celui-là). Il ne révolutionne rien mais navigue habillement entre l'hommage, les références, et une histoire lisible facillement.


Pour le Kermidas/Trondheim j'y allais avec un avis très négatif d'Allister Baudin. Graphiquement c'est plutôt bien et le choix narratif amusant : on est sensé être sur 44 pages d'une aventures bien plus longue dont il manque des pages. Du coup l'histoire saute du coq à l'âne entre différents topoï de l'aventure feuilletonesque à toute bringue (la jungle, les cités sousterraines - runing gag - ou sous marine, le savant fou, les dinosaures...). Mickey et Donald recherchent l'argent de Picsou, pour des raisons différentes, c'est un coup conjoint des Rapetous et de Pat, armé d'un pistolet réducteur volé à Géo. J'ai trouvé que ça fonctionnait plutôt pas mal, qu'on retrouvait les tics trondheimien embêtant (ces références à l'hygiène me semblent presque des passages obligé pour marquer son style en clin d’œil avec le lecteur) mais que curieusement ça fonctionne tout en étant lassant. Je l'ai lu en entier, mais n'ai pas vibré ni trouvé ça particulièrement intéressant.

crepp, 02.03.2016 à 14:16361659
des avis sur le Cosey et le Keramidas/Trondheim ?

Je n'arrive pas à savoir s'ils ont pu mettre quelque chose à eux dans les histoires, où si Disney limitait la chose, car graphiquement ça a l'air pas mal du tout.

Mr_Switch, 02.12.2015 à 18:58360114
Parmi les éditeurs bd français faisant du Disney, il y a encore Pika (groupe Hachette, d'ailleurs). Bien sûr, c'est un peu particulier.
Adaptations des Kingdom Hearts (avec Donald, Dingo, ponctuellement Mickey, etc.), de certains films ou univers.

Mr_Switch, 02.12.2015 à 17:16360113
Romuald Reutimann avait proposé ceci :

lanjingling, 02.12.2015 à 15:08360112
Trondheim sur son tumblr en juin dernier avait mis un Donald par Loisel, qui n'avait graphiquement rien à voir avec ceux de Disney; par contre ici son Mickey se fond parfaitement dans l'univers Mickey, tout en gardant la patte Loisel. C e projet m'attire beaucoup.

Mael, 02.12.2015 à 14:13360111
J'avoue que j'étais surtout pour les Disney "classiques" sur ce sujet, mais chacun en fera bien ce qu'il veut.

Il était surtout motivé pour moi par la collection de Mickey inédit réalisé par des auteurs divers que Glénat lance, un peu à la manière des "Spirou par..."

En mars paraitront deux Mickey, l'un par Trondheim et Kéramidas et l'autre, plus surprenant, par Cosey.

En septembre deux autres paraîtront, signés Tébo et Loisel.

Là encore on trouve un auteur plus "évident" et un plus surprenant.

Aujourd'hui Loisel a révélé quelques extraits de son album, qui se déroulera durant la Grande Dépression et souhaite rendre un hommage direct au Mickey de Floyd Gottfredons, que ce soit dans le graphisme, la construction en strip ou l'esprit (Mickey cherche du boulot avec Horace puis part faire du camping et se la couler douce, sautant d'une action à l'autre, etc.).

Je ne suis pas un fan de Loisel (tout en ayant lu ses bouquins avec plaisir) mais je trouve ça assez beau.

Interview et extraits ici.,



Mr_Switch, 02.12.2015 à 13:55360110
Alors, on rappellera que c'est Hachette qui est le précurseur de la bande dessinée Disney en France (bien avant Guerre). (Livres non encore dans la base. C'est prévu mais pas pour tout de suite. L'année prochaine, sans doute)

En librairie, Dargaud a aussi une assez grande expérience Disney (jusque dans les années 2000).

Depuis quelques années, c'est Glénat qui a le gros de la licence classique (Mickey et cie).
Hachette a les licences des adaptations de films et séries télé. D'abord très ponctuelles, les sorties Hachette se sont intensifiées à nouveau depuis l'année dernière. Hachette le retour !

Enfin, n'oublions pas Delcourt qui publie en ce moment une version Disney de la saga Star Wars.


Pour conclure, je rappellerai que les bandes dessinées Disney que nous avons en Europe ne sont pas forcément des comics, pas forcément issues des USA. Le plus souvent, c'est italien. C'était vrai pour les Mickey autrefois, c'est vrai pour les adaptations des films Disney de nos jours. (On peut se demander si certaines bandes ont même connu une publication outre-atlantique)

lanjingling, 02.12.2015 à 13:48360109
Marvel appartenant à Disney, c'est donc ici que l'on en parlera ? C'est somme toute cohérent, les super-héros se baladant souvent en slip ou collant, et le Mickey des origines n'était vétu que d'une culotte courte (et de gants)

Mr_Switch, 02.12.2015 à 13:36360108
Mael réclame :
Un sujet, puisqu'il n'y en a pas et qu'il y a des connaisseurs ici, sur Mickey, mais aussi sur les autres productions Disney.

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