| 
créer | pseudo  mot de passe  |  
 
sujet
 
coin bordure coin
bordure BullActu

Les Grands Prix
bordure
coin bordure coin

coin bordure coin
bordure Chroniques

par herbv


par pikipu
bordure
coin bordure coin

coin bordure coin
bordure Planche
bordure
coin bordure coin

coin bordure coin
bordure MonoChat
10524
e m
bordure
coin bordure coin

 
coin bordure coin
bordure

Un double Ricard et un Gaultier

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


retour forum
Pages : 1 - 2 - 3 - 4

Sylvain Ricard, 12.09.2006 à 16:06263660
tobal(cris) :
Tiens, ben Cubik tu leur diras de notre part que si ils veulent nous inviter pour une dedicace , nous sommes partants !
Je pense que Sylvain ne démentira pas.


En effet.

cubik, 27.08.2006 à 13:05262340
ok, je transmestrais :)

tobal(cris), 27.08.2006 à 12:02262331
cubik :
ben de celui pour lequel a été ouvert le sujet, Clichés Beyrouth




Tiens, ben Cubik tu leur diras de notre part que si ils veulent nous inviter pour une dedicace , nous sommes partants !
Je pense que Sylvain ne démentiras pas.

frads, 27.08.2006 à 10:47262327
Tain ça c'est fou que ce sujet soit remonté... Cette nuit j'ai rêvé (allez savoir pourquoi o_O ) que y'avait une sorte de pub de solidarité en pleine page dans le "Metro" (le journal gratos) pour ce qui se passe au Liban et que y'avait un visuel de l'album Clichés, Beyrouth en haut à droite...

zewed, 27.08.2006 à 9:06262325
cubik :
près de 2 ans après sa sortie, à noter qu'il est toujours mis en avant chez Brusel, parmi les nouveautes et avec un ptit carton disant le bien qu'ils en pensent :)


Ils surfent pas sur l'actualité chez Brüsel !

cubik, 26.08.2006 à 19:38262314
ben de celui pour lequel a été ouvert le sujet, Clichés Beyrouth

THYUIG, 26.08.2006 à 19:30262313
cubik :
près de 2 ans après sa sortie, à noter qu'il est toujours mis en avant chez Brusel, parmi les nouveautes et avec un ptit carton disant le bien qu'ils en pensent :)


cubik, de quel album tu parles ?

cubik, 26.08.2006 à 19:13262311
près de 2 ans après sa sortie, à noter qu'il est toujours mis en avant chez Brusel, parmi les nouveautes et avec un ptit carton disant le bien qu'ils en pensent :)

lanjingling, 01.02.2006 à 15:28240630

pas encore lu, mais je tiens a preciser que moi aussi, a 10 ans, l'ete, je me promenais en maillot de bain & sandales en plastoc (c'est comme ca qu'on disait "caoutchouc"), par contre, je n'ai jamais aime cloclo-mais je ne vais pas non plus etaler ce que j'ecoutais a l'epoque, j'attendrais quelques annees encore qu'il y ait prescription...:o)

niaf, 31.01.2006 à 15:11240450
La joie du Christ !!!

Max, 31.01.2006 à 15:09240448
Il faut que je lise l'album tiens, histoire de comprendre enfin la dédicasse de monsieur Ricard ...

niaf, 31.01.2006 à 15:00240447
Pour ceux qui ne visitent pas le sujet du webzine W'art :
quelques pages du dernier numéro sont consacrées à Clichés Beyrouth 1990 ainsi qu'à ses auteurs.
Retour sur cette BD, témoignage essentiel même 16 ans après le séjour des 2 frères.
(par Cubik et Frads)

wartmag.com

J-C, 04.01.2006 à 16:01236484
bonne année mossieur Ri(kiki)card :-))

Sylvain Ricard, 04.01.2006 à 15:59236483
Liban : la secte des habashs en première ligne dans l'assassinat d'Hariri
Deux membres de cette secte sunnite, inféodée à la Syrie, sont emprisonnés
dans le cadre de l'enquête sur la disparition de l'ancien premier ministre
libanais.

Georges Malbrunot
[03 janvier 2006]

Dans l'assassinat de Rafic Hariri, les habashs ont joué leur partition
favorite : celle de fidèles indics du régime syrien. A 11 h 42, quelques
minutes avant l'attentat, leur responsable des relations publiques, Cheikh
Ahmed Abdel-Al, téléphone à Jameh Jameh, le chef des agents syriens dans le
quartier des grands hôtels, où le convoi d'Hariri sera visé. Il récidive à
18 h 14, 20 h 23, puis à 20 h 26.

«En bon exécutant, Abdel-Al va aux consignes, il veut savoir ce qu'il doit
faire», constate un policier libanais. «Aucune autre personne n'est liée à
autant d'aspects de l'enquête», accuse le rapport du procureur Detlev
Mehlis, qui braque les projecteurs sur cette mystérieuse secte sunnite. Ses
racines plongent en Ethiopie, où son chef Abdullah al-Habashi naît en 1920.
Il sera expulsé en 1947 en Arabie saoudite, et s'installera trois ans plus
tard à Beyrouth. En 1983, les habashs prennent le contrôle de la Jam'iyyat
al-mashari al-khairiyya, la «Société des projets philanthropiques
islamiques». Un faux nez pour étendre leurs activités sociales ou
éducatives, dans les milieux défavorisés.

Leur vision syncrétique de la religion, dans laquelle se mêlent dogmes
sunnites et spiritualisme soufi, les place en opposition avec les autres
groupes musulmans, qu'ils soient sunnites, comme les Frères musulmans ou les
wahhabites, ou chiites, comme le Hezbollah. Dans le Liban déchiré par la
guerre civile, les 3 000 habashs sont esseulés. «Ici, la loi n'existe pas,
si vous n'avez pas une couverture, vous êtes fichus», explique un de leurs
membres, Moyyedine Shami, jeune prothésiste dentaire formé en France, qui
justifie sans vergogne leur ralliement aux Syriens. Damas accepte de les
protéger. Mais en échange, ils doivent coopérer.

La secte se transforme peu à peu en une officine des services syriens. Selon
un ancien général libanais, ces derniers vont les utiliser «comme un réseau
pour faire peur aux sunnites de Beyrouth, de Tripoli, à Hariri, bref à tout
sunnite qui pouvait faire de l'ombre à leur tutelle, et créer un mimétisme
auprès de la majorité sunnite syrienne». Les habashs vont jouir de contacts
à un haut niveau dans l'appareil étatique prosyrien, comme le montrent
d'autres appels téléphoniques d'Abdel-Al à Moustapha Hamdane, chef de la
garde présidentielle, à Ali Hajj, patron des Forces de sécurité intérieure
(FSI), et à Raymond Azar, à la tête des renseignements militaires. Autant de
responsables, aujourd'hui sous les verrous aux côtés d'Abdel-Al, pour leur
implication dans le crime.

Grâce à leurs appuis, les habashs ne se contentent pas de sculpter des
statuettes dorées à l'effigie d'Hafez al-Assad, ils étendent leur influence
à Tripoli, dans les camps palestiniens, comme Ein Héloué, mais aussi à
Beyrouth, où les Syriens les autorisent à prendre le contrôle de la grande
mosquée du centre-ville. Les habashs, qui ont essaimé en Australie, au
Canada, en Suisse et en France, sont admis partout, parce qu'ils paraissent
politiquement corrects. «C'est leur force», ajoute à Paris un policier
français qui les connaît bien. «Ce sont d'excellents chevaux de Troie, ils
savent très bien cacher leur jeu» (voir encadré).

Leur implication dans l'assassinat d'Hariri illustre la manière dont les
Syriens ont mis à contribution tous leurs réseaux au Liban. «Les habashs,
explique un expert des questions de sécurité, devaient préparer l'attentat à
travers un certain nombre d'appels téléphoniques à d'autres suspects. La
garde présidentielle, elle, a été chargée de la logistique et du nettoyage
de la scène de crime après l'assassinat. Enfin, les renseignements
militaires devaient écouter Hariri et surveiller son convoi. Chacun,
ajoute-t-il, avait une part du travail, mais sans savoir sans doute qui
était la cible.» D'où la frénésie de coups de téléphones donnés par
Abdel-Al, juste après le crime.

«C'était son rôle d'essayer d'aider les membres de notre association», veut
faire croire Moyyedine Shami. En costume-cravatte, le jeune homme, qui porte
un collier de barbe, oublie de préciser que Cheikh Ahmed était aussi le chef
de leur service de renseignements. Son frère, Walid, travaillait lui à la
garde présidentielle, aux côtés d'Hamdane, un ancien morabitoun
(nationaliste arabe) que les Syriens avaient retourné dans les années 80
pendant sa détention à Damas. Une pratique courante pour se constituer des
clientèles dévouées au Liban. Habashs, morabitoun... Le lien est établi en
juillet dernier lorsque les FSI mettent la main sur un dépôt d'armes dans la
banlieue sud de Beyrouth, géré par des morabitouns, dont le responsable sera
caché par Ahmed Abdel-Al, avant d'être arrêté.

«Qu'ils nous montrent des preuves de la culpabilité de Cheikh Ahmed ou de
Walid», tonne Adnan Traboulsi, ex-député habash. Pas vu, pas pris : leur
ligne de défense paraît calquée sur celle de Damas.

Les habashs, désormais, font face aux autorités libanaises qui veulent
reprendre certaines de leurs mosquées. Contrairement à d'autres pro-syriens,
ils ont choisi de ne pas paraître menaçants. Par faiblesse ? Ou par calcul ?
«Nous n'avons jamais créé de violences», assure Moyyedine. «Nous sommes
présents dans de nombreux pays, poursuit-il, même chez vous, le gouvernement
français nous connaît bien».

Leur gourou, Cheikh Hossam Karakya, qui n'a pas souhaité répondre à nos
questions, est marié à une Française, et se rend régulièrement dans
l'Hexagone. «Nos relations politiques n'ont pas changé», assure Adnan
Traboulsi, qui réfute le double jeu qu'on leur prête. «Quand les Syriens
étaient là, nous traitions avec les autorités libanaises. Nous continuons
maintenant. On veut nous canaliser dans l'orbite prosyrienne. Mais on est
comme tout le monde. Joumblatt, ou même Hariri, vous croyez qu'ils n'ont pas
été un moment ou à un autre prosyriens», conclut Traboulsi.

J-C, 01.12.2005 à 15:45231780
tu sais ce qu'elles lui disent les soquettes rouges à Mossieur Ricard ? bon alors, hein même que ...

kiki, 01.12.2005 à 15:41231777
Monsieur Ricard me souffle dans l'oreille (bin oui, il veut plus venir mais qd meme, il a le droit de répondre) qu'il fait ce qu'il veut et que quand on porte que des soquettes rouges, on ferait mieux de pas trop la ramener.
Voilà, texte intégral.

J-C, 01.12.2005 à 15:29231774
mais n'est-ce pas le droit de Mossieur Ricard de préfèrer la souffrance et la pression au confort d'une vie bien organisée ?

kiki, 01.12.2005 à 15:25231772
En plus, il a tellement de boulot que du coup il a pas envie de commencer et après il est comme un con avec tout à faire dans le speed et il bosse tard le soir du coup il a pas envie de revenir bosser le lendemain... et la situation s'aggrave comme tous les ans a la meme époque...

J-C, 01.12.2005 à 15:14231770
d'abord, on ne dit pas "il" mais "Mossieur Ricard".

kiki, 01.12.2005 à 15:13231769
Non, je crois qu'il est très faché.

J-C, 01.12.2005 à 15:11231767
est-ce que Mossieur Ricard aurait la gentillesse de nous faire profiter de sa présence ? vraiment, nous en serions très honorés.

bien à vous.

yan, 22.08.2005 à 12:48215170
Je me suis demandé si c'était le tome 2, mais apparemment non…

Sylvain Ricard, 22.08.2005 à 9:39215149
alors que l'éditeur l'a refusée... bref.

yan, 21.08.2005 à 23:41215144
Tiens(?)… Sur le site de l'éditeur on trouve cette couverture…

ourlouberlou, 17.08.2005 à 16:17214654
Sympa la triple mizageour! Ya même de la photo maintenant!
Alors comme ça, c'est toi qu'a mis le feu au mammouth?
Bravo pour ces belles z'images!

tobal(cris), 16.08.2005 à 16:05214531
mon blaugue est MIZAGEOUR


http://www.20six.fr/gaultier

Sylvain Ricard, 24.06.2005 à 16:13208534
Petite remontée de sujet pour honorer une promesse faite plus bas : bilan des thunes rapportées par le livre.

En droits d'auteurs,, un chèque de 1277.94 euro a été envoyé.
En autres sources de financement (prix, planches, exemplaires auteurs...), le chèque est de 1462 euro.
La somme récoltée pour le moment est de 2739.94 euro, soit la modique somme de presque 5 millions de livres libanaises.

Tous ceux qui vont en profiter vous remercient d'y avoir contribué. Et moi aussi par la même occasion.(si c'est le cas. Sinon, le livre est toujours en vente).

tobal(cris), 29.04.2005 à 9:32201983
>> Au fait c'est marrant je ne vois pas vos noms sur les auteurs présents au super festival Soleil "Le Plein de Soleil sur les Champs"...

>> tous les winners y sont pourtant :o)


ah non, ben c'est un peu normal puisqu'on fuit Soleil

chrisB, 29.04.2005 à 9:19201982
Au fait c'est marrant je ne vois pas vos noms sur les auteurs présents au super festival Soleil "Le Plein de Soleil sur les Champs"...

tous les winners y sont pourtant :o)

crepp, 01.04.2005 à 18:23199468
Il y a un petit article sur Le Liban dans le dernier charlie hebdo. Il est basé sur le Liban dedans ou en dehors de la ligue arabe ? Sur le choix entre, suivre l'application des accords de Taêf ou les accords d'une résolution de l'ONU (je ne sais plus le numéro :o)

Sylvain Ricard, 01.04.2005 à 18:01199467
Des nouvelles fraîches de la-bas :

- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
31 mars 2005

Ça devient difficile d’écrire. Après m’être beaucoup demandé comment vous introduire dans l’ambiance de ce que nous vivons, que vous dire qui ne vous soit pas encore parvenu à travers les nouvelles, j’éprouve quand même le besoin de relater quelque chose de ces jours tellement spéciaux que nous vivons. Je ne sais trop par où commencer. Bien sur, l’énorme attentat qui a emporté Rafic Hariri a du même coup fait sauter la soupape de sécurité qui maintenait les gens sous la pression de la peur. Tout ce que les libanais avaient refoulé en eux a débordé d’un coup et ce qui était extraordinaire c’est que l’essentiel, l’important était le même pour tous : pouvoir être chez soi dans son pays. Qu’une demande si simple, si primaire, si unanime ait du attendre tant d’années pour oser se dire lui donnait un certain ton de révolte mais surtout d’énorme enthousiasme.

Les funérailles de Hariri ont été de très grandes journées : ce grand brassage de gens de tous bords, de tous milieux, de toutes classes sociales, venus manifester leur reconnaissance à celui qui avait lutté pour la dignité du pays, a inauguré cette formidable rencontre entre libanais : dans le deuil, dans la prière près de sa tombe, faisant remonter à la mémoire de leur coeur tous les assassinés de ces 30 années, puis dans la décision de ne plus se taire. Très bien encadrées, les manifestations pacifiques – officiellement interdites mais pratiquement plutôt encouragées par une armée visiblement satisfaite – sont devenues le lieu de retrouvailles entre libanais qui vivaient dans des mondes clos isolés. Un peu d’étonnement, beaucoup d’émerveillement dans ces retrouvailles et l’ivresse dans l’idée qu’on va pouvoir revivre. A mon avis, les musulmans avaient été encore plus que les chrétiens réduits au mutisme, aussi le mouvement en était d’autant plus exaltant pour eux. Depuis ce 14 février, les libanais n’avaient plus que 2 lieux importants : l’immense place du centre ville, agrandie par les destructions de la guerre et rebaptisée “place de la liberté” où manifestations, prières et sit-in étaient permanents, ou bien l’écran de leur télévision qui n’avait plus d’autre programme ou d’autre publicité que ce qui venait de ce coeur de Beyrouth. Les maisons et les rues se sont pavoisées de drapeaux, les directeurs d’écoles, les commerçants, tous estiment maintenant que cela vaut bien quelques sacrifices de pouvoir vivre un pareil moment historique. Les familles veulent que les enfants, les bébés puissent dire plus tard :”J’y étais”.

Le 14 mars, quand nous avons intégré l’immense cortège de tous ceux qui partaient vers la manifestation, il ne restait plus dans les maisons que les malades ou les impotents, au travail que le personnel indispensable dans les hopitaux, dans leurs commerces quelques rares pharmaciens. Sur les trottoirs on voyait des vieillards qui s’étaient fait conduire au bord de la route et jetaient du riz sur les partants en signe de bénédiction. Les grandes artères, les autoroutes, les ponts permettaient de voir déferler la marée humaine avec sa forêt de drapeaux. Les autobus venant de très loin, et même des régions bien “sous contrôle” étaient venus tôt le matin. Ceux qui étaient partis trop tard n’ont pu atteindre Beyrouth, les routes étant envahies par les foules. La joie de la fête, le besoin de s’exprimer, la fierté de son identité, le chant, la danse, l’enthousiasme, autant d’aspects si spontanés de l’être Libanais ! C’était la fête des Libanais pour le Liban.

Alors, est-ce que j’ignore qu’il y a eu aussi la manifestation organisée par le Hezbollah ? Non, bien sur, et même je comprends ceux des libanais qui s’y trouvaient de leur plein gré. Certaines régions du Liban ont pratiquement été abandonnées au Hezbollah par le gouvernement. Ce sont des régions pauvres où faute d’eau potable, on recourait aux camions-citernes du parti, faute d’électricité on utilisait celle des générateurs de ce même parti, faute d’argent on recevait l’aide du parti, faute de travail on s’engageait dans le parti, faute de dignité on avait la fierté de la force du parti. L’option de l’opposition libanaise en faveur d’un dialogue avec le Hezbollah doit être un premier pas vers la réintégration de ces populations et de leurs droits dans le tissu libanais.

Est-ce que j’ignore aussi que nous vivons ces derniers temps au rythme des explosions qui rappellent à tous les sinistres temps de la guerre et créent une atmosphère d’anxiété ? C’est qu’en effet le grand enthousiasme irréversible qui emmène le pays ne peut pas nous griser au point de nous illusionner : nous sommes – même dégagés de l’occupant – un pays de ce Proche-Orient en ébullition, de cette région assise sur un volcan non éteint, nous sommes un laboratoire des relations entre l’Islam et l’Occident. Tout cela devrait suffire à nous angoisser, mais la parole du patriarche Sfeir qui a retenti dans nos oreilles c’était celle-ci : “le rêve commence à devenir réalité”. Y aura-t-il des excès, des débordements ? Dans les quartiers populaires la jeunesse est utilisable à souhait, trop heureuse de jouer les gros bras. Jusqu’à maintenant, tout est presque parfait en comparaison des risques auxquels tous pensaient, mais il y faudra encore beaucoup de vigilance.

En résumé, ce qu’on éprouve ici, c’est enfin la page de la guerre qui se tourne, enfin !
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -

Fin de transmission.

Sylvain Ricard, 21.02.2005 à 18:54195214
Oui, et le niveau de la discussion est plutot bon...

frads, 21.02.2005 à 18:26195213
sur la première (chaine radio belge) y'a à l'instant une émission sur l'occupation du liban par la syrie... www.lapremiere.be pour ceux qui peuvent pas capter

Sylvain Ricard, 11.02.2005 à 10:12194044
Juste pour vous signaler l'EXPO-VENTE des planches de Christophe (Clichés - Beyrouth 1990). La moitié des fonds perçus part pour la bonne cause...

tobal(cris), 04.02.2005 à 20:52193174
>> tiens, une chronique de cliches seulement maintenant sur bdp, par un des remplacants de bellefroid


Oui Crepp nous l'a signalé , merci à lui au passage

cubik, 04.02.2005 à 19:52193167
tiens, une chronique de cliches seulement maintenant sur bdp, par un des remplacants de bellefroid

tobal(cris), 21.01.2005 à 12:27191225
les Morabitounes font du ski

cubik, 21.01.2005 à 12:08191215
t'auras qu'a leur proposer les suites:
sylvain et bruno vont bronzer (sans les bombes cette fois)

et puis sylvain et bruno font du sky

Sylvain Ricard, 21.01.2005 à 11:58191211
Ah oui c'est vrai. Bon bah alors on pouvait pas leur proposer en l'état.
Une autre fois sans doute...

Matthieu, 21.01.2005 à 11:29191208
Ecriture c'est chez Caster, pas chez Dargaud.
ya plus de collection A5 broché chez dargaud.
(et d'ailleur ecriture date de l'ete 2002)

crepp, 21.01.2005 à 11:25191207
>> "écritures "c'est pas Caster?

si si

tobal(cris), 21.01.2005 à 11:24191206
"écritures "c'est pas Caster?

Sylvain Ricard, 21.01.2005 à 11:01191195
Remarque, on leur a pas proposé "clichés". On aurait pu, mais il me semble qu'au moment ou on a parlé du projet c'était janvier 2003 et je ne suis pas sur que la collection "ecritures" était en place.

tobal(cris), 21.01.2005 à 10:47191194
ils ont le mérite en tout cas de nous faire de beaux papiers à chaque fois, preuve qu'ils ontdu goût...même si c'est à posteriori

merci Crepp

Sylvain Ricard, 21.01.2005 à 10:43191193
Oui oui, sans doute. Je voulais dire (et sans méchanceté ni aigreur) que la lettre a chroniqué nos albums, toujours favorablement, mais que a chaque fois qu'on envoie un projet (avec ou sans Christophe d'ailleurs), ça reste pour ainsi dire sans réponse. C'est curieux come décalage, mais c'est pas gênant non plus.

spirou2733, 21.01.2005 à 10:31191191
Au sein de leur groupe peut-être...

Sylvain Ricard, 21.01.2005 à 10:16191189
Et pourtant, aucun des projets présentés n'a trouvé grace a leurs yeux pour le moment.
Merci crepp pour le scan.

Laurent Percelay, 21.01.2005 à 9:39191183
Et dire que c'est dans une publication Dargaud qu'on dit du bien de vous, les gars ! Huhuhu, ça change :]

crepp, 21.01.2005 à 8:55191173
Voilà:


tobal(cris), 20.01.2005 à 21:01191139
>> Un avis positif de clichés Beyrouth 1990 dans la lettre n° 81



un scan?

crepp, 20.01.2005 à 20:36191136
Un avis positif de clichés Beyrouth 1990 dans la lettre n° 81

Sylvain Ricard, 11.01.2005 à 15:20189553
Voilà. Il est réimprimé et sera à nouveau dispo (si necessaire) dans les bons points de vente uniquement à partir de demain. A priori.

niaf, 28.12.2004 à 18:19187988
sur La Rochelle et Tournai il en reste :)

cubik, 28.12.2004 à 14:12187959
bon, be y en a pas (plus?) a la fnac des halles


en meme temps, ils ont que le cirque aleatoire tome 1, mais bon

tobal(cris), 17.12.2004 à 17:28186800
Erratum : toutes les EO, pardon

cubik, 17.12.2004 à 13:37186762
ah ouais
ca vous place dans les 3 ou 4 premiers gros tirages de la collection, c'est ca? :)

tobal(cris), 17.12.2004 à 12:33186748
ça y est l'info vient de tomber sur mon téléscripteur :
Clichés Beyrouth 1990 est réimprimé sortie prévue le 10 janvier, d'ici là achetez tous les EO restantes



Gijom, 15.12.2004 à 16:39186469
>> [...], vu les erreurs sur le titre [...], y a de quoi se poser la question.

Y'a pas d'erreur sur le titre.
Ils ont noté "Cliché de Beyrouth" pour faire référence au titre de l'album, ils auraient pu dire "instantané de leur périple".

Kris, 15.12.2004 à 10:29186396
Ayé, j'ai reçu l'article du Liban et je confirme : c'est bien le même que sur Libanvision.com.

Bon, au cas où, je garde l'original sous le coude en cas que ça vous intéresse ('tain ! Je parle de mieux en mieux la France, moi)

superwest, 14.12.2004 à 21:50186343
bravo les gars!A mon dernier passage à la fnac de VALENCE,
y'a le clichés de Beyrouth qui faisait le kéké avec la mention coup de coeur du libraire!

cubik, 14.12.2004 à 20:45186339
ben la, oui, quand meme un peu
ca reste trop vague pour qu'on sache vraiment s'ils l'ont lu, mais bon, vu les erreurs sur le titre et les noms, y a de quoi se poser la question

Sylvain Ricard, 14.12.2004 à 20:41186337
c'est quand meme super limite tout ça...
limite foutage de gueule.

cubik, 14.12.2004 à 20:36186335
moi je dis, a quand le prochain bouquin d'arnaud et philippe?

Sylvain Ricard, 14.12.2004 à 20:23186330
'Tain, Arnaud y va pas être content...

cubik, 14.12.2004 à 19:29186321
tiens, je viens de lire le nouveau magazine BD, enfin des bouts
j'ai decouvert que votre bouquin s'appelle "cliches de Beyrouth", et que les freres Ricard, c'est Sylvain et Arnaud :)
et le mec y croit, il dit Arnaud a chaque fois
a se demander s'il a lu le bouquin en fait >)

Sylvain Ricard, 08.12.2004 à 9:58185401
>> Vous avez 2 pages pour "cliches" dans le nouveau magazine "BD" et vous nous le dites meme pas?

ah ben on va qd meme pas vous saouler a chaque machin qui parait dans la presse qd même...
J'ai pas vu encore le truc. Je dois recevoir un exemplaire assez vite je pense.

cubik, 08.12.2004 à 9:45185388
ah ca y est? il est sorti?

Sylvanours, 08.12.2004 à 9:26185378
Vous avez 2 pages pour "cliches" dans le nouveau magazine "BD" et vous nous le dites meme pas?

Sylvain Ricard, 07.12.2004 à 12:25185249
Salut Kris
l'article de l'orient le jour (qui est la canard qu'on lisait tous les jours la bas) est repris je crois sur libanvision.com. Pas sur, mais il y a de fortes chances.
pour angou, on va pas se plaindre, pour une fois qu'on est pas dans la selection "premier album"... :D

Kris, 07.12.2004 à 11:45185243
Salut Sylvain : j'ai la réponse pour l'article dans le journal libanais.

C'était dans L'Orient Le Jour et ma tante m'envoie l'article par courrier. Dès que je l'ai, je te l'envoie.

Gros bisous et merde pour Angougou. Vous finirez bien par avoir quelque chose à force d'être nominés :-)))

Pages : 1 - 2 - 3 - 4

retour forum

bordure
coin bordure coin