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herbv
| Sans se douter que Nio est en grande difficulté car chassé par Sawaki, le directeur du musée municipal. Misaki est en pleine discussion avec Tokuko. C’est alors qu’elle s’effondre de douleur, au même moment ou Nio est touché par une balle. Heureusement, Bandô arrive pour apporter les premiers soins à l’adorable petit serpent de mer qui a été retrouvé par Sanae. Suzu, la sœur de Bandô récupère alors Misaki et Tokuko pour les amener au domicile de celui-ci. Il est temps pour notre jeune héroïne de se souvenir du lien qui l’unit depuis de nombreuses années à Nio. De ces souvenirs, de lourds secrets vont être révélés qui vont expliquer bien des choses... Malheureusement, des forces malfaisantes sont toujours à l’œuvre !
Le dernier tome du Monde de Misaki accélère encore plus la cadence du récit, alors que l’auteur semblait déjà être pied au plancher dans son histoire. De ce fait, on peut regretter que Yûji Iwahara n’ait pas pu ou voulu mieux développer son histoire grâce à un quatrième volume. La révélation ultime arrive un peu trop rapidement, ce qui en amoindrit l’impact, le mangaka n’ayant pas le temps de l’amener en faisant monter suffisamment la tension narrative. De même, l’humour des débuts est trop souvent remplacé par de l’action et c’est un peu dommage. Il reste qu’on ne s’ennuie pas un seul instant et que toutes les questions trouvent leur réponse. Une fois la dernière page tournée, on reste donc sur une excellente impression et c’est bien là le principal.
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