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© Caravelle

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Une mansarde à Paris
ScénarioMelia Sergio
DessinMelia Sergio
Année2005
EditeurCaravelle
CollectionUrbaine
SérieOne-shot !
Bullenote [détail]

Marcos et Gloria se rencontrent à Paris après s’être perdus de vue depuis plusieurs années, mais sans jamais avoir cessé de penser l’un à l’autre. Le hasard semble vouloir offrir une seconde chance à leur histoire. Cependant, après une nuit d’amour où Marcos croit avoir enfin récupéré son amour de jeunesse, Gloria décide de disparaître à nouveau.

 

2 avis

Indy
« Une mansarde à Paris » reprend le sempiternel thème de l’amour, de l’amour qui est « trompé, fugitif ou coupable » comme l’écrivait si justement Chateaubriand. Ou encore celui de l’amour trahi tel que le décrivait Georges Cukor dans son film « Marguerite Gauthier » avec Greta Garbo et Robert Taylor.
Bref j’ai retrouvé à travers le scénario de cette bande dessinée le charme de mes lectures ou de mes films préférés.
Derrière une couverture très soignée, se cache un dessin tout en rondeur, à la fois nostalgique (proche de la ligne claire, de Chaland, voire de Floc’h) et audacieux par l’utilisation des couleurs (notamment le rouge qui ressort de l’ensemble de l’album).
Certes, un côté fleur bleue se dégage de ce one shot , mais cela fait du bien dans la production actuelle dominée par la science fiction, l’héroïc et la catholic- fantaisy.
Amoureux de Paris, nostalgique des années 50, (même si on ne retrouve pas exactement les rues de la capitale mais plutôt l’atmosphère de l’époque), ne manquez pas cette petite histoire naïve et dramatique.
Décidement les auteurs espagnols ont le vent en poupe depuis quelques temps et pas seulement chez les éditions Paquet!
Un seul bémol, la pagination. Quelle mauvaise idée d’avoir écrit en toutes lettres le numéro des pages de manière si disgracieuse ! Cela gâche le plaisir de la lecture
alban
La nouvelle collection de Glénat Caravelle (Nouveau concurrent d’Aire Libre de Dupuis ou Long Courrier de Dargaud, mais orientée sur des auteurs de langue espagnole ?) commence avec deux sympathiques nouveautés El Perdición (que je n’ai pas lu) et Une mansarde à Paris.
Par quoi commencer, le dessin pour changer… Dans la tradition de la ligne claire avec quelques grosses erreurs mais on pardonnera à ce jeune auteur, Sergio Mélia nous fait découvrir un univers Parisien agréable mais relativement peu varié et proche du huit clos le décors tournant surtout autour de cette fameuse chambre même si on assiste à quelques sorties. J’aurais peut être aimé découvrir un peu plus une vision romantique de Paris mais ce ne fut pas le cas.
La couleur, amusante avec une utilisation du rouge qui tranche peut être un peu trop avec le reste des couleurs nettement plus ternes.
Pour finir, le scénario … Une jolie petite histoire d’amour entre deux lycéens qui se perdent de vue, vieillissent, puis se retrouvent, se reperdent et se retrouvent enfin sur fond de cachotteries pas toujours avouables et qui donnent le seul piment de cette œuvre. J’aurai aimé découvrir des sentiments plus marqués qui auraient tranchés avec la dureté de la situation, la tragédie n’est pas assez mise en relief et transforme ce récit en une banale histoire d’amour. Néanmoins très agréable à lire.
Juste une petite remarque pour conclure, la numérotation est originale et m’a bien amusé.
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