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© Albin Michel

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La bulle de Bertold
ScénarioAgrimbau Diego
DessinIppoliti Gabriel
CouleursIppoliti Gabriel
Année2005
EditeurAlbin Michel
SérieOne-shot !
Bullenote [détail]

 

1 avis

Coacho
Un album dans la veine graphique du Break Point de Saimbert & Mutti qui pourrait laisser croire qu’Albin Michel tente de s’installer dans une certaine forme de bande-dessinée.
En étendant la réflexion sur les Mémoires d’une vermine, où le choix des couleurs de Saenz pourrait être un écho aux albums précités, et quoique bien différente dans le fond, et voilà que l’on se prend à rêver d’un Albin Michel défricheur de nouveaux talents, qualité pourtant plus souvent prêtées à d’autres éditeurs…
Quid de cet album donc ? Et bien le postulat de départ est particulièrement alléchant…
Tout contrevenant, criminel, et pire, assassin, se voit jugé et démembré en fonction de la gravité des faits reprochés.
Lorsque le démembrement est total, et que donc l’Intendance a jugé de l’extrême gravité des faits reprochés, ces humains devenus « troncs » sont vendus dans une partie basse de la ville devenue autant Cour des Miracles que Prison.
Monsieur Froilan récupère ces individus, leur greffe des prothèses et les attache à des fils, les transformant en marionnettes pour son théâtre pneumatique ambulant.
Vraiment tentant vous-dis-je !
Ensuite, quelques querelles internes plus tard, et quelques dénonciations lâchées ensuite, on obtient une histoire qui réussi à nous emmener dans un univers sombre et inquiétant, mais qui reste assez superficiel.
Inconvénient des 48 pages ? Sûrement…
Quoiqu’il en soit, le parallèle critique entre les fondations du Régime qui gère Butania et la vie obligatoirement régentée de ces marionnettes vivantes n’arrive pas à passionner…
Une fable, elle-même racontée en allégorie par le biais d’une pièce de théâtre, vous voyez l’idée… Et on fini par s’y perdre, non pas sur le propos, mais bien sur les intentions des personnages, sur leur quête, ou leur fonction, même si on se doute que leur condition ne permet pas de rêve particulier…
Donc un sentiment mitigé, mais peut-être en attendais-je trop ?
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