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Les images qui font écho [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ] retour forum
 | beuzno, 04.06.2013 à 10:35 | 351366 |
|  |  | arq 1 d'andreas, (dans mon souvenir : je n'ai pas vérifié) |
 | |  |  | Est ce que ça dit quelque chose à quelqu'un une bande dessinée qui se passerait dans un immeuble, avec chaque case représentant un étage et des histoires parrallèles à suivre étage par étage ?
Je pense à du MAM mais il y a surement une ou deux BD qui ont du utiliser ce système non ? |
 | Anoeta, 31.05.2013 à 17:59 | 351290 |
|  |  | Je n'aime pas non plus Black et Mortimer. Ça me chagrine car j'ai l'impression d'avoir raté un truc. Mais les cartouches qui décrivent ce que montrent les dessins, j'ai toujours trouvé ça affreux. Du coup je ne lis aucun cartouche, et suis paumé dès qu'un était réellement utile. |
 | |  |  | S.O.S. Météores a longtemps été mon Blake et Mortimer préféré. J'adorais l'ambiance de cet album. A rapprocher de celle des 7 boules de cristal, un de mes Tintin préférés (d'ailleurs, la case 5 est plus qu'un écho : "On ne m'ôtera pas de l'idée que c'est leur sale bombe H qui a détraqué les saisons... C'est comme tous leurs trucs artificiels qu'ils envoient balader dans le ciel ! Vous verrez, M'sieur, ces machins-là nous amèneront encore des tas d'embêtements !"). Rien que de relire cette première planche, ça me donne furieusement envie de poursuivre ma lecture. Il faudrait vraiment que je le relise, pour voir... |
 | |  |  | Oui ! C'est pour cela que je n'ai jamais pu lire un B&M jusqu'au bout. A peine commencé, ça me tombe des mains. Beurk ! |
 | |  |  | « Mais soudain un feu rouge s'allume… »
Ha ha ha ! J'adore. |
 | |  |  | A ce qu'il paraît, en 1962, les Parisiens s'étonnaient déjà d'un mois de mai pourri. Ca se rejoint... |
 | Pierre, 30.05.2013 à 21:58 | 351280 |
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Voilà plus d'un mois que j'y pense ... Pour l'image qui fait écho, regardez par la fenêtre ! |
 | THYUIG, 14.05.2013 à 11:37 | 351092 |
|  |  | Del toro a un peu bossé sur Hellboy quand même hein. |
 | Moi, 14.05.2013 à 11:26 | 351091 |
|  |  | D'ailleurs, la couverture du dvd est signée Guy Davis, qui a pas mal bossé sur Hellboy et ses dérivés. |
 | Gijom, 14.05.2013 à 10:42 | 351089 |
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 | |  |  | 5 livres à paraître [blue_oz1 : album sans vignette][eddy_milveux3 : album sans vignette][kandachime8 : album sans vignette][prince_croquer2 : album sans vignette][norton_gutierrez : album sans vignette] |
 | |  |  | On pourrait y ajouter celles-ci. Même si ce ne sont pas exactement les mêmes fioritures, on est dans le même esprit.
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 | THYUIG, 05.04.2013 à 8:58 | 350707 |
|  |  | oui, évidemment, mais ça m'interpelle de le faire aussi systématiquement. je croyais personnellement qu'il s'agissait du même dessinateur pour les deux albums... |
 | |  |  | Bin, les 2 couv' rendent hommage aux fameuses éditions Hetzel. C'est un bon moyen de faire julesvernisant mais ce n'est certes pas très original à force... |
 | THYUIG, 05.04.2013 à 8:06 | 350705 |
|  |  | Otez-moi d'un doute, c'est involontaire, hein ?
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 | Pierre, 02.04.2013 à 21:24 | 350668 |
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 | Pierre, 28.03.2013 à 21:48 | 350626 |
|  |  | lanjingling : |
Sur le principe je suis aussi d'accord que tirer des vignettes de leur contexte est une sorte de contresens, la B.D. étant un art narratif (un art à tif? et Tondu, alors ?)
mais pratiquement, pas plus que de commenter certaines scènes ou plans de films, ou des extraits d'oeuvres musicales voire un détail d'une peinture |
Excellent ouvrage, le maître livre de son auteur, Daniel Arasse ! Mais je conseillerais plutôt sa lecture dans l'édition en grand format, avec les illustrations en couleurs. Plus accessible, plus grand public mais tout autant passionnant un de ses derniers bouquins (il est décédé en 2003): On n'y voit rien: descriptions:

Ou quand l'histoire de l'art vous prend par la main, plutôt que de vouloir vous en imposer. |
 | Pierre, 27.03.2013 à 20:35 | 350617 |
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 | |  |  | C'est marrant que THYUIG parle du Grand Pouvoir du Chninkel.
Hier, je traitais les couvertures de la fameuse revue Creepy. Et certaines me faisaient penser au Grand Pouvoir.
Pas d'exemple précis. C'est plus dans des atmosphères ou de grandes idées.
Par exemple, je pensais un peu aux Tawals velus, ici :
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 | |  |  | Pierre : | Charlie Brown : |
Je connais peu de choses de Lichtenstein, mais, pour le peu que j'en connais, je dirais que je suis d'accord avec ton jugement personnel.
Ça me fait par ailleurs penser que le procédé qui consiste à extraire une vignette de son contexte pour lui donner un sens nouveau et original qui touche à l'universel est un procédé que j'aime beaucoup, qui me fait souvent marrer et, parfois, m'émeut aussi. Il y a un site que j'aime bien, spécialisé dans ce genre de procédé : Comically Vintage
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Merci je ne connaissais pas. Je ne retrouve plus qui est cet auteur qui avait pourfendu dans une interview (il me semblait que c'était Blutch mais j'ai fait chou blanc) le principe même d'une rubrique des Cahiers de la bd qui s'intitulait "cases mémorables" où un artiste était invité à commenter comme un tableau, une case qu'il avait extraite d'un album. Sur le principe je suis d'accord avec ce reproche que tirer ces vignettes de leur contexte était une sorte de contresens toutefois ces commentaires étaient parfois vraiment intéressants (Yann à propos du genou de Seccotine par exemple dans les Nids des Marsupilamis). |
Sur le principe je suis aussi d'accord que tirer des vignettes de leur contexte est une sorte de contresens, la B.D. étant un art narratif (un art à tif? et Tondu, alors ?)
mais pratiquement, pas plus que de commenter certaines scènes ou plans de films, ou des extraits d'oeuvres musicales voire un détail d'une peinture |
 | Pierre, 25.03.2013 à 22:10 | 350558 |
|  |  | Charlie Brown : |
Je connais peu de choses de Lichtenstein, mais, pour le peu que j'en connais, je dirais que je suis d'accord avec ton jugement personnel.
Ça me fait par ailleurs penser que le procédé qui consiste à extraire une vignette de son contexte pour lui donner un sens nouveau et original qui touche à l'universel est un procédé que j'aime beaucoup, qui me fait souvent marrer et, parfois, m'émeut aussi. Il y a un site que j'aime bien, spécialisé dans ce genre de procédé : Comically Vintage
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Merci je ne connaissais pas. Je ne retrouve plus qui est cet auteur qui avait pourfendu dans une interview (il me semblait que c'était Blutch mais j'ai fait chou blanc) le principe même d'une rubrique des Cahiers de la bd qui s'intitulait "cases mémorables" où un artiste était invité à commenter comme un tableau, une case qu'il avait extraite d'un album. Sur le principe je suis d'accord avec ce reproche que tirer ces vignettes de leur contexte était une sorte de contresens toutefois ces commentaires étaient parfois vraiment intéressants (Yann à propos du genou de Seccotine par exemple dans les Nids des Marsupilamis). |
 | |  |  | Pierre : |
La vignette extraite de son contexte est hissée au rang d'oeuvre d'art.
[...]
Le projet même, est d'attirer l'attention du spectateur sur le procédé qui est à l'oeuvre dans la peinture, l'idée et sa mise en oeuvre, et c'est cette posture qui fait surgir l'Art via le détournement d'un débris méprisable de culture de masse. Même chose quand il intègre du texte un texte "peint" qui fait pendant à l'image comme ici, s'inscrivant dans la tradition du diptyque qui l'inscrit dans une perspective historique et artistique: donner à un sujet trivial les proportions et l'allure d'un peinture d'église (d'ailleurs, tout bien considéré, je ne réduirais pas sa démarche à un cynique ou un sarcasme facile, et on peut trouver une certaine dimension émouvante face à ses "girls" en détresse, dont en les reproduisant en grand, il cristallise les états d'âme. On est au-delà -ou en deçà du ready-made. Ainsi, éprouvé au premier degré ce "We rose up slowly... As if we didn't belong to the outside world any longer... Like swimmers in a shadowy dream... Who didn't need to breathe..." confine à la poésie pure alors qu'il reproduit littéralement le texte d'une romance). Mais ce n'est là qu'un jugement personnel.
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Je connais peu de choses de Lichtenstein, mais, pour le peu que j'en connais, je dirais que je suis d'accord avec ton jugement personnel.
Ça me fait par ailleurs penser que le procédé qui consiste à extraire une vignette de son contexte pour lui donner un sens nouveau et original qui touche à l'universel est un procédé que j'aime beaucoup, qui me fait souvent marrer et, parfois, m'émeut aussi. Il y a un site que j'aime bien, spécialisé dans ce genre de procédé : Comically Vintage
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 | Pierre, 18.03.2013 à 23:15 | 350453 |
|  |  | Je voulais répondre, mais j'ai eu la flemme, puis je suis passé à autre chose. Cependant ça m'a travaillé ce weekend end et las de l'amer repos où ma paresse offense ... Je prends la peine de jeter quelques idées à la suite de ce commentaire:
Glotz : | J'ai toujours trouvé le travail de Lichtenstein vain, creux et laid. En mai dernier, j'ai pu voir une rétrospective quasi exhaustive de son œuvre (jusqu'aux toiles des années 1990) qui n'a fait que confirmer ce sentiment, alors que j'y étais allé animé des meilleurs intentions.
Je trouve Erro beaucoup plus intéressant, dans une optique de détournement des icônes de le culture populaire. Le politique est doit être trop absent de Lichtenstein (et du pop-art en général) pour que je m'intéresse à ses productions. |
Je comprends tout à fait cette impression. Le succès de Lichtenstein a quelque chose d'inexplicable, et ne peut être basé que sur un malentendu profond sur le sens de sa démarche dont les collectionneurs n'ont perçu que la dimension décorative alors que ce n'était pas là, si l'on en juge ses déclarations, le but de l'artiste.
Mon intérêt pour cette oeuvre provient de mon goût pour la bande dessinée, quand adolescent j'ai cru remarquer un lien entre la couverture originale de l'album le Dossier Harding de Floc'h et Rivière avec des oeuvres d'un certain artiste au nom de paradis fiscal mal orthographié. Gros plan sur un couple qui se fait face iconographie de romans sentimentaux (une larme coule sur les joues de la fille), un trait au pinceau à la fois souple et épais, une certaine stylisation "ligne claire", et puis une trame mécanique qui vient en surimpression. On retrouve l'image de la couverture dans une case l'intérieur de l'album page 27; celle qui suit ne laisse aucun doute sur sa référence.
Floc'h, Yves Chaland, Ted Benoit, Serge Clerc, telles étaient mes références de l'époque; mais peu importe. Dans ces années là ( 1995 ?) j'ai vu la grande retrospective consacrée à Lichtenstein à Bruxelles et en ai été profondément marqué. Notamment, par cette froideur, ce soucis d'impersonnalité, cette absence de référence idéologique, cette répétition, ce mécanisme, mais aussi cette radicalité, cette obstination, cette intempestivité. J'étais venu pour la bande dessinée, alors que celle-ci, dans cette oeuvre n'occupe quantitativement qu'une petite place, bien qu'elle soit à l'origine de son style et de son succès (critique et public). L'art de Lichtenstein peut s’appréhender à plusieurs niveaux: abstraction, critique sociétale, art conceptuel, attitude duchampienne. Elle est suffisamment puissante je crois pour ne pas laisser indifférent.
Quelques remarques toutefois: il est possible de voir une dimension politique dans les war paintings qui apparurent au commencement de la guerre du Vietnam et plus généralement une manière de critique de la société de consommation; mais ce serait passer à côté de son sens véritable. Quant à la laideur, elle est revendiquée si j'en crois les propos de Lichtenstein lui-même, il n'y a pas de prétention au vrai beau artistique. Les reproches de vide et de vanité en revanche me font tiquer: il y a un discours sur la peinture profond et passionnant qui se lit au travers de cette démarche. Pour s'en tenir strictement à la période "comic strip" (ce qui nous permet de rester dans le cadre du sujet et de ce forum), l'artiste, à l'aube des années soixante, sortant d'une période expressionniste abstraite quelque peu hasardeuse qui met en avant le geste du peintre et l'absence de figuration, par défi (considérant ses recueils de bandes dessinées, son fils lui aurait dit: Papa tu ne peux pas en faire autant) il change radicalement d'approche en s'adonnant à la reproduction par les moyens de la peinture, de détails isolés de la production de masse que sont les comics. La vignette extraite de son contexte est hissée au rang d'oeuvre d'art. Son style est retouché de façon à s'intégrer dans une normalisation esthétique (trait, couleurs codifiées: jaune=cheveux, bleu=eau et ciel, etc. à la manière d'une forme de langage pictural), d'où toute intervention humaine paraît avoir disparu. Ce qui n'est qu'une illusion. Car se sont bien des oeuvres d'art uniques, et non des productions industrielles. L’élément le plus significatif du discours étant bien entendu l'utilisation de points imitant les trames mécaniques de l'impression en quadrichromie. Dans les premières peinture, les trames étaient faites de points extrêmement petits, reproduisant l'illusion de la couleur (le rose pour la peau), mais après quelques années de pratique, Lichtenstein a accentué la taille des points, de sorte qu'il a mis au premier plan de façon ostentatoire ce qu'étaient réellement ces points, c'est-à-dire non pas la couleur de la peau, non pas du rose, mais ce qu'ils étaient réellement, des disques de peinture rouge répétés à distance égale sur fond blanc. Le projet même, est d'attirer l'attention du spectateur sur le procédé qui est à l'oeuvre dans la peinture, l'idée et sa mise en oeuvre, et c'est cette posture qui fait surgir l'Art via le détournement d'un débris méprisable de culture de masse. Même chose quand il intègre du texte un texte "peint" qui fait pendant à l'image comme ici, s'inscrivant dans la tradition du diptyque qui l'inscrit dans une perspective historique et artistique: donner à un sujet trivial les proportions et l'allure d'un peinture d'église (d'ailleurs, tout bien considéré, je ne réduirais pas sa démarche à un cynique ou un sarcasme facile, et on peut trouver une certaine dimension émouvante face à ses "girls" en détresse, dont en les reproduisant en grand, il cristallise les états d'âme. On est au-delà -ou en deçà du ready-made. Ainsi, éprouvé au premier degré ce "We rose up slowly... As if we didn't belong to the outside world any longer... Like swimmers in a shadowy dream... Who didn't need to breathe..." confine à la poésie pure alors qu'il reproduit littéralement le texte d'une romance). Mais ce n'est là qu'un jugement personnel.
La clé est peut-être dans cette oeuvre d'allure anecdotique, où il n'y a apparemment rien à voir, ou sinon une tautologie mais qui peut avoir valeur de manifeste, de par son économie de moyen (le noir et blanc, l'absence de représentation humaine): l'image d'une loupe devant un fond grisâtre, zoome sur sa composante même: la trame mécanique reproduite artisanalement, à la main. Le sujet du tableau est le tableau, et derrière son allure de non peinture, c'est une peinture. L'oeuvre est un système qui s'autodéfinit, consistant dans le geste de dévoiler son propre fonctionnement, par l'illusionnisme (il n'y a finalement ni loupe, ni trame), un peu comme dans ces oeuvres d'art conceptuel qui lui sont contemporaines (le " classeur à fiches" de Robert Morris servant à archiver les dossiers retraçant les étapes de sa propre construction, ou bien ces "Five words in blue neon" de Joseph Kosuth). Apolitique et laid c'est possible, mais creux et vain, non je ne crois pas, à moins que l'on fasse écho aux "vanités" en tant que genre pictural, qui convoquaient l’Ecclésiaste. Une boutade pour finir: vous n'avez pas vu Roy Lichtenstein ? Revoyez-le ! |
 | Glotz, 12.03.2013 à 23:59 | 350375 |
|  |  | J'ai toujours trouvé le travail de Lichtenstein vain, creux et laid. En mai dernier, j'ai pu voir une rétrospective quasi exhaustive de son œuvre (jusqu'aux toiles des années 1990) qui n'a fait que confirmer ce sentiment, alors que j'y étais allé animé des meilleurs intentions.
Je trouve Erro beaucoup plus intéressant, dans une optique de détournement des icônes de le culture populaire. Le politique est doit être trop absent de Lichtenstein (et du pop-art en général) pour que je m'intéresse à ses productions. |
 | Pierre, 12.03.2013 à 23:30 | 350374 |
|  |  | Mais c'est intéressant tout de même ! Voir ce qu'il a retenu d'un dessin, ou ce qu'il a modifié. Et en voulant donner une unité esthétique à ces agrandissements, il a finalement inventé un style dont l'influence s'est ressentie en retour sur des auteurs de bande dessinée. Je pense principalement à Floc'h (celui de Floc'h et Rivière) et Walter Minus ... mais il doit y en avoir d'autres. |
 | |  |  | Oui, il ne faut simplement pas comparer puisque ce n'est pas fait pour cela... |
 | Pierre, 12.03.2013 à 23:08 | 350372 |
|  |  | Hm... Je ne suis pas un spécialiste de la question, mais l'art de Lichtenstein ne situe à mon avis pas au point de vue de la figuration proprement dite, mais relève plutôt du détournement d'images figuratives issues des médias de masse, et de la culture populaire, débouchant sur la fabrication d’icônes contemporaines. Après les cases de bd, il a reproduit des coups de pinceaux, des frises architecturales, des effets de miroirs, des tableaux célèbres (dont Mondrian) ... Et finalement, il s'est amusé à synthétiser ces différentes séries dans ce qu'il a appelé je crois, des "reflections". C'est presque un peintre abstrait finalement. |
 | |  |  | Ton exemple n'est pas au désavantage de Lichtenstein (ni à l'avantage, d'ailleurs)
Certains autres exemples, par contre, ne rendent pas gloire au peintre... |
 | Pierre, 12.03.2013 à 21:11 | 350370 |
|  |  | Un site très intéressant qui recense, identifie et compare les sources de Roy Lichtenstein avec les peintures qu'il en a tiré: Deconstructing Roy Lichtenstein. Reviennent souvent, Tony Abruzzo, John Romita et Mike Sekowsky. Un exemple:

Je suis tombé là-dessus en partant du postulat -erroné, que les bandes dessinées sentimentales de Pepe González (qui ont paraît-il cartonné en Grande-Bretagne dans les années 60, au point d'être copiées), avaient été utilisées par Lichtenstein. |
 | Pierre, 02.03.2013 à 22:56 | 350169 |
|  |  | 
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 | |  |  | 
festival de gambettes dans la section chroniques de bubulle |
 | lldm, 05.02.2013 à 10:43 | 349556 |
|  |  |  Cette planche est extraite de "Quelques prières d'urgence à réciter en cas de fin des temps", réalisé entre 2006 et 2007 et publié quelques années plus tard par "Les Rêveurs".
Cette année, le stand Bicéphale, auquel j'ai passé (dans la joie, l'amour, les barbes) une bonne partie de mon temps avait pour voisins Naz et Sourdrille. Que vois-je dans un carton au moment de remballer? Cette couverture :
Je me dis "quel gougnafier quand même, quel gougnafier, et en plus il appauvrit le truc ce salopard en virant la narration". Je m'apprête, vengeur, à glapir publiquement au plagiat. Et je découvre en rentrant que son album est publié en 2004 par Les requins Marteaux. Bin merde. J'ai pas l'air gland.
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 | Glotz, 05.02.2013 à 10:00 | 349550 |
|  |  | C'est comme le logo Carrefour en somme. |
 | Mael, 05.02.2013 à 8:36 | 349547 |
|  |  | Ha punaise je n'avais pas vu non plus, c'est pourtant - en effet - totalement flagrant ! |
 | |  |  | Je n'avais jamais réalisé qu'il y avait 2 visages sur la tête de Pierre. Bon, maintenant, je ne vois que ça... |
 | SydN, 10.12.2012 à 11:05 | 348056 |
|  |  | Mr_Switch : | Morvan a trop regardé Ulysse 31 dans sa jeunesse...! >:) |
Waaaaw |
 | Le PBE, 09.12.2012 à 23:46 | 348050 |
|  |  | Dieu : | Georges Quaintance
..jpg)
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Un instant j'ai cru que c'était le repreneur d'Alix |
 | |  |  | Morvan a trop regardé Ulysse 31 dans sa jeunesse...! >:) |
 | Dieu, 20.11.2012 à 20:20 | 347676 |
|  |  | Ca ne manque pas les représentations de combat avec des serpents mais je pense que celle-ci est une inspiration directe.
Georges Quaintance
..jpg)
Sophia libère Paris

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 | Bert74, 06.11.2012 à 13:59 | 347490 |
|  |  |   |
 | |  |  | 
Et il parait que dans le livre, il y a une image qui correspondrait trait pour trait... avec deux renards qui se cacheraient le museau... |
 | |  |  | 
Et il parait que dans le livre, il y a une image qui correspondrait trait pour trait... avec deux renards qui se cacheraient le museau... |
 | |  |  |  (sortis presque le même jour) |
 | |  |  | Gijom : |  |
J'avais oublié de dire pour celui-ci que s'il y a écho manifeste, c'est bien le DVD de Désirs Humains qui fait écho à l'habillage d'un Gars, Une Fille.
Il semble en effet que ce soit une maquette originale pour le DVD français, sorti cette année donc. Les DVD anglais, affiches française ou étrangères d'époque, sont complètement différentes. |
 | Herbv, 11.08.2012 à 23:32 | 346065 |
|  |  | Mouaich... |
 | |  |  |
J'aurais dû préciser à l'époque que la célèbre vidéo était le chaînon entre ces 2 couvertures :
  |
 | jmmelo, 27.06.2012 à 19:01 | 345264 |
|  |  | |
 | |  |  | Teuteuteu, sur le troisième, on peut lire "FRAMES" en filigrane ! |
 | SydN, 22.06.2012 à 10:44 | 345124 |
|  |  |
héhé bien vu^ |
 | |  |  |
Sujet du bac philo : ce poste de PBE est il hors sujet ? |
 | Pierre, 21.06.2012 à 21:52 | 345116 |
|  |  | Le cas de Giraud invalide à peu près toutes les théories sur le "dessin d'après nature". |
 | Le PBE, 04.06.2012 à 21:26 | 344864 |
|  |  |   |
 | |  |  | je remonte mon post vu les précédents
Willy le Borgne : |   |
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 | |  |  | spirou2733 : | Un bel échos vu sur la liste Giraud-Moebuis :
source
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Belle trouvaille! A se demander s'il existe une seule couv de Blueb qui ne parte pas d'une photo. |
 | |  |  | non Angel Face est l'enfant du couple. |
 | |  |  | Angel Face a flingué la fille ? |
 | |  |  | Un bel échos vu sur la liste Giraud-Moebuis :
source
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 | |  |  | 
hors cadre, tout y est, je te jure :o) |
 | Bert74, 13.04.2012 à 15:03 | 344104 |
|  |  | oui, toutes les deux chez Panini.
Nan Thierry, ça colle pas Sambre : pas de mèche devant les yeux, pas de bras nus, pas de nombril à l'air, et (bizarrement... comment tu veux vendre, après...) pas de gros flingues |
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