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Frederik Peeters [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]
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| | Le PBE, 22.09.2008 à 16:56 | 312974 |
| | | | Merci, pour la réponse. Donc, je coche "Peeters". |
| | | | Oui, ça doit être moi. En tout cas, j'y serai.
A bientôt, donc.
F. |
| | Le PBE, 22.09.2008 à 14:57 | 312965 |
| | | [mode je-ne-fais-qu'un-seul-festival-mais-je-le-prépare-bien on]
Le "Peeters" annoncé sur le site de Quai des Bulles 2008 se prénomme-t-il Frederik ?
(ce serait tout de même pas compliqué de mettre le nom complet dans cette liste... avec en plus un lien vers la biblio de Bulledair ;o)
[mode je-ne-fais-qu'un-seul-festival-mais-je-le-prépare-bien off]
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| | | | Quoi dire, Mr Taieb...
Vous êtes chou.
F. |
| | NDZ, 09.09.2008 à 9:25 | 312258 |
| | | | Thierry : | | Et mention speciale a la deniere planche, desarmante de simplicite et de finesse. |
Hé oui. |
| | | | | C'est peut-être anecdotique et ça n'a rien à voir avec le blog, mais j'ai trouvé très chouettos votre hommage à Ruppert et Mulot dans la "Mimolette Party" ! Voilà, c'est dit. |
| | | |  Comme souvent, dans ce genre de recueil, le meilleur cotoye le dispensable. Peeters est le premier a reconnaitre, mais de risquer de regretter d'avoir supprimer tel ou tel recit, au detriment d'un autre, il a prefere laisser au lecteur le soin de se faire une opinion. le contenu est donc inegal, mais il est toujours interessant de voir l'evolution sur ces 10 annees de travail.
Et mention speciale a la deniere planche, desarmante de simplicite et de finesse. |
| | | | | C'est amusant, je trouve qu'il y'a un style proche de François Boucq dans les traits de Gandhi et de Maryline... lui qui justement aime bien le thème de la mort ! |
| | | | | Chacun sa manière de se détendre ! Il y a des manières morbides, apparemment... :D |
| | | | | Oula, ça commence fort ... :) |
| | | | Je viens de lancer ce blog absolument consternant qui n'a d'autre mérite que de me détendre après une journée de travail. Par contre, je garantis un réassortiment quasi quotidien. Cela risque de constituer assez vite une bien jolie brochette. Faites passer. Ou pas.
Salutations.
www.portraitsaslivingdeads.blogspot.com |
| | | |  toujours aussi téléfilmesque, mais les couleurs sont très belles et la décoration de l'agent Bertier a la fin, est très drôle. |
| | | | | sinon, dans ruminations, frederik peeters cite un moment un paaseg de l'île aux trente cercueils. Et il ne faut pas vous laissez abuser. Ce n'est pas 3 femmes, 3 croix, 3 femmes en croix…" Il y en a quat', les trois sœurs d'Archignat et pis l'héroïne Véronique d'Hergemont. Voilà c'est pas le tout de vouloir faire dans la citation littéraire (ou télévisuelle) quand on prend sa muflée, après, faut êt' précis. |
| | | | la confirmation de première main, ça aurait été de peeters lui même… c'est vrai que j'ai dit peu ou prou la même chose sur un aut' sujet : )
la raison semble être une "banale" divergence de vue quant-aux intentions mais bon, je ne suis pas à sa place et vu le nombre de personnes qui semblent se le demander, il y aura bien une interview un de ces quatre.
sinon, oui, Guigui, il y a bien une contrepetrie mais il faut chercher… |
| | | | | marclizano : | | ce ne sont pas des bruits de couloirs ni le voisin de la grand-mère mais Peeters lui-même qui l'a annoncé à Amiens. alors qu'on en parlait à une terrasse en bord de somme. |
Mais donc alors, quelle est la raison exacte de cet arrêt ? |
| | longg, 01.07.2008 à 17:34 | 310314 |
| | | | marclizano : | | on en parlait à une terrasse en bord de somme. |
'Tain j'ai cherché une contrepèterie pendant longtemps, mais pas moyen.
A part ça, Fred doit être soulagé j'imagine. |
| | THYUIG, 01.07.2008 à 17:33 | 310313 |
| | | | Marc à sa confirmation n'était déjà plus une première main. |
| | NDZ, 01.07.2008 à 17:18 | 310312 |
| | | | Merci Marc pour cette confirmation de première main. |
| | | | | ce ne sont pas des bruits de couloirs ni le voisin de la grand-mère mais Peeters lui-même qui l'a annoncé à Amiens. alors qu'on en parlait à une terrasse en bord de somme. |
| | | | | NDZ : | | Rohagus : | | NDZ : | | l'abandon très probable de R.G. (différent avec Dragon - rappel) |
Où peut-on trouver plus de détail sur le sujet ? J'ai lu sur deux forums cette info mais je n'ai jamais vu l'information confirmée ou simplement un peu plus développée. |
Il me semble (ah internet et son problème de source :) ) que Peeters lui-même l'a confirmé sur BDGest. Après, c'est sûrement une reconstruction mentale d'un message du type : "le voisin de ma grand-mère a rencontré le cousin de Peeters et lui a dit:" |
Bon, après recherche sur le forum BDGest, il semble qu'il l'ait annoncé au festival d'Amiens. Mais je n'en trouve aucune réelle confirmation sur le Net.
Il y a juste sur le site http://frederik.peeters.free.fr le texte suivant concernant RG :
"Série prévue en 3 tomes ... peut être seulement 2 ..." |
| | NDZ, 01.07.2008 à 10:49 | 310294 |
| | | | Rohagus : | | NDZ : | | l'abandon très probable de R.G. (différent avec Dragon - rappel) |
Où peut-on trouver plus de détail sur le sujet ? J'ai lu sur deux forums cette info mais je n'ai jamais vu l'information confirmée ou simplement un peu plus développée. |
Il me semble (ah internet et son problème de source :) ) que Peeters lui-même l'a confirmé sur BDGest. Après, c'est sûrement une reconstruction mentale d'un message du type : "le voisin de ma grand-mère a rencontré le cousin de Peeters et lui a dit:" |
| | Mael, 01.07.2008 à 10:36 | 310293 |
| | | | Le garçon su sujet est dans le dernier Spirou tiens. Une belle illus et une interview plutôt sympa. |
| | | | | NDZ : | | l'abandon très probable de R.G. (différent avec Dragon - rappel) |
Où peut-on trouver plus de détail sur le sujet ? J'ai lu sur deux forums cette info mais je n'ai jamais vu l'information confirmée ou simplement un peu plus développée. |
| | NDZ, 01.07.2008 à 10:16 | 310291 |
| | | Koma 6 prévu pour septembre. Fred Pee boucle sa dernière série en cours, après l'abandon très probable de R.G. (différent avec Dragon - rappel). Inconditionnel de l'auteur, je trouve l'inconnu (prochains projets) qui s'ouvre devant nous (lecteurs) tout a fait excitant... un peu ce qui avait donné naissance à Lupus. Miam. Frederik, surprends-nous !! (dis-je en arrachant ma chemise)
PS: les fans d'oupopo sont servis :) |
| | | | Mais comment une bande dessinee arrive-t-elle a generer de l'emotion. Je ne veut pas etre polemique, mais je me pose sincerement la question. Elle y arrive, autrement je n'en lirais plus (le premier qui me ressort mes amours passees, honteuses et antediluviennes pour une certaine Jessica B auront droit mon plus profond mepris pour au moins 30 secondes). Si le lecteur garde une grande liberte en terme de rythme, qu'il n'aura pas au cinema, ou il peut litteralement etre pris en otage par un montage et une bande-son specialement etudiee pour provoquer l'emotion (procede que von Trier me semble utiliser de maniere virtuose dans "Dancer in the Dark", film pour lequel j'entretiens une relation d'amour-haine tant, d'un cote, von Trier me semble jouer la carte du melo de la maniere la plus ehontee, alors que tout le film, malgre ses outrances, est parseme de moments d'emotions pures, jusque culminer dans une derniere scene dechirante, mais dont je ne peux cesser de me demander jusqu'a quel point elle n'est pas 'scientifiquement' amenee, et de fait perd de son authenticite, mais je m'egare), ou un roman, dans lequel le lecteur peut superposer sa propre vision a celle de l'auteur, se reappropriant le texte au fur et a mesure qu'il le lit, par une certaine forme de projection.
En bande dessinee, si le lecteur a le controle du rythme, qui peut tout au plus etre influence par un travail de mise en page qui induit un ralentissement ou une acceleration du temps (technique expliquee par Scott McCloud, entre autre), il ne peut plus superposer sa propre vision au texte, le dessin prenant en charge ce role de support visuel (sauf lorsque le dessin est volontairement minimaliste, utilisant certains artifices, comme les masques dont Spiegelman habille ses personnages dans maus, ce qui permet de nouveau cette identification directe, le lecteur etant libre d'imaginer le visage derriere le masque). Il me semble que l'emotion, dans ce contexte, et plus que dans le domaine de la litterature et du cinema par exemple, depend directement de la receptivite du lecteur. Ainsi, je fais partie de ceux qui n'avaient pas du tout ete touche par "Le combat ordinaire #2" (a ce propos, j'avais aime la formule de Menu, me semble-t-il, qui parlait de confusion entre sensibilite et sensiblerie). J'etais dans un etat d'esprit particulier a ce moment, qui influencait ma receptivite a l'emotion que Larcenet voulait faire passer dans son recit. Il est possible que si je relisais ce livre maintenant, je sois touche. Ou pas.
Il n'y a rien d'objectif dans l'emotion. Certains sujets sont plus porteurs que d'autres, mais, par exemple, on m'a remis en main "la sidaique" de Jarry (pas Alfred, l'autre), ce weekend, dont le sujet est potentiellement (j'insiste) porteur d'emotion, et... (ceux qui connaissent se marrent deja). Il n'y a rien de pire que les vagues de violons johnwilliamesque et les gros plans appuyes sur le regard doux et fidele de Lassie alors que E.T. court vers elle, pour la serrer dans ses bras une derniere fois avant que le Titanic n'explose en plein vol.
Voila, c'etait mon intervention inutile mensuelle. Je retourne en ratatouille. |
| | | | | NDZ : | | mais j'ai le coeur d'Artie Shaw. J'assume. |
Fetichiste
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| | NDZ, 11.06.2008 à 8:03 | 309613 |
| | | Pour l'histoire du chien, il me semble qu'elle n'a pas été écrite par Peeters... Le constat que tu fais découlerait-il donc directement de la mise en image ?
On aurait selon toi un Fred Peeters expert en BD-émotion ? Je ne partage pas du tout ton jugement sur le côté répétitif / systématique de la charge émotionnelle de ses récits, on est loin d'un auteur qui a une recette (à la Marc Levy-Guigui Musso) et qui va nous la resservir à chaque lecture.
Dans ma parenthèse il y avait aussi le terme "inventivité" et cela sous-entend "renouvellement" du travail sur le forme et sur le fond. Après, il est vrai que Peeters (un peu comme Gipi) touche (de manière plus ou moins subtile?) régulièrement son lecteur. De la à parler de procédé (copyright de Juliette à superhéros qui me disait qu'elle avait l'impression de déjà déceler des tics d'auteur chez Peeters, dans la gestion des gros plans, notamment), il ne faut pas exagérer... Les thèmes abordés varient, la fiction ou l'autobio se croisent et se décroisent, la profondeur et la gravité des propos est également à géométrie variable, les personnages creusent des lignes de force dans son oeuvre mais le tout reste cohérent et avance.
Pour moi, la dernière planche est une franche réussite (où il aide sa fille à faire ses premiers pas) et peu synthétiser un peu les deux ressentis. Une tendresse incroyable se dégage de cette séquence, certains crieront "au mièvre", mais j'ai un coeur d'Artie Shaw. J'assume. |
| | | | | sixpieds : | | NDZ : | | où l'ont voit que même les histoires courtes de Peeters surclassent la majorité de ce qui sort (ambiance, densité, inventivité, puissance d'évocation, émotion, etc.) |
Je me demande dans quelle mesure la bande dessinée est tellement pauvre justement en récit d'ambiance de ce genre pour que, par contraste, l'oeuvre très bien construite de Peeters marque autant les esprits ?
(ça peut paraître polémique mais c'est une vraie question). |
tu poses deux autres questions , que l'on peut lier
| sixpieds : | | Etais-je à ce point un monstre froid pour ne pas avoir une espèce d'échelle d'appréciation émotionnelle entre un petit récit triste et touchant et une grande oeuvre dure comme pilules bleues ? |
puis| sixpieds : | | A en lire d'autres j'ai finalement trouvé cette charge émotionnelle trop systématique, trop construite, l'impression que la maitrise narrative prenait indépendamment le pas sur ce qui était raconté, m'ôtant la nécessaire crédibilité que je me sens devoir accorder au récit. De l'émotion, bien volontiers, mais issu du récit à laquelle elle est attaché. Forcément différente selon les récits. |
pour la premiere , est-ce etre un monstre froid que de se sentir plus affecte par la mort de son chien que par celle de 100000 personnes dans une catastrophe naturelle a 10000 km de chez soi ? parler d'echelle d'appreciation emotionnelle me semble un point de vue un peu cynique (syndrome tartuffe)
mais il est important de noter que tu parles ici de recit , du fait que l'emotion doive en etre issue : l'emotion venant d'un recit est-elle d'une nature differente de celle d'une emotion naturelle ? ou bien est-ce l'expression de cette emotion qui doit etre differente ?
la , je me rapproche d'un debat qui a deja eu lieu sur le kitsch (ou l'on avait cite larcenet et craig thompson , mais pas peeters...tabous bulledairiens ou vrai regard critique ?)
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| | | | | NDZ : | | où l'ont voit que même les histoires courtes de Peeters surclassent la majorité de ce qui sort (ambiance, densité, inventivité, puissance d'évocation, émotion, etc.) |
Tu mets les bons mots pour étayer ton engouement. Et c'est exactement pour cette même raison, précisément, que je n'arrive pas a apprécier le travail de cet auteur. a l'époque, j'avais lu une histoire courte (qui est peut-être dans ce recueil) dans bile noire, celle d'un chien galeux abandonné sur une plage. Et j'avais été surpris de voir toute l'émotion qu'on pouvait tirer à la lecture de ces quelques pages. Et puis, j'ai lu Pilules bleues et là quel choc : la même émotion. Hors la différence de gravité, de densité, de profondeur entre les deux récits ne me semblait pas discutable. Pourquoi alors, l'émotion avait été la même ? Etais-je à ce point un monstre froid pour ne pas avoir une espèce d'échelle d'appréciation émotionnelle entre un petit récit triste et touchant et une grande oeuvre dure comme pilules bleues ? A en lire d'autres j'ai finalement trouvé cette charge émotionnelle trop systématique, trop construite, l'impression que la maitrise narrative prenait indépendamment le pas sur ce qui était raconté, m'ôtant la nécessaire crédibilité que je me sens devoir accorder au récit. De l'émotion, bien volontiers, mais issu du récit à laquelle elle est attaché. Forcément différente selon les récits.
Je me demande dans quelle mesure la bande dessinée est tellement pauvre justement en récit d'ambiance de ce genre pour que, par contraste, l'oeuvre très bien construite de Peeters marque autant les esprits ?
(ça peut paraître polémique mais c'est une vraie question). |
| | NDZ, 10.06.2008 à 20:26 | 309598 |
| | | | où l'ont voit que même les histoires courtes de Peeters surclassent la majorité de ce qui sort (ambiance, densité, inventivité, puissance d'évocation, émotion, etc.) |
| | NDZ, 19.05.2008 à 11:06 | 309026 |
| | | | Un grand merci, j'y vois plus clair :) |
| | jmmelo, 19.05.2008 à 10:54 | 309024 |
| | | | NDZ : | | Apparemment l'est sorti... quelqu'un l'a en main et a le courage de saisir le sommaire, pour voir ce qu'il a dans le ventre ce recueil. Merci d'avance. |
je viens de rentrer tous ça dans la fiche... peut-être un peu tard du coup... |
| | niaf, 19.05.2008 à 10:37 | 309018 |
| | | Avant-propos
Happy New Year Bile noire n°2 | Atrabile | février 1998
A la recherche de Maradona Drozophile n°3 | Drozophile | mars 1998
Darius et l’an 3000 Bile noire n°3 | Atrabile | juin 1998
La Victime Bile noire n°4 | Atrabile | octobre 1998
Hardy le demi-dieu Lapin n°21 | L’Association | octobre 1998
Le Monstre Bile noire n°5 | Atrabile | février 1999
Le petit pays du bonheur Bile noire n°6 | Atrabile | juin 1999
Décalage Lapin n°24 | L’Association | juin 1999
Sigh Comix 2000 | L’Association | novembre 1999
Laetitia n’existait pas Bile noire n°7 | Atrabile | janvier 2000
La Merde Bile noire n°8 | Atrabile | mai 2000
Alvin Bile noire n°9 | Atrabile | octobre 2000
Remous Bile noire n°12 | Atrabile | juin 2002
Sans titre Ecritures n°14 | février 2004
Une bouteille à la mer Bile noire n°14 | Atrabile | juillet 2004
Sans titre Labo n°4 | Hécatombe | septembre 2004
Blood & Guts Bile noire n°15 | Atrabile | avril 2005
Sarajevo deux mille Bile noire n°10 | Atrabile | mars 2001
Sans titre Drozophile n°5 | Drozophile | avril 2001
Un tapis en hiver Bile noire n°11 | Atrabile | janvier 2002
Upsidedown Bile noire n°13 | Atrabile | avril 2003
Sans titre Bang n°7 | juillet 2004
Pin-up Holydays L’Express | juillet 2004
Sans titre Bile noire n°16 | Atrabile | janvier 2007
Moussons Profil Femme | juin 07
Le Temps Exposition La Suisse, pays BD | Pro Helvetia | 2005 |
| | NDZ, 19.05.2008 à 10:23 | 309016 |
| | | | Apparemment l'est sorti... quelqu'un l'a en main et a le courage de saisir le sommaire, pour voir ce qu'il a dans le ventre ce recueil. Merci d'avance. |
| | niaf, 09.05.2008 à 14:42 | 308447 |
| | | | La couverture de Ruminations a changé, celle de la base de données est l'ancienne. |
| | june, 05.05.2008 à 16:50 | 308165 |
| | | Samedi 17 mai, encore une invasion suisse à Besançon, vindzousssss.
Les renseignements seront pris auprès de nos standardistes Thierry, Ju et Nicosh, au 03.81.65.07.76, ou bien par email, à "bd", oui, comme les lettres "bd", comme c'est original, puis "@", vous savez, et enfin "camponovo.fr". Je vous laisse agencer à votre guise.
A bientôt ! |
| | | | | NDZ : | | Sur BDGest, un intervenant parle d'abandon de R.G. suite à des divergences de vue entre Peeters et Dragon (confidence en dédicace de la bouche même de F. Peeters)... |
En même temps, il y avait 20 personnes autour, donc pas vraiment une confidence, mais une annonce en bonne et due forme. |
| | NDZ, 21.04.2008 à 18:08 | 307341 |
| | | | ... cela se règle... je suis un peu fatigué de mon WE. |
| | NDZ, 21.04.2008 à 17:19 | 307337 |
| | | Sur BDGest, un intervenant parle d'abandon de R.G. suite à des divergences de vue entre Peeters et Dragon (confidence en dédicace de la bouche même de F. Peeters)...
J'ajoute juste ces deux lignes pour dire à Fred Peeters que je ne demande pas d'in/confirmation, je suppose que ce n'est pas le lieu, ce n'est pas le moment (on croise les doigts pour que cela ce règle... si c'est le choix de l'auteur, bien entendu). |
| | | | | Tout a déjà été dit ? Peut-être. Peut-être qu'il n'existe plus de polar original, peut-être qu'on ressasse toujours les mêmes obsessions, les mêmes trognes, les mêmes désillusions. Mais le travail sur l'ambiance, l'approfondissement des personnages, le regard de Peeters sur un homme, une profession en ayant à l'esprit le parcours de ce Peeters, ça c'est neuf et ça mérite de s'y pencher. Et puis il y a le travail sur les extérieurs, la vie de Belleville, l'opposition au 1er tome avec la période (été/hiver), la relation (recherche d'une passade/recherche d'une relation peut-être plus solide). Beaucoup de choses à lire dans ce second volume. |
| | SydN, 05.04.2008 à 8:07 | 306577 |
| | |
ceux qui n'ont pas aimé le 1er n'aimeront pas le 2eme. Le préfèreront peut-etre, mais de là à l'aimer, j'ai des doutes.
Mon avis personnel est que c'est bien, toujours un sacré boulot avec des choses interessantes a tous niveau dedans. Mais que je passerais certainement mon chemin au suivant, ayant déjà l'impression d'avoir fait le tour de la chose dès le premier tome...
aller, 2 PV pour moi.
Si je pouvais je mettrais 2,5 :) |
| | effer, 04.04.2008 à 16:32 | 306547 |
| | | RG T2: il y a beaucoup de séries policières, mais celle là sort du lot.
Ca sent le vrai: les longues planques entre collègues qui n'ont plus grand chose à se dire et qui ruminent leur vies poussives, entre paperasses, bureaux d'un autre age, guéguerre des polices, vie personnelle sur le flan, enquètes longues qui les plongent dans toutes les misères du monde.
Et pourtant, on s'y attache à ces flics des RG, ils n'ont rien de héros, mais justement, ils transpirent la vrai vie.
Les dialogues sont si justes et percutant ( quand le poing démange), les dessins sont excellents, avec des gueules expressivent des décors d'ambiance glauques quand il faut.
Je veux bien retourner "vider la Seine à la cuillère" avec eux, avec 4 grosses louches!
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| | Gillix, 30.03.2008 à 22:36 | 306325 |
| | | | C'est pas sympa d'être narquois, matois et mesquin à la fois ... ;o) |
| | | | | dampremy jack : | | Je suis belge et je l'ai ;) |
Je suis Belge et le possède aussi...
Il suffit de faire un petit tour chez les vendeurs de livres sans image :o) |
| | | | | Je suis belge et je l'ai ;) |
| | Gillix, 29.03.2008 à 21:34 | 306308 |
| | | Meme à Lausanne et Genève en libraire spé il est introuvable.
Gallimard a sous-estimé l'impact d'Angoulême et a choisi de tout livrer en France. Suisses et belges n'ont que les yeux pour pleurer et attendre un mois qu'un deuxième tirage soit achevé. Dixit le repré Gallimard ... |
| | | | | Il a été tiré combien d'exemplaires d'R.G. tome 2 pour qu'après 10 jours on ne le trouve pas -en Suisse- sauf en allant à Lausanne ou Genève en librairie spécialisée ? C'est frustrant :/ |
| | SydN, 27.03.2008 à 20:23 | 306215 |
| | | | Lucas Taieb : | | Précisons que ce sera un imposant recueil d'histoires courtes parues ici et là, surtout dans Bile Noire. En somme c'est le "Travail rapide et soigné" ou le "Quand faut y aller" de Frédérik Peeters. Y'avait besoin, je trouve. |
merci de cette précision :) |
| | | | | Précisons que ce sera un imposant recueil d'histoires courtes parues ici et là, surtout dans Bile Noire. En somme c'est le "Travail rapide et soigné" ou le "Quand faut y aller" de Frédérik Peeters. Y'avait besoin, je trouve. |
| | SydN, 27.03.2008 à 10:02 | 306174 |
| | | en avril chez atrabile:
Ruminations
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| | NDZ, 25.03.2008 à 9:43 | 306088 |
| | | Moi j'ai bien aimé le fait que l'auteur ne nous montre quasiment que du travail de limier (planques, recherche et recoupement d'informations, aspect documentaire par certains points, etc) et des rapports de forces dans les échanges humains mais quasiment rien niveau "action". Par exemple, la scène de poursuite sur les toits est quand même assez peu spectaculaire, on sent le vertige et la gravité qui guettent... c'est assez peu "plein les yeux" :)
En tout cas, ça m'a dégoûté un peu plus des multinationales de l'habillement... je vais continuer à porter des sacs poubelle. Et surtout, j'ai beaucoup apprécié l'apparition - en guest-star - de la moumoute présidentielle, c'est vrai qu'on peu le réduire à ça : la classe des cheveux bien coiffés d'un bonimenteur de foire ou d'un concessionnaire Talbot de l'Allier. Manque la brillantine. |
| | | | Oui, une réussite cet album.
Je me suis demandé pourquoi ça marchait aussi bien en BD alors que ça ressemble en tous points à ce qu'on pourrait attendre d'une série TV française fauché, loin de de Palma à mon avis. Eh bien je n'ai pas trouvé la réponse.
On marche dans l'histoire, on y croit, les ambiances de nuits pluvieuses sont magnifiques, la détresse des personnages qui accomplissent leur boulot est touchante, et les dialogues sont pourtant parfois très drôles. Un régal. |
| | grimmy, 24.03.2008 à 17:48 | 306071 |
| | | [rg2 : album sans vignette]Formidable !!! Après la semie-déception du premier volume, ce nouvel opus est une véritable surprise. Finie la chaleur étouffante (et la torpeur qui va avec) du premier titre, ce "R.G.t.2" se passe en hiver et le temps grisatre et triste ammène une noirceur et une mélancolie des plus subtiles. C'est une histoire triste, profondement dépressive où l'on imagine la detresse des personnage entre chaque case. Admirablement bien dessiné et écrit (ah ! ces dialogues, quel talent il a ce Peeters -ex: ce "je te préviens à l'avance" que JAMAIS Peeters n'aurait employé, mais Pierre Dragon, oui), "R.G t2" ne ressemble finalement à rien de ce qu'on a déja lu ou vu. On peut peut être retrouver une mise en scène assez proche parfois d"un Brian De Palma (l'insistance des fonds d'écran d'ordi comme un Paradis espéré), mais franchement à part ça, non rien. La lecture achevée, on reste pantois et admiratif devant ce beau travail accompli et offert à nous les lecteurs. Bravo les gars. (et vu le nombre incroyable de merdes publiées ces derniers temps, la lecture de ce "R.G" a regonflé mon moral.)
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| | | | | Le PBE : | | J'ai vu RG#2 en librairie à Paris la semaine dernière mais il était peut-être tombé du carton. |
T'inquiète, les RG sont sur le coup. |
| | Le PBE, 18.03.2008 à 14:19 | 305846 |
| | | | J'ai vu RG#2 en librairie à Paris la semaine dernière mais il était peut-être tombé du carton. |
| | NDZ, 18.03.2008 à 14:13 | 305843 |
| | | Quelque part sur la toile...
Confirmation des sorties 2008 de Mr Peeters : R.G.2 (mars), Ruminations (avril) et Koma 6 (septembre). |
| | grimmy, 11.03.2008 à 12:37 | 305499 |
| | | | et à Besançon le 17 mai !! |
| | | | Juste pour dire que RG2 était uniquement présent sur le salon de Bruxelles, je ne crois pas qu'il soit officiellement sorti en Belgique. Et il sera également disponible en dédicace vendredi 14 à Paris à la librairie rue de Charonne ainsi que le lendemain au salon du livre et à album Bercy.
A bientôt. |
| | chrisB, 10.03.2008 à 17:06 | 305459 |
| | | | Rosa passe trop de temps à faire du lobbying sur les forums, ca retarde son boulot sur les albums :o) |
| | SydN, 10.03.2008 à 16:36 | 305456 |
| | | Bayou a des problemes pour tenir ses délais apparement ce mois-ci... Le bouquin de Lisa Mandel est lui aussi repoussé...
Quelqu'un en connait les raisons? |
| | grimmy, 10.03.2008 à 13:11 | 305434 |
| | | | RG c'est le 20 mars. Après, les sorties bleges m'échappent un peu. |
| | | | | grimmy : | | RG est repoussé à fin mars et Ruminations c'est pour mi avril (voire fin avril). |
Merci pour ta réponse rapide :) |
| | nis, 10.03.2008 à 12:35 | 305428 |
| | | | Mon beauf m'a dit hier qu'il avait acheté le RG 2 à la foire du livre de Bruxelles. |
| | NDZ, 10.03.2008 à 12:19 | 305425 |
| | | | grimmy : | | RG est repoussé à fin mars et Ruminations c'est pour mi avril (voire fin avril). |
Flûte ! encore attendre... Ouf ! pour le porte-monnaie. |
| | grimmy, 10.03.2008 à 11:59 | 305418 |
| | | | RG est repoussé à fin mars et Ruminations c'est pour mi avril (voire fin avril). |
| | | | Bonjour à tous,
RG et Ruminations ne sortent-ils pas aujourd'hui ?
Merci. |
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