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Bulledair en alexandrin [ Discussions générales, Duels, petits jeux rigolos... ]
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| | | | Quoi? je suis une courge? une cucurbite, assez!
Qu'y a-t-il de plus beau que de jouer sur les mots
Tout comme Léon le fait, ce cher cétacé
Et Tini qui ne craint de passer pour un sot
Dites-moi chère amie, comment vous rassurer
Nos intentions ne sont pas vraiment déplacées
Ceci est un hommage, à la littérature
Bien modeste il est vrai, mais c'est parfois très dur
Léon est un ami, fort joyeux camarade
Sa propre répartie provoque moult rigolade
Si nous nous étripons ce n'est que pour rire
Et pour ces quelque rimes qui nous font tant plaisir
|
| | | | Alexandriiiie, Alexandrin. Ha !
Hum, désolé. |
| | | | Je ne peux qu'acquiescer aux propos de J-C.
Ce sont joutes courtoises et folies débridées.
D'autre part, Mr Claude, cette cucurbite,
A la répartie fine, et je l'en félicite.
Ah, si sur un certain forum auquel je songe,
Au ton parfois vénéneux comme fause oronge,
Les querelles devaient se faire en bouts rimés,
J'en connais plus d'un qui devrait abandonner. |
| | J-C, 24.11.2001 à 17:48 | 11239 |
| | | ils aiment cependant beaucoup se taquiner
mais rassurez-vous, ce n'est jamais la guerre
tout sera oublie autour d'une biere
croyez moi, vous aussi vous en rigolerez
At'chao ! |
| | J-C, 24.11.2001 à 17:41 | 11238 |
| | | mon amie Don Lope, ne desesperez point
aucun coup n'est porte, ils ne se font pas mal
nulle animosite entre ces deux coquins
je peux vous l'accorder, ce n'est pas tres banal
At'chao ! |
| | | | S'il vous plait excusez, ma conscience adorée
Ce débordement de bile non controlée
La colère est dit-on, mauvaise conseillère
Et à me relire je ne suis pas très fier
Mais ici chez Manu, nulle mauvaise ambiance
Les belges sont arrivés, que la fête commence
Cependant il faudra, jusqu'à tard dans la nuit
De mes vers vous passer, c'est dommage mais tant pis. |
| | | | J'en ai trop entendu, me voilà revoltée
Expliquez moi le but de cette mascarade
Pourquoi vous enteter avec ces simagrées
Vous qui semblez pourtant etre bon camarades
C'est je trouve gacher l'art de la poésie
Qu'ainsi et sans raison se faire des pieds de nez
Sans doute n'avez vous pas des poètes l'esprit
pour toujours de pareilles sottises aligner !
Je pensais faire de vous de parfaits gentlemans
Force m'est de constater que vous n'êtes que des ânes !!
|
| | | | Pour ridiculiser, nul besoin de fraper fort
Les meilleures insultes sont parfois classiques
Mais si cela vous sied je n'ai aucun remord
Je ne me retiens plus, pustule diarrhéique! |
| | | | Penser faire ployer mes robustes épaules
Avec un quolibet volé à Darry Cowl...
Mr Claude donne des signes de faiblesse,
S'il croit qu'une saillie infantile me blesse!
|
| | | | Cet harmonieux visage, comparé à de la couene!
C'en est trop et aussi, à défaut de cailloux
Lui jette à la figure quelque insulte idoine
Vous, Léon le Wacky n'êtes qu'un canaillou
|
| | | | Le cuistre me compare à un fruit exotique,
Je vais jouer aussi la carte métaphorique,
Et dévoilant ainsi mes sentiments sans fard,
Je crie "Mr Claude est une tête de lard".
La trève est écourtée. Soit, ce n'est pas noël.
Pourquoi nous retenir de cracher notre fiel?
L'épée, dit-on, est moins tranchante que le verbe
Qui est moins meurtrier, mais combien plus acerbe!
|
| | | | Cette insulte de trop hérisse mon épiderme
Qu'attends-t-on pour qu'enfin à l'asile on l'enferme
Ce félon qui s'entête et navre mon ulcère?
Il mériterait bien qu'un autre l'éviscère
Je m'en chargerais bien mais c'est trop contraignant
Il faut dire que chez lui c'est plutôt répugnant
Et peut-être après tout, ce diable d'insensé
Ne sachant ce qu'il fait doit-il être excusé
En y réfléchissant, quel moyen bien puéril
S'insulter en rimant, ceci est trop facile
Mais doit-on pour rimer, toujours rester poli?
Nenni! mais seulement, montrer un peu d'esprit
De l'esprit le Wacky, il en a à revendre
Aussi le laisserais-je partir sans le pendre
Car à la vérité, qu'y a-t-il de plus beau
Que de fanfaronner, jouant les Cyrano?
Une joute verbale, telle est notre Roxanne
Ne craignant me faire mal, je dis "Léon, banane!"
En cette heure tardive, propice aux noctambules
Le sommeil m'a quitté, comme c'est ridicule
Aussi je poétise, sans prendre de recul
Sur ce site plein d'air à l'intérieur des bulles
Les lèves-tôt me liront, au petit déjeuner
Entre pain et croissant, et le bol de café
Il en est même qui, ayant un cours d'anglais
(Ceci un samedi, à personne ne plait)
Souriront peut-être et ces vers apprécieront
Et l'esprit enchanté à l'école elles iront
Ce message est somme toute d'ordre personnel
Peu importe après tout, la rime est toujours belle
Voici venir la fin de ce bien long diptyque
Ressemblant maintenant à un poème épique
Voilà comme promis ces vers, en attendant que sonne,
Un jour ou l'autre cet aimable téléphone |
| | | | Oui, la trève me sied, mais je ne me dégonfle.
On me craint quand je rime autant que quand je ronfle.
Et si je m'adoucis, je n'en suis pas plus tendre.
Mr Claude, blanc-bec, ne perd rien pour attendre.
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| | | | Cessez donc vos querelles, je propose une trève
Car nous nous éloignons toujours plus des rêves...
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| | | | Sachez monsieur Léon que je n'apprécie guère
Vos airs de grands seigneurs, vous n'êtes pas peu fier
Mais il peut arriver qu'à trop chercher de noises
Comme un vulgaire étron, un plus fort vous écrase
Je ne suis pourtant pas de ceux que ça excite
Les accès de violence bien souvent j'évite
Aussi pardonnez mon ire, mon emportement
Et de vos insinuations, j'en ferais autant
Quant à vous everland, je vous dis cher ami
Que si j'apprécie une telle ritournelle
Dont les paroles aisément entrent dans l'esprit
J'ai connu naguère votre inspiration plus belle
Et puis gente dame veuillez séchez vos larmes
Sachez bien que sitôt ma journée accomplie
Je me hâte de prendre ma plume pour arme
Afin de vous plaire car il m'en fait envie |
| | | | Je ne vis plus que pour tous vos alexandrins
Quand l'aurore se lève, s'éclairent mes matins
à l'idée de vos vers inspirés par la nuit
Pourquoi donc de la sorte alimenter mes peurs :
Je ne vois rien venir et pourtant passe l'heure.
Vous m'en voyez peiné : desespérée je suis...
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| | | | C'est me salire tres cher que d'insulter ma chaire
Laissez donc de coté votre misérable air
de joueur de pipeau à court d'inspiration
Dont les charmes ne peuvent mettre fin à toutes nos passions !
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| | | | Que dit donc ce Claudius avec sa "triple buse"?
Est-ce un propos codé, un rébus, une ruse?
Je n'ai vu par ici nul rapace à trois têtes.
C'est fable d'histrion, facétie de poète.
Quant à cette expression, "lamentable wacky",
Je n'y répondrai pas, même par le mépris.
Les nicodèmes qui pensent salir l'honneur
Du clan de Wackyland perdent bien leur sueur.
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| | | | Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
Doubadi Doubabada
Mr Claude ah !
Dpubada Doubadi
Mr Claude ih !
everland |
| | | | Mais c'est bien naturel chère conscience adorée.
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| | | | Je vous suis grès mon cher de votre attachement
D'ainsi vouloir défendre contre vents et marées
Celle que vous nomiâtes "muse" dans un étourdissment...
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| | | | J'ose espérer que ce lamentable wacky
N'oserait parler de la sorte de ma muse
Car pour laver l'affront d'une telle infamie
Ma vengeance sera grande, espèce de triple buse
Ou bien par une autre muse est-il inspiré
Comme par exemple sa vieille ennemie Thorn
Mais comprenez que quand la mienne est attaquée
Elle et moi nous prenions le taureau par les cornes |
| | | | PLus d'esprit que de coeur n'est-ce point un outrage ?
Je le crains fortement, se prépare un orage...
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| | | | La muse, tel l'amour, est un oiseau rebelle,
Et pour l'inspiration, elle se fait cruelle.
Elle est capricieuse, fantasque et versatile.
Lunatique et espiègle, elle n'est pas fille facile.
Si la muse musarde et se fait musaraigne,
Et si de blonde en brune elle veut qu'on la teigne,
C'est qu'elle prétend bien affoler le rimeur,
Cette chipie qui a plus d'esprit que de coeur.
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| | | | Ah quel goujat je fais de ne me rappeler
Qu'au dur labeur sans cesse vous vous échinez
Votre écorce cache pour qui sait la peler
De nombreux trésors cachés pour qui sait chiner
Goujat je le suis d'ailleurs encore plus que tout
De ne point m'enquérir de votre trachéite
Qui par de bien douloureuses quintes de toux
Dans votre gorge, je le crains fort, vous irrite
Mais si vous trouvez qu'il est vraiment trop facile
Pour votre guérison d'aller prendre un strepsil
Sachez que je ne suis pas du genre à railler
Un joli filet de voix fut-il éraillé
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| | | | Claudi
Je suis chagrine aussi de ne vous revoir point
Mais le travail jamais ne ménage don Lope...
Que puis-je y faire ? Le temps est aujourd'hui bien loin
de nos rêves d'enfant...et suaves mélopées
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| | | | Quoi? cette rime ne vaudrait pas un radis?
J'entends déjà quelques âmes plutôt moqueuses:
"ah ça!, pourquoi pas une rime avec Cardi?"
Certes c'est une subtilité bien truqueuse
Mais parfois c'est bien triste la muse est volage
Et le poète en herbe se trouve fort dépourvu
Mais ou êtes vous donc ma muse?, comme c'est dommage
Cela fait longtemps que je ne vous ai revue. |
| | | | aux "ost"
Je ne comprend plus rien à vos histoires d'ost
Aussi d'oastes en ost, je préfère convoler
Vers c'que j'aime appeler des cieux bien moins laids
Cessons de glorifier les morts par nos toasts
Je vous propose des lors pour rime le paradi !
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| | | | Leon,
Je suis ma fois comblée de votre réaction
Quelle ouverture d'esprit, vous m'en voyez ravie !
C'est pourquoi je requiert dès lors votre attention :
Le psychisme est un gouffre, n'y perdez pas la vie...
Car si je me permet d'ainsi vous conseiller
de vous laisser glisser vers la psychanalyse,
C'est seulement pour défendre ce beau corps de métier
Et non vous inciter à boucler vos "valises"
Laissez moi insister : ne vous engouffrez pas
trop vite dans je ne sais quelle quete éperdue,
Aujourd'hui vous riez mais demain serez làs
Je le devines fort bien de part tout vos préludes
|
| | | | Réponse à Don Lope.
Ma tendre Don Lope, je reconnais bien là
Votre si bel esprit qu'envierait Vaugelas.
De ce ton persifleur, mais sans être acariâtre,
Vous voulez me jeter dans les bras des psychiatres?
J'en jubile, ma foi! Ce serait bien plaisant
De les voir ahuris devant mon inconscient.
Aux mains du docteur Freud, je vais m'abandonner
Pour permettre à Ever d'ajouter "Poil au nez!" |
| | | | En recomptant les pieds, mon dieu ce n'est pas bien
Oh que voilà un bien bancal alexandrin
treize pieds pour rimer c'est trop bien entendu
Aussi je jure que l'on ne m'y reprendra plus |
| | | | | Et j'en oublie de rimer, mes amis quelle horreur!!! |
| | | | Me voila devancés par d'autres rimailleurs
Qui par la magie de leurs plumes acérées
Font passer mes rimes, par les cheveux tirées
Pour de la vulgaire roupie de sansonnet |
| | | | Pour cloturer un beauté je propose un toast
Ne trouvant que des rimes aux accents "West Coast"
I propose this: "Bulleadir, The Site you like the most"
P.S. Excusez je vous prie, ces rimes riquiqui |
| | compte supprimé . 21.11.2001 à 21:45 | 10930 |
| | | Devrons nous faire appel aux bandits de la coste ?
Joe starr avant nous s'y était essayé
Lui qui sa belle voulait à tout prix charmer
En l'emmenant faire un tour dans sa Benz Benz Benz |
| | J-C, 21.11.2001 à 21:39 | 10927 |
| | | et dire au revoir a l'ecurie d'Alain Prost
At'chao ! |
| | | | Qu'ajouter à ceci pour conclure la journée
Je vous laisse réfléchir et completer ce post
La chose n'est pas aisée, il s'agit de rimer... |
| | | | J'aurais pu aussi bien dire "minus habens"
Mais la rime n'eût été que visuelle. Ah mince! |
| | | | Par un a-peu-près, je dirais "dépêche d'Ems"
Cette référence historique est très seyante
Mais je sens que ce n'est pas ce qui vous contente
Aussi en anglais dirais-je: "that makes no sense!" |
| | | | Vois savez compléter les vers j'en suis fort aise
Mais les mots sont aisés vous n'êtes pas balaize
Et sauriez vous si bien trouver la rime en "Bens" |
| | | | Ceci est un compliment et je le prends bien!!!
Ma foi, que ce jeu ne cesse d'être épatant
De la rime toute seule vous décidez
Et moi, décidément, rien ne me plait autant
Que vos si jolis vers chercher à compléter
|
| | | | | Nullement nécéssaire, je vous sais trop malin |
| | | | | Dois-je pour tout comprendre chercher une ruse? %))) |
| | | | Ma chere et tendre chaire, quel profond désarroi !
Jamais je n'aurais cru vous causer tant d'effrois
J'ens suis toute peinée, acceptez mes excuses !!
|
| | | | Ma chère et tendre conscience, quel désarroi!
Ma chair est tendre, confiant ces quelques effrois
Car si je suis heureux de cette introduction
La ressemblance suscitant l'admiration
Vos quelques lignes m'ont plongé dans un abîme
De tristesse car oui vous manquâtes une rime
Passe encore qu'on se trompe en comptant les pieds
Par un vilain hiatus se faire désarçonner
Mais il me semble dois-je vous le rappeler
Que vous fîtes une rime avec le mot "idées"
Cela ne rime guère avec psychanalyse
Voila donc le pourquoi d'une telle surprise
Devant votre si rare manque d'à-propos
De lapin! (tel Léon, c'est un bon jeu de mots) |
| | | | Léon,
Ce magret de canard me met en apétit
Provoque mon enthousiasme et éveille mes sens
Je cherche pour vous répondre le meilleur alibi
Et sans grand résultat ni espoir je me lance :
Je voudrais vous faire part d'une de mes reflexions
Cette capacité d'associations d'idées
Dont vous sûtes faire preuve par votre inspiration
Me pousse à croire pour vous en la psychanalyse.
Faites ce que bon vous semble de ma proposition
Cela ne changera point mes considérations.
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| | compte supprimé . 20.11.2001 à 23:02 | 10821 |
| | | J'aurais bien aimé comme vous poétiser
A plates coutures battue dois m'avouer
Ne sais faire que des alexandrins à 13 pieds
Serait-ce l'inflation qui me menacearit ?
Le poète est pareil au prince des nuées
Son clavier microsoft l'empeche de rimer
Nini (avec un chtit emprunt à Charles) |
| | | | Que je sois donc honni, mon âme est bien chagrine.
J'ai omis de saluer notre douce Ysengrine.
Bonjour, ô Don Lope, ton grand retour m'agrée...
De canard! (Pour finir sur une simagrée!) |
| | | | Le temps parfois nous fuit, et c'est détestable
Pour apporter un peu de style et de magie
Par quelques vers heureux et pleins de poésie
A ce site qui luit de feux incroyables
Ce sarit bien triste de ne pas essayer
Sous forme d'un hommage modeste a Bulledair
Sans trop de bavardages, de trousser quelques vers,
Aimables artites par les mots inspirés
Pourquoi s'embêter, aucune rime riche
Juste pour pimenter des rimes à l'hémistiche
A la forme classique je ne fais attention
D'aucuns mal embouchés vont dire que je triche
Mais de les provoquer, sans cesses je m'entiche
Là finit sans panique ma participation |
| | | | Oyez chers compagnons que je vous interpelle
J'aimerais pour vous plaire, parler en poésie
Pourtant à mon approche vous fuyez à tire d'ailes
Et mon coeur aujourd'hui s'en trouve tout meurtri
Mais je garde l'espoir d'un jour vous faire rougir
De ne plus vous voir rire de mes tendres appels.
Ne vous méprenez pas, c'est loin d'être une satire
Mais bien plutôt la voix de mes ires personelles... |
| | | | L'HYMNE A LEON
Il était en Belgique
Un homme cultivé
Qui se donna pour but
D'apprendre le français
A des troupes de brutes
Et des têtes de cons...
C'était bien utopique,
On l'appelait Léon.
Dés le tout premier jour,
Tout à ses idéaux,
Il tint à réciter
Et Verlaine, et Rimbaud,
L'assistance étonnée
Par sa crédulité
Prise, il est vrai, de court
Le laissa déclamer.
Les brutes sur leurs sièges
Reprirent leurs esprits
Quand le brave enseignant
Entonna Valéry...
Faut-il être inconscient
Pour espérer apprendre
Le français à des belges
C'est à ni rien comprendre !
Un gamin de deux mètres
Aux manches retroussées,
S'approcha du conteur
Qui paru amusé
"Et bien ! Il n'est pas l'heure !"
Dit-il avec entrain
"Tu veux parler peut-être ?
Alors lève la main !"
Il souriait encore
Quand le coup est parti
Sa tête sur le mur
Fit un étrange bruit
Car la pierre était dure
Tant le crâne était creux
Il se brisa le corps
Et se creva les yeux
On raconte aujourd'hui
Que le jour de la messe
Pour louer le défunt
Les soeurs serraient les fesses
Par crainte des crétins
Qui étaient tous venus
Beuglant du Valéry...
...Le cours leur avait plu !
Bon, ce ne sont pas exactement des alexandrins mais ça a le même rythme qu'un poême en alexandrins avec césure :o)
|
| | J-C, 19.11.2001 à 22:27 | 10697 |
| | | hola compagnons ! n'avez-vous point remarque ?
nous avons trouve une belle compagne
notre Chimene, ou bien notre Roxane,
venez tous saluer notre amie Don Lope.
At'chao ! |
| | | | Everland, vous manquâtes de délicatesse,
En mêlant gente Thorn à un récit de fesses.
Excusez-vous sur l'heure, ô maraud impudique.
Thorn la tonique ne rit pas quand on la... pique. |
| | | | "Néant, cruel abîme, insupportable vide,
Où s'est évaporé l'enivrante boisson ?
Qui a sifflé mon vin ? Hôlà ! Hep ! Hé ! Garçon !
Allez remplit mon verre, j'ai le gosier aride !"
Ainsi beuglait Léon vautré dans le pinard
Qu'il avait renversé en attrapant son verre
"Hôlà ! Hep ! Hé ! Garçon !" Voilà qu'il roule à terre...
Et Gueule de plus belle, avachi, l'oeil hagard...
Keyan, non loin de lui, sursautant à la chute
Manque de vaciller mais au dernier sursaut
De sa lucidité (malgré le CinzAno)
Parvient à s'accrocher à thorn... ou à sa jupe...
Pas de chance pour lui : la robe était légère
Et bien mal attachée aux hanches de la belle,
Keyan tomba au sol, le nez dans la dentelle
tandis que notre amie se trouvait fesses à l'air...
Moralité : Il n'est pas de mésaventure
Qui ne profite au moins à l'un de vos amis
Thorn ayant contracté des dettes infinies
Ever lui proposa de régler en nature :o)
|
| | | | Me voilà de retour à Saône dans le Doubs
Par l'aurore éveillé, entre la nuit le jour
Je reviens pour poster, me voilà de retour
A Saône dans le Doubs, je reviens parmi vous...
Et si vous me lisez, assis devant l'écran,
Sans pour autant me voir et sans m'imaginer,
Ce matin ou ce soir, et si vous me lisez,
C'est que pour un instant, je suis devant l'écran...
L'ordinateur, étrange, écrase les distances,
Le temps qui les enlace et les lieux qui dérangent
L'ordinateur efface, ordinateur étrange,
Enlasse nos absences et nos silences las...
Désolé il y a une faute de pied à la fin mais faut que j'aille au boulot, plus le temps de chercher :o) |
| | | | Je m'en voudrais messieurs de souiller le parterre
De cette resurection de nos trois mousquetaires,
Permettez cependant que je vous félicite
Il est rare aujourd'hui d'entendre pareil rythme |
| | | | Je reconnais JC, en toi, l'homme de coeur
Qui ne saurais laisser le silence effacer
La force d'un sujet où l'on doit composer
Pour exprimer la joie, l'amour et la douleur
|
| | J-C, 16.11.2001 à 19:15 | 10468 |
| | | mais voila plus d'un mois que personne n'a ose
relever le defi de venir composer
de jolis poemes tout en alexandrins
douze pieds s'il vous plait du debut a la fin
nous etions quatre comme les mousquetaires
parfois sans eclat a tenter de le faire
dans les regles de l'art et avec la maniere
qui vous vous en doutez nous rendait vraiment fiers
At'chao ! |
| | | | O combien de marins, combien de capitaines
Qui sont partis joyeux pour des courses lointaines
Dans ce morne horizon se sont évanouis...
Ces vers sont de Hugo, et je m'en réjouis.
Et pendant que je récite Océano Nox,
J-C suit, captivé, les scores des Red Socks.
|
| | | | Je craindrais, cher léon, de me tromper de route
En suivant les conseils d'un marin pour la rime
Comme je craindrais Hugo partant dans la marine
Ou encor manuY qui volerait mes prout
A chacun son domaine point besoin de mélange !
Imaginez Brassens sur un rythme techno
Claude François chantant des rimes de rimbaud
Duteil swinguant sans sa guitare qui démange....
|
| | | | Demande conseil à Monsieur de Kersauson,
Qui, sur RTL, rima plus que de raison. |
| | J-C, 24.10.2001 à 20:59 | 8638 |
| | | merci mon cher ever de la faire remarquer
me voici maintenant bien mieux renseigne.
c'est bien la coupure qui reclame son butin
a moi pauvre novice en ce domaine
j'aimerais pourtant pouvoir sans grande peine
aligner joliement quelques alexandrins.
je ne suis pas decourage, au contraire
je vais chercher d'avantage a vous plaire.
At'chao ! |
| | | | Juste un mot en passant pour remercier Matthieu
Pour ce merveilleux post et pour lui signaler
Qu'il faut compter les "e" parmi les douze pieds
Ce n'est pas important mais ce serait bien mieux...
(mots incriminés : parasitE, fassE...) |
| | | | Excusez messieur dames, mon intrusion ici,
Mais j'aime tout comme vous, relevez des defis.
cet idée d'un sujet tout en alexandrins,
est, ma fois, fort brillante et fort peu je m'en plain.
quant au lourd parasite, qui polue nos doux vers,
vous avez devinnés de qui je veux parler,
Manu aura tôt fait, de couper ses inter-
-ventions, grand bien nous fasse, qu'il soit vite censuré ! |
| | | | Léon,
J'ai cru en te lisant qu tu t'étais trompé
Mais j'ai compté tes pieds, sans trouver une erreur
Le rythme de tes vers m'avait pourtant fait peur :
Il m'aurait bien déçu que tu te sois planté !
Pour notre ami JC, déjà à la lecture
Je m'étais dit : "Ever, il y a un problème,
Les chansons de nos vers ne semblent pas les mêmes !"
Ce n'est pas dû au pieds mais bien à la coupure.
L'alexandrin permet plusieurs écritures
Le souffle saccadé d'un phrase ternaire
Ou celui plus courant basé sur le binaire
De Racine à Molière avec une césure... |
| | | | Très cher Keyane, puisque Keyane il y a,
La critique est aisée, et l'art est difficile.
Plutôt que de persifler comme un fier-à-bras,
Pondez-nous donc quelques alexandrins dociles.
|
| | | | Je tiens à remercier JC pour ses messages
Qui a su préserver l'intêret du sujet
En proposant ses vers et en comptant leurs pieds
Il a fort bien mouché le crétin des alpages
Je parle bien sûr ici du dénommé Keyan
Qui tel une commère à la langue fourchue
Manie l'art de rimer comme un gros trou du cul
Et ne sait composer de vers élégamment
|
| | J-C, 23.10.2001 à 17:42 | 8476 |
| | | je ne repondrais pas a la provocation
d'autant moins qu'elle est mechante et vraiment gratuite
je serais en droit a chercher reparation
ce qui forcerait Keyan a prendre la fuite
At'chao ! |
| | J-C, 23.10.2001 à 17:30 | 8471 |
| | | il manque a mon propos de la fluidite
chaque jour sans m'arreter du matin au soir
recommencer tout le temps sans perdre l'espoir
qu'un jour bientot je saurais bien la maitriser
At'chao ! |
| | manu, 23.10.2001 à 17:25 | 8469 |
| | | | Trop fort, ce J-C :o) |
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