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youpali youpala, les bouquins qu'on lit, et pis ceux qu'on aime pas [ Discussions générales, Duels, petits jeux rigolos... ]
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| | | | | j'ai pas dit que les deux se ressemblaient, ils décapent tout les deux à leur manière. C'est vrai que American Psycho fait pas dans la dentelle alors que Will Self est, de formation, psychiatre, et beaucoup plus fin. Mais ils vont aussi loin dans leur analyse et, pour les deux, le climat est malsain |
| | june, 04.10.2003 à 9:48 | 113491 |
| | | >ah oui, Will Self, ça décape (presqu'autant
>qu'American Psycho). Je dois avoir lu tous
>ceux qui sont en livre de poche et pour
>l'instant, il n'y en a aucun que je n'ai pas
>adoré.
ben je n'ai lu que "un caillou de crack gros comme le ritz" et "les grand singes" de Self avant celui ci, et je pense avoir tout lu de Easton Ellis, mais j'aurais du mal a leur trouver autant de liens, je pense pas que j'aurais trouvé une filiation par moi meme...
certs, ca carbure, ca détonne, c'est sur.
mais la ou easton Ellis utilise un caustique souvent malsain, parfois a la limite de la provoc basique, je trouve que Self s'en sort mieux avec ce registre qui lui est propre, a savoir un cynisme pince sans rire et absolu, qui lui permet de faire passer autant de déviances et de sadisme de manière plus... fine, subtile... je sais pas. 8)
attention, hein, j'ai adoré les premiers Easton Ellis, ca m'avait bcp plu a l'epoque, hein. |
| | | | | ah oui, Will Self, ça décape (presqu'autant qu'American Psycho). Je dois avoir lu tous ceux qui sont en livre de poche et pour l'instant, il n'y en a aucun que je n'ai pas adoré. |
| | june, 03.10.2003 à 17:32 | 113347 |
| | | | attaqué ce midi "mon idée du plaisir" du fantastique Will Self. sur l'eidetisme, la perversion, sur un ton WillSelfien : ca demarre super bien. |
| | compte supprimé . 02.10.2003 à 19:47 | 113075 |
| | | >> Autant j'avais été séduit par l'inquiétante étrangeté de ses premiers textes, exploitant de manière très réussie le non-dit, le sens en suspension, autant Hôtel Iris bascule dans le surligné au gros marqueur, dans les effets vulgaires...
Tout pareilµ. Autant les premières nouvelles sont trés envoutantes, autant Hotel Iris ressace les mêmes thèmes sans aucune originalité. |
| | | | >>"Hôte Iris"
Hôtel Iris, bien entendu.
Autant j'avais été séduit par l'inquiétante étrangeté de ses premiers textes, exploitant de manière très réussie le non-dit, le sens en suspension, autant Hôtel Iris bascule dans le surligné au gros marqueur, dans les effets vulgaires... |
| | | | >> Je suis preneur de tout conseil pour combler mes lacune. Du moment que ce n'est pas du Murakami Ryu ou du Yoko Ogawa.
Ryu Murakami, je suis pas trop client. Par contre, son homonyme Haruki est un vrai bonheur.
Ogawa, j'avais aimé ses premiers récits courts, mais qu'est-ce que j'ai été déçu par son premier long texte "Hôte Iris", j'ai trouvé ça complètement nul et depuis, j'ai plus rien lu d'elle. |
| | compte supprimé . 02.10.2003 à 16:27 | 113058 |
| | | >> Mais bon, je continue à côté à me gaver de littérature japonaise...
Je suis preneur de tout conseil pour combler mes lacune. Du moment que ce n'est pas du Murakami Ryu ou du Yoko Ogawa. |
| | | | >> Là, je me donne en gros un an pour approfondir Kafka et son entourage (y a de la matière)
Yah! C'est une excellente résolution ! :) J'adore certains Kafka et notamment sa "lettre au père"
moi en ce moment, au milieu de bouquins 10/18 grand public pour lire en allant au taf, je suis reparti dans une période "romaine" en me re-enfilant les 2 volumes de Gibbon "Le déclin et la chute de l'empire romain" (2 volumes : empire d'occident puis empire d'orient, chez "Bouquins") C'est vraiment une mine d'or ces bouquins (et puis ça tient des semaines entières voire des mois de lectures et de notes) |
| | | | >> Et daiboken quand tu te passionnes pour un sujet tu te passionnes jusqu'au bout. Chapeau.
Bah, c'est juste ma façon de fonctionner, ça mérite pas de louanges particulières.
En règle générale, la fin du 19ème siècle et la première moitié du XXème siècle, c'est une période qui me touche particulièrement, à pleins de niveaux.
Et c'est vrai que récemment, j'ai lu pas mal de bouquins sur les rescapés des camps de concentration nazis, et que ça devait inévitablement finir par me conduire à Kafka...
Là, je me donne en gros un an pour approfondir Kafka et son entourage (y a de la matière), avant d'entamer un gros focus (je reprends un bulleterme) sur la littérature de langue allemande (où je ne connais pas grand chose excepté Nietzsche).
Mais bon, je continue à côté à me gaver de littérature japonaise... et j'ai toujours une admiration sans bornes pour la littérature argentine.
En fait, pour moi, la bd, c'est juste un à-côté. :)))
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| | june, 01.10.2003 à 22:56 | 112887 |
| | | >- "détonation rapprochée" de C.J. Box, à
>sortir au Seuil.
c'est une version moche et reliée a l'arrache a destination des libraires qu'ont pas forcement le temps de tout lire ce qu'on leur envoie et qui en refourguent a leurs copains... 8)
>qui ne paraitra pas avant sa mort, d'après sa
>demande.
l'interviewer en question est une haute figure du mileu zik experimentale et réside a besancon...
j'ai aucun mérite, je suis une merde... |
| | compte supprimé . 01.10.2003 à 22:44 | 112882 |
| | | >> - "détonation rapprochée" de C.J. Box, à sortir au Seuil.
>> qui ne paraitra pas avant sa mort, d'après sa demande.
Mais tu es correcteur ou quoi? 8))
Aucune de ses livres n'est paru et toi tu les lis déjà? O_O
Et daiboken quand tu te passionnes pour un sujet tu te passionnes jusqu'au bout. Chapeau.
J'adore ce genre de sujets où chacun peut piocher à ravir et où le consensus est quand moins grand qu'en bande dessinée mainstream. 8) |
| | | | | sinon, euh entamé depuis longtemps, je le lis par petits bouts pasque bon, quand même... "quelle autre mondialisation" par la revue du Mauss. Hein? sisi je vous assure. :o) |
| | | | Suis en train de lire "Lettres à Milena" de Kafka.
Ca m'est venu après avoir lu "L'écriture ou la vie" de Jorge Semprun, où il décrit son expérience à Buchenwald et cite les lettres à Milena.
Après ça, j'enchainerai avec le "Milena" de Margarete Buber-Neumann qui décrit ses rapports avec Milena Jesenska (la traductrice tchèque de Kafka, objet de sa correspondance passionnée et passionnante) dans le camp de Ravensbruck (où Milena est morte en 1944).
A côté de ça, je suis toujours dans le gros gros bouquin de chez Taschen "L'art au XXème siècle" et dans un bouquin qui s'appelle "Abstractions américaines" sur les peintres abstraits américains.
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| | | | | moi aussi c'est un des meilleur livres que j'aie jamais lus. D'ailleurs pour en être bien sur, je l'ai effectivzement jamais lu. :o) |
| | hoody, 01.10.2003 à 21:55 | 112865 |
| | | Apres l'integral de Rimbaud et les poésies de Nerval, je reviens vers un gros oeuvre complète de Baudelaire. Mais bon, je lis pas tout d'un coup, hein!
Sinon, MON livre de l'été: Tout est illuminé de Foer , c'est absoluement génial, un des meilleurs livres que j'ai jamais lu (meme si ca veux pas dire grand chose...) |
| | june, 01.10.2003 à 17:19 | 112769 |
| | | bueno. j'ai toujours 2 ou 3 bouquins en cours, entre lesquels je jongle selon mon humeur du jour ; parfois, je pose les autres pour finir celui qui me séduit le plus, mais ces jours ci, ca se résume à ca :
- "détonation rapprochée" de C.J. Box, à sortir au Seuil. j'en suis pas a la moitié, mais c'est bien écrit, ca va. variation autour du theme d'un mystere dur a resoudre pour une victime qui n'a pas demandé à l'etre. 8)
- je termine un bouquin qui reprends 19 heures d'entretien avec le décidément surprenant LaMonte Young, précurseur tendance extreme de la musique minimaliste, et qui ne paraitra pas avant sa mort, d'après sa demande.
- un article dans le Monde ("...des Livres") d'il y a 10 jours environ parlait d'une étude sur Orwell et sa legendaire paranoia, parue dans le "New York review of Books 09/2003", fascinante et bien persuasive. 8)
- pour decompresser, y'a un Paasilinna qui traine pas loin, "le lièvre de Vatanen", que j'avais lu trop a l'arrache. hilarant, fin, subtil, cynique mais tellement vrai, comme d'hab.
- "Martin roi", d'un "nouveau" auteur, Francois Prunier, qui brosse le portrait en forme de bio (a moins que ca ne soit le contraire) d'un mec qui se decouvre super super super maso. super bien écrit, je trouve.
voila. |
| | cubik, 01.10.2003 à 17:07 | 112759 |
| | | tiens, j'avais jamais vu ce sujet
ben en ce moment, je viens de finir le harry potter 3 en vo, et j'ai commence le cycle de tschai
ca se lit vite en tout cas :) |
| | | | | en ce moment je lis Plein de vie la biographie de l'excellentissime John Fante par Stephen Cooper, aux éditions 10/18. C'est vraiment très très bien, on y apprend plein de choses sur cet écrivain phare italo-américain qui a influencé des dizaines d'auteurs par la suite. Si vous n'avez jamais lu de John Fante, foncez, foncez, c'est un auteur exceptionnel. |
| | Grunt, 31.07.2003 à 13:10 | 101239 |
| | | Le dictionnaire Goscinny.
Le dictionnaire Goscinny
Anne Goscinny
Documents Contemporains
Un événement, Un travail de Romain ! René Goscinny a mis au monde une extraordinaire galerie de personnages, héros de notre enfance avec les plus grands dessinateurs de son temps : Uderzo, Morris, Tabary, Sempé, Gotlib… Ce dictionnaire fait l’inventaire exhaustif de plus de 2 000 personnages. Pour chacun l’histoire de sa naissance, sa vie, ses meilleurs gags, ses phrases clés… A. Aymar du Chatenet a eu accès aux synopsis originaux de Goscinny et, grâce à de multiples encadrés, ce sont les secrets de fabrication d’un fabuleux inventeur qui surgissent sous nos yeux. Astérix, Lucky Luke, Iznogood, le petit Nicolas… 19 séries, 150 albums, 387 romains et gaulois, 654 cowboys et indiens, 309 génies et princesses, 91 sangliers, 48 os… Les extraits inédits de scénarios, des centaines d’encadrés thématiques et d’anecdotes méconnues.
Code ISBN : 2709623137 / Hachette : 4532503 / EAN : 9782709623131
Prix Public : 36,00 €
Format : 235 mm x 147 mm
1 248 pages
Pour l'avoir eu entre les pattes, je puis vous garantir que cet encyclopédie est truffée d'anecdotes passionnantes.
Elle fera le bonheur des fans de Goscninny, mais sera également une véritable sources d'infos passionnantes sur les oeuvres connues et moins connues du Géant Goscinny.
Dispo en Septembre.
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| | | | | Girl de David Thomas : l'histoire d'un mec qui entre à l'hosto pour une rage de dent et qui se réveille transexuel... Excellent. |
| | man, 12.02.2003 à 16:59 | 78039 |
| | | En ce moment, je relis le Seigneur des Anneaux :o)
Mais sinon j'ai plein de lectures programmées là, j'en parlerai plus tard :o) |
| | | | | Ma lecture du moment : "Le mari de Léon" - on-ne-rigole-pas! :o))) -, un des classiques san-antoniens qui manquaient encore à ma culture. Du très bon Frédéric Dard. |
| | Grunt, 12.02.2003 à 13:20 | 78010 |
| | | Inutile de dire que Emplacement réservé, est un bouquin à lire.
me suis trompé de topic, zut.
Quel con ce manu. |
| | Grunt, 12.02.2003 à 13:20 | 78009 |
| | | Inutile de dire que Emplacement réservé, est un bouquin à lire.
me suis trompé de topic, zut.
Quel con ce manu. |
| | Grunt, 12.02.2003 à 13:17 | 78008 |
| | | L’emplacement réservé, c’est un rectangle de peinture blanche tracé à même le bitume, devant la maison.
C’est l’unique concession de l’Etat au handicap dont souffre Emma, 8 ans.
C’est l’infime dédommagement conquis par la mère d’une blonde fillette que ses jambes ne portent pas et dont le QI n’est pas « testable ». Mais cette victoire sur l’administration cache de nouvelles batailles à mener, cette fois contre le reste du monde – conducteurs peu scrupuleux, amis négligents, ect.
Farouche, vital, l’humour court à travers les nouvelles de cette jeune mère en colère.
Né en 1962 à Bruxelles, Corinne Jamar a signé des albums pour la jeunesse et des scénarios de bandes dessinées, notamment, Filles d’Aphrodite (Glénat). Emplacement, est son premier recueil de nouvelles.
Humour grinçant. Décapant voire. ;o)
Fayard. 14 euro. |
| | | | sf: le cycle d'Elevation de david brin
alors bon, ici l'auteur decrit une societe galactique entiere sur... attendez je compte... 6 bouquins, suis-je bete, y a 2 trilogies. bref, resume de cette societe
il existe plusieurs types de races dans l'univers: les inhalateurs d'oxygenes, les inhalateurs d'hydrogene, les mecaniques... on s'interesse ici aux oxy sapiens
ces messieurs occupent un espace de 5 galaxies, sont composes d'innombrables especes cohabitant et suivant tout un fatras de regles pour pas se foutre sur la g*** toutes les 5 minutes, la croyance ultime:
tous les etres sapiens ont ete amenes a la sapience et a l'astroperegrination par une autre race. cette race est appelee "patronne" et l'espece"elevee" est la "cliente"
en echange de ce don de la sapience, la race cliente doit une bonne centaine de milliers d'annees de semi servitude a sa patronne pour 2 raisons:
1- la race patronne s'est pas cassee le cul a donner de l'intelligence a une race ayant du potentiel pour rien, faut pas deconner
2- les clients sont instables dans leur jeunesses et ont besoin d'un chaperon
voila le principe de base, d'ou decoule une grande question qui est l'objet de plusieurs religions farouchement opposees: y a t-il une race au depart et si oui, ou a-t-elle disparue?
la dessus, les humains arrivent comme un cheveu sur la soupe, eux qui pretendent etre arrives a la spacioperegrination par leur propres moyens et qui ont deja 2 especes clientes, les neochimpanzes et les neodauphins, ca qui est considere comme une grave heresie par les clans fanatiques.surtout, grace a ses clients, l'humanite doit etre reconnue comme espece souveraine et ne peut plus etre infeode a un clan ancien...
voila en gros le postulat de depart de ce fantastique livre univers ou se mele humanisme et fanatisme, sur un fond ecologiste. les contradictions de cette societe galactique ou essayent de cohabiter des millions de races sont innombrables. le premier tome de ce cycle est dispensable a mon avis, il s'agit surtout d'un roman policier futuriste. mais il faut se jeter sur Mree stellaire, le deuxieme tome, et sur Elevation, le 3e, ou sont decrits les modes de vie des deux especes clientes de la terre, leurs manieres de vivre, etc... avec beaucoup d'humour et de poesie(les dauphins, notament, decris dans maree stellaire, ont un langage appele ternaire fait de sifflements, entre une langue humaine et le delphinien primal, et qui est formee de haikus siffles)...
bref, de l'action, des larmes, de l'amour, du sang, un souffle epique des plus transporteurs... viendez chez vot' libraire et jetez vous dessus!!
livres (ordre chronologique) cites de memoire, je suis pas chez moi
- au coeur du soleil
-maree stellaire
-elevation
-redemption
-les rives de l'infini
-le grand defi
vala! |
| | | | | oups! ca m'apprendra a pas regarder le bouquin avant de faire mon interessant °.o) |
| | | | je trouve d'ailleurs que la meilleure partie d'american psycho, ce sont les descriptions de la vie quotidienne de Bateman (norman bates, c'est pas vraiment la meme chose ;o)).
Il y avait la une complete ritualisation du vain ainsi qu'une exacerbation de l'apparence (ca fait pedant, non ? ;o)))) Mais quand il commence a delirer sur les meurtres, j'ai decroche. Je trouvais qu'il poussait trop ou pas assez.
Cela dit, j'ignorais que Ellis avait et tant de problemes avec les feministes et les cretins ultra-orthodoxe. Bateman est un archetype. Ses valeurs sont celles, a peine deformees, d'une part de la population. Le nier, c'est refuser de regardder la realite en face !
A+ |
| | | | | ya un site sur le net ou la tete de ellis est mise a prix par ces feministes mais jeu sé pu ou cé |
| | | | | mais y'a pas de mal à parler longuement, de ce que l'on connait ;o))) (déjà que dans la ratatouille on est même pas obligé de le connaître... ;o))) ) |
| | | | le truc de brett easton ellis, c'est que ses romans racontent le vide, et c'est ca qui est effrayant. d'ou le titre Less than Zero, mais tous ses romans reprennent ce theme la. ses heros sont vains, n'ont pas d'ambitions ou des ambitions si mesquines que c'en est ridicule. je pense que son roman qui le montre le plus, et qui est le plus bizarre de tous est le dernier, Glamorama, l'histoire d'un manequin masculin dont la vie est tellement vaine que quand il se rend compte, ou plutot quand les evenements le forcent a se rendre compte de cela il va partir dans un delire completement schhizophrene (ou pas, c'est ce qui est troublant: le lecteur n'est pas aide par l'auteur qui suggere tout en n'apportant aucune preuve), ou il se retrouve a se coltiner a des terroristes. le cote theatral, strass et paillettes et sutout confettis, est omnipresent pour un livre etrange...
sinon, ratatouille, ca doit etre la facon dont tout cela est raconte qui t'as gene dans american psycho. qu'il mange, qu'il baise ou qu'il tue, ellis raconte la vie de bates comme s'il allait acheter une tranche de jambon.
il est aussi interessant de noter que ce bouquin a subit et subit encore les foudres des feministes des chretiens ultras justement a cause de ce style qui "degrade la femme et la ramene a un bout de viande", et aussi parce qu'il met en scene plus de meurtres de femmes que d'hommes. le probleme, comme je l'ai dit avant,c'est que c'est vrai, il traite les femmes comme de la barbaque dans ce bouquin, mais lui aussi, n'est finalement que ca, et c'est pourquoi ce bouquin est rempli d'humour, assez bien retranscrit dans le film d'ailleurs. ce livre est une carricature, il a un cote bouffon. ceux qui l'ont pris au 1er degre reagissent comme ces feministes.
voila pour le cote chiant. desole c'etait long, c'est pasque j'ai fait un sujet de 20 pages la dessus y a deux ans... desole! °.o) |
| | | | American Psycho, ca ne m'a pas mis mal a l'aise du tout. Ca m'a plutot ennuye. D'un cote, Brett easton Ellis a tout les ingredients en main pour LA satire des annees Reagan. Mais, mis a part les considerations musicales (tres tres drole),les comparaisons de cartes de visite et les rituels de la vie quotidienne (dont la toilette du matin), j'ai trouve le reste ininteressant, a croire qu' Ellis ne savait pas quoi faire avec ces ingredients.
J'ai aussi tente moins que zero, mais j'ai du mal a m'interesse aus problemes existenciels de la jeunesse doree de LA ;o))) |
| | | | Saga Benacquista: 4 scénaristes de télé (un débutant, un vieux raté, une romantique et un sacrifié) se retrouvent pour écrire les scénars d'une série destinée à passer la nuit et produite par une chaine télé sans le sous, uniquement pour atteindre son quota d'auto- production. Contraintes: le budget. Nombre acteurs et de plateaux - décors limités.
Scénaristes: Et l'histoire, on raconte quoi monsieur ? Directeur télé: N'importe quoi.
Scénaristes : N'importe quoi ?
Directeur: ce que vous avez envie
Et les 4 scénaristes s'en donnent à coeur joie.... |
| | | | | si tu veux du mal à l'aise je te conseille American Psycho de Bret Easton Ellis. Dans le genre malsain c'est presque parfait. J'arrive meme pas à savoir ce qui m'a poussé à le lire jusqu'au bout... |
| | | | puisqu'on est dans l'usien contemporain, il y a l'indispensable
last exit to brooklyn d'hubert selby junior. Un des rares romans qui ait reussi a me mettre mal a l'aise.
cote anglais, il y a l'anglo-pakistanais Hanif Kureishi, qui a scenarise "my beautiful laundrette" et "sammy et rosie s'envoient en l'air" pour Stephen Frears. On le retrouve aussi derriere "intimite" de Patrice Cherau et le superbe "Mauvaise passe" de Michel Blanc. Cote roman, il y a le formidable bouddha des banlieues ou son recueil des bleus a l'amour (avec mention speciale aux nouvelles "nous ne sommes pas des juifs" et "mon fils, le fanatique") |
| | man, 09.10.2002 à 16:12 | 54103 |
| | | Claude > vivi pour Bradbury, à lire les splendides "Chroniques Martiennes". :o)
Sinon je referai un topo sur la littérature fantastique, pasque c'est tellement vaste qu'il faut que je m'y reprenne à deux fois :o)))
Sinon pour les amateurs de Steinbeck, il faut absolument lire l'incroyable et mythique "A l'Est d'Eden", dont je n'ai pas vu la version filmée d'Elia Kazan qui est paraît-il aussi mythique. En tout cas lisez le bouquin, si vous avez aimé les autres de Steinbeck vous ne pourrez qu'adorer. |
| | | | | meme que c'est jason priestley (l'horrible acteur en question) qui a produit le film, ce qui denote une certaine dose d'autoderision. mais en lisant le roman, je pensais continuellement a Di Carpaccio ;o)) |
| | compte supprimé . 09.10.2002 à 13:39 | 54083 |
| | | | Désolé si c'est HS mais "amour et mort à long island" ils en ont fait un film à hollywood avec l'horrible acteur de Beverly Hills et John Hurt (grand acteur lui). Film mineur mais réussi. |
| | | | Reve de fer de Norman Spinrad. Dans le genre jete-grave, difficile de faire mieux ! En exclu, Spinrad nous offre le roman de SF, version Hitler (qui, comme chacun le sait, après avoir brievement frequente un groupuscule d’agites du bulbe: les nazis, va emigrer aux USA ou il mettra son talent de peintre au service des magazines de SF avant de devenir auteur a succes lui-meme). Cela donne “le seigneur de la Swastika”, un delire absolu plein de symboles phalliques et de monsieurs blonds aux muscles moules dans des tenues de cuir noir. C’est tres drole, mais ca fait aussi froid dans le dos !
En direct du meme Spinrad: une chaine de television minable se fait prendre en otage par une groupe d’eco-terroristes bien decides a utiliser la TV pour faire passer leur message.
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| | | | euh non, effectivement, c'est bien le seul et unique thème de paul Auster (avec aussi la quête du père, mais bon...) Et en fait, c'est à la trilogie New Yorkaise que je pensais plus bas...
sinon, pour la sf, conseillée par man, je prféère personnellement la sf poético humaniste de Bradbury à celle d'Orwell ou Huxley, ou alors les versions humoristico-méchantes de Fredric Brown. |
| | | | MR_Claude, a propos de 2 livres de Paul Auster
des personnages qui se retrouvent volontairement ou non marginaux, démunis, jusqu'a en perdre leur identité
euh... il y a des romans de Paul Auster qui ne sont pas sur ce sujet ? ;o)))
Sinon la musique du hasard, tout pareil que rata et Calude. Je suis dans le livre des illusions qui demarre tres bien. Et aussi la trilogie new-yorkaise, indispensable !
a deconseiller la pianiste d' Elfriede Jelinek. J'ai craque en cours de route, ce qui est exceptionnel. C'est le portrait quasi clinique d'une concertiste frustree. C'est chiannnnnnnnnnnnnnnnnnnt.
Les combustibles d'Amelie Nothomb: fausse piece de theatre ou il faut choisir quels livres bruler (que des titres fictifs ;o))). Un excellent Amelie (avec Stupeur et Tremblements)
evgueni sokolov, ZE roman de Serge Gainsbourg. Pendant tout le roman, je me suis demande si le Serge l'a ecrit a moitie bourre en pouffant du bon tour qu'il etait en train de jouer ou si il a mis des annees a l'ecrire en y mettant toute son ame.
L'art de la fugue de Stephen McCauley. McCauley est un ecrivain gay qui reste dans l'ombre d'Amistead Maupin, mais on lui doit des comedies de moeurs decapante !
Amour et mort a Long Island de Gilbert Adair: quand un intellectuel anglais dans le seul le plus caricatural du terme decouvre le cinema teenager americain, ca donne cette variation sur "mort a venise". C'est jubilatoire. |
| | frads, 09.10.2002 à 12:24 | 54071 |
| | | | J'ai bien aimé aussi "Des souris et des hommes", le seul Steinbeck que j'ai lu, aussi pour l'école, y'a deux-trois ans. |
| | compte supprimé . 09.10.2002 à 12:13 | 54068 |
| | | Mauriac c'est vachement bien ! Les tortures de l'âme infligées à un bourgeois bordelais par la religion catholique (((c: J'avais lu Thérèse Desqueyroux par un temps pluvieux, le bouquin trainait chez ma grand-mère, depuis j'en ai lu d'autres et de très bons: outre le classique Noeud de vipères on peut lire Le baisier au lépreux, la fin de la nuit, le mystère Frontenac.
Sinon La Comédie de Dante - qui n'est devenu divine que par l'admiration que lui vouaient ses commentateur- c'est une très bonne lecture (même si je me suis arrêté à l'enfer), la traduction de Jacqueline Risset est execellente, à lire dans une version bilingue pour le plaisir de comparer avec le texte original. |
| | | | Le miraculeux destin d'Edgard Mint de Brady Udall : ou la vie d'un petit garcon qui a survecu apres etre passe sous les roues d'un 4x4. Bon j'avoue, au debut, c'est pas engageant comme ca, mais ce bouquin est un regal ; tout passe par l'humour, même les scènes les plus tragiques.
La musique du hasard : tout pareil que Claude
Les annales du Disque-Monde de Terry Pratchet : de la science fiction burlesque, ca se lit tout seul (idéal RER et autres bus :o)
Les foulards rouges : pour les fans de capes et d'epee, un tres bon roman. Un rythme qui ne retombe quasiment jamais soutenu par un style fluide. Un bonheur. |
| | | | | Tiens, j'avais lancé un sujet similaire à mes débuts sur BDP... (souvenirs) :o) |
| | man, 08.10.2002 à 23:38 | 54020 |
| | | Oué, le dessin animé est excellent. :o))
Et pis de Kressmann Taylor, on a sorti un autre bouquin aussi chez Autrement. Beaucoup plus gros celui-là, je l'ai pas lu mais il paraît qu'il est très bon aussi.
/me poutoute grunt, tiens. :o))) |
| | Grunt, 08.10.2002 à 23:33 | 54018 |
| | | Tain ila bon gout ce con de man quand même ...
;o)) |
| | Grunt, 08.10.2002 à 23:32 | 54017 |
| | | "La ferme des animaux", demeure d'actualité...
La révolte des animaux s'apparente directement au coup d'Etat Ivoirien, car derrière ce prétendu désir de liberté, les enjeux sont bien plus pécunaires...
Moi j'ai lu, en français, et j'ai vu. Pour ceux qu'ils le désirent, j'ai même le dessin animé. Très bien fait dailleurs. On rigole pas. |
| | Grunt, 08.10.2002 à 23:29 | 54015 |
| | | "Inconnu à cette adresse", clair que c'est un bouquin à pas louper!!!
Un livre boulversant, qui dailleurs, à été écrit en 1938... Triste prémoniton qu'a eut à cette époque Kressman...
J'ai lu, et j'ai vu, au théatre.
Ben la lecture vous laisse pantois. Sérieux. |
| | Grunt, 08.10.2002 à 23:26 | 54014 |
| | | Léon, jean louis, jean pierre, on s'en fout.
C'est un casse couille en tout cas le mec. =o/ |
| | man, 08.10.2002 à 23:08 | 54008 |
| | | Tiens, ça me fait penser qu'il faudrait que je me remette à lire... (des livres) Bon, ça sera après le déménagement, y'a au moins la moitié de la bibliothèque de mes frères que j'ai pas lu.
Sinon, bin lisez "Inconnu à cet adresse", de Kressmann Taylor, pour ceux qui n'aiment pas trop la lecture, c'est très vite lu, et c'est vraiment passionnant. Un chef-d'oeuvre, même. L'histoire de deux amis allemands pendant les années 30, dont l'un est juif, et exilé aux Etats-Unis. Le roman suit leur correspondance, en pleine montée du nazisme...
Et pis y'a tellement de bouquins bien... Si on peut parler de poésie, y'a "La Divine Comédie" de Dante, c'est un vieux texte mais très moderne en fait, même s'il est un peu compliqué à comprendre à cause des allusions politiques de l'époque. Il reste très beau, et pis j'ai un faible pour, vous comprendrez pourquoi ;o)))
Pour les romans, ceux de George Orwell constituent pour moi une référence absolue. "1984", "La ferme des animaux", tout ça n'est pas seulement lucide, voire visionnaire, mais c'est aussi foutrement bien écrit. Dans le même style, j'aime bien les écrivains de SF comme Ray Bradbury ou Aldous Huxley. "Le meilleur des mondes", c'est un cran au-dessous d'Orwell je trouve, mais c'est aussi passionnant.
Et pis les écrivains fantastiques du XIXe, surtout Poe.
Vali valou, comme je lis rien en ce moment, je fais un petit inventaire, ça fait passer le temps :o) |
| | | | Eugène, l'autre version filmée des Liaisons dangereuses s'appelle "Valmont", tout simplement.
Grunt, juste pour le plaisir de pinailler sur les prénoms, c'est Jean-Louis Fournier, l'auteur de la vache Noiraude. :o) |
| | crepp, 08.10.2002 à 22:43 | 54000 |
| | | Moi ça me fait rever. Je me délecte de voir la description de la vie des simples hobbits, de la lothlorien ...
Tu sais, si ma fille se nomme Loreline ce n'est pas à cause de la BD, mais c'est tiré de l'oeuvre de Tolkien. C'est dire comme cela m'a marqué :o) |
| | Grunt, 08.10.2002 à 22:33 | 53995 |
| | | | T'aime bien sa façon d'écrire à tolkien crip? Moi j'ai parfois l'impression de lire du balzac, tant ses descriptions peuvent etre pompeuses. |
| | Grunt, 08.10.2002 à 22:32 | 53994 |
| | | Frads, pour ton Info, "Le petit meaulnes" sortira en 2003.
il a été écrit par Fournier, mais pas Alain, l'auteur du grand Meaulnes, Jean Pierre Fournier.
Il a écrit un chef d'oeuvre hyper poignant que je conseille vivement: Il a jamais tué personne, mon papa, aux éditions stock. Sinon, dans un autre registre, mais toujours chez stock, il aussi réalisé "la noiraude". (vous savez la vache là... "allo, docteur? ) |
| | crepp, 08.10.2002 à 22:30 | 53993 |
| | | | Tiens je m'attendais à cette remarque mais pas de toi :o)) |
| | Grunt, 08.10.2002 à 22:27 | 53990 |
| | | Moi tolkien c'est bof. =o/
J'adore son monde, ses quetes et ses perso, mais son style est chiant de chiant.
Enfin, c'est le style d'une époque. |
| | crepp, 08.10.2002 à 22:06 | 53978 |
| | | | Je resterais toujours amoureux "des rois Maudits" de Druon, du "nom de la rose" d'Umberto Eco et "du seigneur des anneaux" de Tolkien. |
| | frads, 08.10.2002 à 21:46 | 53977 |
| | | | (passqu'on a pas le temps d'apprécier la lecture qu'on fait) |
| | frads, 08.10.2002 à 21:45 | 53976 |
| | | | J'ai aussi dû lire Le Grand Meaulnes. Et aussi du Vian, tiens, et du Werber, et du... j'arrete, ça va te dégouter :o)) Mais bon quand on nous donne trois livres à lire en un mois, moi je dis bof, quoi... |
| | | | Mieux, y a eu deux film tirés du bouquin, un qui s'appelle Liaisons dangereuses (original, hein ?) et l'autre je ne sais plus mais il est de Miloz Forman. En plus, y a des scènes de cul dans le premier.....
Sinon, t'as de la chance d'avoir des lecturesimposées de cet accabit. moi, si je me souviens bien, je devais me taper Le grand Meaulnes, Mauriac, La princesse de Clèves, Bazin et autres trucs sans beaucoup d'intérêt (enfin ,ça m'a éloigné des romans pendant 4-5 ans). |
| | frads, 08.10.2002 à 20:43 | 53962 |
| | | Tu veux me faire un résumé et une analyse du bouquin pour m'éviter de le lire, Léon? :o))
(c'est pas que j'aime pas lire, mais ces temps ci je suis pas trop à ça, les profs de français abusent de livres à donner à lire, ces temps ci! :o) ) |
| | | | | L'auteur des "Liaisons dangereuses" est Pierre Choderlos de Laclos. Mmmmm, la Marquise de Merteuil, le vicomte de Valmont, la présidente de Tourvel, les sombres intrigues... |
| | | | “Le voyage, c’est la recherche de ce rien du tout, de ce petit vertige pour couillon.” Nan, ce n'est pas un message de jalousie de ma part à destination de J-C qui se pavane au Brésil avec de charmantes brésiliennes ;o)), mais une phrase tirée du Voyage au bout de la nuit de Céline...
Ce bouquin est terrifiant...je vous le déconseille formellement si vous avez une baisse de morale ;o)) |
| | | | | Black Boy de Richard Wright...ou l'itinéraire d'un écrivain noir dans l'Amérique blanche ségrégationniste du sud. J'ai aimé ce bouquin qui parle de l'enfance, de ses humiliations dans le monde des adultes, mélange de racisme des blancs, et de puritanisme d'une grand mère irrascible qui veut faire du jeune Richard un croyant par la "purification" de son âme... |
| | | | lectures qui m'ont bien plu:
Le chevalier inexistant d'Italo Calvino. Forme un triptyqueavec le baron perché et le vicomte pourfendu. Tout trois sont gentiment déjantés, mais le chevalier inexistant va beaucoup plus loins dans l'absurde et le non-sens. Imaginez les aventures d'un chevalier comme les autres, a part qu'il n'existe pas et que c'est son armure, vide, qui vit les aventures. Géant.
La part de l'autre de C-E. Schmitt. la vie réelle du vrai Hitler de 1908 à 1945 et en parrallèle, celle imaginaire d'un Hitler qui aurait réussi l'examen d'entrée aux beaux-arts à Vienne en 1908 et devient un artiste de renom plutôt qu'un dictateur fou et sanguinaire.
L'évangile selon Pilate du même CE Schmitt. La vie de Jésus, les miracles, les apôtres vu par Jésus (première partie) et par Pilate (seconde partie). A ne pas lire qi vous êtes catholiques intégristes, Le Jésus de Schmitt est très différent de celui des catholiques. Epoustouflant.
Le dernier soupir du maure Salamn Rushdie. Une histoire rocambolesque, une saga familiale à l'indienne, truculente et pétillante, des personnages dans tout les sens avant une fin qui, euh, non, on dit rien pour ceux qui l'ont pas lu. Le meilleur roman de Rushdie, loin au dessus de l'indigeste Versets sataniques. Un des plus grands romanciers contemporains.
Pleins d'autres, Pennac, Irving, Tournier, etc... |
| | frads, 08.10.2002 à 18:40 | 53928 |
| | | | Mmmmmmmiam James Ellroy! J'ai toujours en tête "American Death Trip" de lui, comme si je l'avais lu il y a moins d'un mois! :o) |
| | | | alors euh, un "classique" américain bien noir, bien glauque, "Le Dahlia Noir" de James Ellroy, très prenant de bout en bout. Ou comment l'enquête sur un meurtre sordide d'une jeune femme un peu marginale, tourne à l'obsession pour le flic qui en est chargé.
Américain aussi, paul Auster, plus littéraire dans l'écriture "La musique du hasard" (celui-là je l'ai littéralement avalé), et "Moon palace". Tous deux ont le même thème principal: des personnages qui se retrouvent volontairement ou non marginaux, démunis, jusqu'a en perdre leur identité. Un régal aussi
et puis, même si le théâtre à lire c'est pas forcément réjouissant, "Huis Clos" de Sartre, imparable. |
| | | | N. laclos juste pour la frime ;o)) et pasque fo bien entretenir son top bavard de temps en temps ;o)))
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