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Delisle, un délice d'auteur ! [ Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]
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| | | | | MR_Claude : | | ca ferait quand meme un super crossover, les aventures sexuelles des moines birmans. Avec ou sans Frederic Boilet, j'hesite encore. |
Avec Boilet qui dévalise le rayon légumes et les moines qui se focalisent sur le rayon biscuits, avec un peu d'imagination de part et d'autre, il y a sans doute moyen de trouver une certaine complémentarité.
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| | | | | ca ferait quand meme un super crossover, les aventures sexuelles des moines birmans. Avec ou sans Frederic Boilet, j'hesite encore. |
| | | | | lanjingling : | | wandrille : | | daiboken : |
Ca alors, un moine dans le rayon biscuits."
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C'est con, hein, mais moi, j'adore ça.
Cet humour absurde et décalé. |
il y a des dizaines de milliers de moines en birmanie, & oui, ils vont faire leurs courses , & oui, ils achetent des biscuits au rayon biscuits (produits de la mondialisation)
l'humour ici n'est absolument pas absurde & decale , c'est de l'auto-ironie envers un americain naif qui decouvre le monde
dans le genre critique, je prefere "les bidochons en voyage organise en urss"
delisle se compose un personnage de cynique-gentil qu'on aime ou pas , mais qui peut facilement etre orripilant ou lassant, comme aurelia aurita |
Oui, voilà. C'est tout à fait ça. |
| | | | | wandrille : | | daiboken : |
Ca alors, un moine dans le rayon biscuits."
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C'est con, hein, mais moi, j'adore ça.
Cet humour absurde et décalé. |
il y a des dizaines de milliers de moines en birmanie, & oui, ils vont faire leurs courses , & oui, ils achetent des biscuits au rayon biscuits (produits de la mondialisation)
l'humour ici n'est absolument pas absurde & decale , c'est de l'auto-ironie envers un americain naif qui decouvre le monde
dans le genre critique, je prefere "les bidochons en voyage organise en urss"
delisle se compose un personnage de cynique-gentil qu'on aime ou pas , mais qui peut facilement etre orripilant ou lassant, comme aurelia aurita |
| | | | je vois pas pourquoi j'aurais un commentaire sur des trucs dont je ne sais guere plus que le rangoon pekin moyen. |
| | | | | wandrille : | | daiboken : |
Ca alors, un moine dans le rayon biscuits."
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C'est con, hein, mais moi, j'adore ça.
Cet humour absurde et décalé.
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Je ne trouve ça ni con, ni absurde, ni décalé, ni même humoristique. |
| | | | | daiboken : |
Ca alors, un moine dans le rayon biscuits."
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C'est con, hein, mais moi, j'adore ça.
Cet humour absurde et décalé.
amsi bon, on a pas tous le même, hein ;)
Enfin, dis toi que tu vas passer une bonne nuit, grâce à Guy Delisle |
| | | | | daiboken : | | p. 181 : "Ca alors, un moine dans le rayon biscuits." |
alors ,c'est donc comme ca que les dictateurs birmans ont decide de se debarraser de leurs moines revolutionnaires :ils les offrent aux touristes a l'achat de trois paquets de biscuits |
| | | | p. 181 : "Ici, les fruits exotiques sont à l'inverse de chez nous. On donne pratiquement les mangues, alors qu'une malheureuse pomme peut faire 3 fois le prix d'un ananas.
Ca alors, un moine dans le rayon biscuits."
Zzzzzz....
Plus que 80 pages à tenir. |
| | | | | Altair : | | lanjingling : |
"petit a petit decouvert"....la misere, la peur quotidienne, la dictature, tout ca saute aux yeux des qu'on arrive dans le pays;
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De ce que j'en ai entendu, précisément, la dictature ne saute pas du tout aux yeux quand on arrive en touriste en Birmanie. ça ne saute pas aux yeux que les routes ont été construites par travaux forcés, que l'état rackette les birmans, que c'est un état-prison. Il n'y a pas de militaires à tous les coins de rue, et la loi birmane punit en théorie tout birman qui discute un peu trop avec un étranger, ce qui les rend discrets sur leur situation politique. |
oui, c'est ce que je voulais dire quand je parlais de peur palpable , d'autant plus sensible si on y ajoute les militaires qui sont tout de meme nombreux (pas a chaque coin de rue, mais disposes dans des lieux strategiques, ou vus comme tels) , les forces de l'ordre en civil reperables a des kilometres, plus ceux qu'on ne repere pas...
| Altair : | | Pour un touriste, la Birmanie est au premier abord un eden préservé des McDo et du tourisme à outrance, un pays beau et accueillant... |
effectivement, de tels touristes y sont nombreux
| Altair : | | Cela dit, je n'ai pas lu le bouquin de Delisle. |
moi non plus , j'ai juste ete en birmanie depuis la thailande ; je signale d'ailleurs que l'ambassade de birmanie a bangkok est une sorte de bunker, un bloc de beton ferme par des portes de metal rouillees surmontees de pointes d'acier, que l'ensemble denote dans le quartier esidentiel ou il est situe, que ca met tout de suite dans l'ambiance ,& que pour ne pas voir que la birmanie est un pays assez...special , il faut avoir plein de caca (ou de billets verts) dans les yeux |
| | Altair, 30.10.2007 à 16:58 | 296678 |
| | | | lanjingling : |
"petit a petit decouvert"....la misere, la peur quotidienne, la dictature, tout ca saute aux yeux des qu'on arrive dans le pays;
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De ce que j'en ai entendu, précisément, la dictature ne saute pas du tout aux yeux quand on arrive en touriste en Birmanie. ça ne saute pas aux yeux que les routes ont été construites par travaux forcés, que l'état rackette les birmans, que c'est un état-prison. Il n'y a pas de militaires à tous les coins de rue, et la loi birmane punit en théorie tout birman qui discute un peu trop avec un étranger, ce qui les rend discrets sur leur situation politique.
Pour un touriste, la Birmanie est au premier abord un eden préservé des McDo et du tourisme à outrance, un pays beau et accueillant...
Cela dit, je n'ai pas lu le bouquin de Delisle. |
| | | | | daiboken : | | S'il nous emmerdait moins avec des lieux communs (mais quand donc empêchera-t-on les auteurs de tartiner des pages sans intérêt sur leurs bébés????), peut-être serait-on plus réceptif au propos que tu soulignes. |
Je suis comme toi, j'ai horreur des enfants, et, dès que je peux en tuer un, je ne me fais pas faute de les noyer discrètement. Cependant, ça ne m'a pas gêné dans ce livre.
Effectivement, Guy Delisle a un gosse et une femme et il nous en parle (un peu), mais bon, le fait est que c'est toujours au service de son propos.
Dans Shenzen, il nous parlait de ses problèmes de fil dentaire, ce qui, a priori, n'est pas le truc particulièrement sexy, et pourtant, malgré ce côté anecdotique banal, on rentrait dedans.
Qu'il parle de sa vie de famille n'est pas dérangeant, en ce sens qu'il le fait bien. Après, s'il faut vraiment rechercher l'originalité à tout crin, je comprend que ces pages là t'aient rendus fou.
Moi je trouve qu'elles sont nécessaires à l'équilibre du livre et qu'elles le rythment bien. Une course à l'anecdote étonnante m'aurait particulièrement gonflé (du genre "court circuit géographique" de Gerner que je trouve particulièrement illisible). |
| | | | | Thierry : | | daiboken : | | wandrille : |
Sinon, je trouve aussi un peu limitatif de ne présenter que le côté compte rendu touristico-social du livre, alors qu'il y a un vrai propos concernant l'engagement humanitaire là dedans. |
S'il nous emmerdait moins avec des lieux communs (mais quand donc empêchera-t-on les auteurs de tartiner des pages sans intérêt sur leurs bébés????), peut-être serait-on plus réceptif au propos que tu soulignes. |
tu preferais qu'ils tartinent des pages sur le tien ? |
j'ai un peu de mal a me representer visuellement ce que peut donner le fait de tartiner des pages sur un bebe |
| | | | | daiboken : | | wandrille : |
Sinon, je trouve aussi un peu limitatif de ne présenter que le côté compte rendu touristico-social du livre, alors qu'il y a un vrai propos concernant l'engagement humanitaire là dedans. |
S'il nous emmerdait moins avec des lieux communs (mais quand donc empêchera-t-on les auteurs de tartiner des pages sans intérêt sur leurs bébés????), peut-être serait-on plus réceptif au propos que tu soulignes. |
tu preferais qu'ils tartinent des pages sur le tien ? |
| | | | | wandrille : |
Sinon, je trouve aussi un peu limitatif de ne présenter que le côté compte rendu touristico-social du livre, alors qu'il y a un vrai propos concernant l'engagement humanitaire là dedans. |
S'il nous emmerdait moins avec des lieux communs (mais quand donc empêchera-t-on les auteurs de tartiner des pages sans intérêt sur leurs bébés????), peut-être serait-on plus réceptif au propos que tu soulignes. |
| | | | | wandrille : | Je te fais caca dans la bouche, j'écris pnuom jiang comme que je veux d'abord.
En ce qui concerne le texte de présentation, il pue effectivement du cul (je suis vulgaire en ce moment, depuis une trentaine d'année).
La subjectivité de Delisle ne me gêne pas en ce sens qu'elle est justement assumée. Sur l'album précédent, c'était un brin plus dérangeant, parce l'entrée dans le pays avec le 1984 de George Orwell annonçait un peu trop la couleur.
C'est en tout cas fascinant de constater à quel point ce type à le don de se retrouver à vivre dans des dictatures. Je me demande ce qu'il nous réserve après... J'aimerais bien l'Iran, ça serait un son de cloche qui me toucherait plus que les trucs de Satrapi.
Sinon, je trouve aussi un peu limitatif de ne présenter que le côté compte rendu touristico-social du livre, alors qu'il y a un vrai propos concernant l'engagement humanitaire là dedans. |
non seulement sa subjectivite ne me gene pas , mais elle constitue l'essentiel de ce que j'apprecie dans ses livres
& je te pisse a la raie , & l'iran c'est une democratie , meme que son president elu est aussi debile que le president elu des u.s.a., & puis j'avais demande l'avis de MR.Claude & de Le PBE , tu t'appelles MR.Claude ou Le PBE , non , bon , alors ? |
| | | | Je te fais caca dans la bouche, j'écris pnuom jiang comme que je veux d'abord.
En ce qui concerne le texte de présentation, il pue effectivement du cul (je suis vulgaire en ce moment, depuis une trentaine d'année).
La subjectivité de Delisle ne me gêne pas en ce sens qu'elle est justement assumée. Sur l'album précédent, c'était un brin plus dérangeant, parce l'entrée dans le pays avec le 1984 de George Orwell annonçait un peu trop la couleur.
C'est en tout cas fascinant de constater à quel point ce type à le don de se retrouver à vivre dans des dictatures. Je me demande ce qu'il nous réserve après... J'aimerais bien l'Iran, ça serait un son de cloche qui me toucherait plus que les trucs de Satrapi.
Sinon, je trouve aussi un peu limitatif de ne présenter que le côté compte rendu touristico-social du livre, alors qu'il y a un vrai propos concernant l'engagement humanitaire là dedans. |
| | | | | wandrille : |  Alors je l'ai lu, et, contrairement à ce que m'annonçaient certains oiseaux de mauvais augures, je n'ai pas été déçu du tout.
Une justesse dans l'anectodique qui confine au pointillisme et donne un tableau général du pays, de l'engagement humanitaire et de la vie d'expatriée.
Je peux même dire que je l'ai préféré au PnomYang... |
j'espere pour toi, parce qu'apres avoir lu 200 pages sur pyongyang ,tu ne sais encore l'ecrire correctement...
comme delisle fait ses chroniques sur des lieux sur lesquels la plupart de ses lecteurs ne savent quasi rien, ils y apprennent effectivement toujours quelque chose , mais au vu des reactions , ils ont tendance a apprecier ces ouvrages autant pour le caractere informatif que pour la chronique humaine , alors que delisle clame haut et fort sa subjectivite
je ferais mienne cette remarque| KangourouMauve : | | "Fraise et chocolat" c'est le genre de livre qu'on ne peut aimer que si on est touché, tout simplement. Moi j'ai trouvé ça très touchant et donc très plaisant à lire. C'est pas un livre cérébral, c'est sûr. Tout passe par l'émotion. |
en l'appliquant aux chroniques de delisle
parce que pour ce qui est de l'informatif, si on regarde seulement le texte de presentation, ca ne donne pas envie :
Guy Delisle raconte comment il a petit à petit, découvert la réalité politique, sanitaire et sociale de ce pays
"petit a petit decouvert"....la misere, la peur quotidienne, la dictature, tout ca saute aux yeux des qu'on arrive dans le pays; mais c'est vrai que delisle est americain , & comme l'ecrit spengler dans atimes.com dans l'article "when you can't deal with the devil"
"As usual, the American media are slow to grasp how profoundly the landscape has shifted during the past week."
sinon, pour le reste du texte de presentation
ce pays dominé par une junte militaire, soutenue elle-même par de puissants groupes industriels. , Le PBE , MR. Claude , des commentaires ?
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| | NDZ, 06.07.2007 à 10:16 | 288935 |
| | |  Je connaissais le principe parce que quelqu'un avait vendu la mèche. He bien c'est pas gênant pour un sou : ça reste drôle et malgré le côté anecdotique du récit, on effleure le statut "indispensable de la collection". Un tour de force en quelque sorte. |
| | asacem, 09.02.2006 à 10:18 | 241662 |
| | | | THYUIG : |  Lu après "Pyongyang" et force est de constater que le propos n'y est pas aussi affûté que lors de son voyage en Corée du nord. Les reflèxions sont moins précises, moins profondes aussi, le tout manquant de pertinence. Delisle explique que c'est son deuxième voyage en Chine, qu'il y retourne avec une forme d'a priori dont il n'arrivera jamais à se défaire tout à fait. L'unique obsession de l'auteur étant finalement la date de son retour. De la même manière qu'il ne semble pas profiter de son voyage (on peut le comprendre, shenzhen paraissant d'un profond ennui), on ne se passionne pas non plus à la lecture de son récit qui, la plupart du temps verse dans la critique simple (mais est-il possible de penetrer autrement cette Chine?) et les rares fois où l'humour prend le relais, on s'aperçoit alors que l'oeil de l'auteur s'affute d'une toute autre manière, rendant à la fois plus audacieux et plus juste son regard sur cette Chine du 21ème siècle. Au final, un ouvrage qui détonne face à la grande justesse de ton du suivant "Pyongyang" et qui manque souvent sa cible, nous émouvoir ou nous étonner. 3 petites étoiles. |
Marrant c'est l'exact inverse de cette réaction. Comme quoi le pacte autobiographique est bien fragile :) |
| | THYUIG, 09.02.2006 à 8:56 | 241647 |
| | | | Lu après "Pyongyang" et force est de constater que le propos n'y est pas aussi affûté que lors de son voyage en Corée du nord. Les reflèxions sont moins précises, moins profondes aussi, le tout manquant de pertinence. Delisle explique que c'est son deuxième voyage en Chine, qu'il y retourne avec une forme d'a priori dont il n'arrivera jamais à se défaire tout à fait. L'unique obsession de l'auteur étant finalement la date de son retour. De la même manière qu'il ne semble pas profiter de son voyage (on peut le comprendre, shenzhen paraissant d'un profond ennui), on ne se passionne pas non plus à la lecture de son récit qui, la plupart du temps verse dans la critique simple (mais est-il possible de penetrer autrement cette Chine?) et les rares fois où l'humour prend le relais, on s'aperçoit alors que l'oeil de l'auteur s'affute d'une toute autre manière, rendant à la fois plus audacieux et plus juste son regard sur cette Chine du 21ème siècle. Au final, un ouvrage qui détonne face à la grande justesse de ton du suivant "Pyongyang" et qui manque souvent sa cible, nous émouvoir ou nous étonner. 3 petites étoiles. |
| | chrisB, 05.01.2006 à 14:19 | 236614 |
| | |  Petite deception. Si au debut on s'amuse beaucoup du petit Louis et de ses misères, j'ai trouvé qu'à la longue ca en devenait un peu lassant...2* |
| | june, 09.12.2005 à 15:54 | 233540 |
| | | | Ca va... J'ai juste émis une toute petite remarque, en te précisant que j'avais trouvé ça vachement bien, quand même... T'a vu comme t'es, hein... 8) |
| | Yuio, 08.12.2005 à 12:43 | 233183 |
| | | MMMMMMMhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh................. pour moi en fait c'est assez lisible et facileà suivre. Pas de vrai point noir.
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| | | | J'ai trouvé tres bien. Tres bonne BD muette. bien marrante.
Mon cher libraire [vous savez, le gourou de besancon] m'a dit que certain passage etait pas tres claires, mais en fait pas du tout, c'est nikel au niveau de la naration.
voila. |
| | THYUIG, 07.12.2005 à 19:39 | 232978 |
| | | | Quelqu'un a du nouveau du côté de chez Delisle? De nouveaux albums n'étaient pas annoncés? |
| | frads, 11.08.2005 à 13:13 | 214168 |
| | | | moi aussi chuis impatient pour celui là :o) |
| | Yuio, 11.08.2005 à 12:44 | 214159 |
| | | Ah nan... celui-là, j'ai pas vu.
Juste bossé sur le "Louis" qui sort en novembre. Première fois que je suis hyper impatient de voir un album auquel j'ai participé imprimé. |
| | NDZ, 11.08.2005 à 12:12 | 214149 |
| | | | Yuio : | | Quoique.... c'est quoi le titre ? |
Au hasard... "Rangoon" ? |
| | Yuio, 11.08.2005 à 10:52 | 214130 |
| | | | Quoique.... c'est quoi le titre ? |
| | Yuio, 11.08.2005 à 10:52 | 214129 |
| | | | Moi, j'ai lu tout l'album. Il est terrible. |
| | crepp, 11.08.2005 à 10:32 | 214119 |
| | | | Dans le dernier Charlie Hebdo, il y a deux planches du prochain album de Guy Delisle. Il se trouve à Rangoon en Birmanie. |
| | None, 05.05.2004 à 14:02 | 153737 |
| | | Bonjour, j'ai également rencoontré Delisle à Angoulême... Complètement par hasard, je ne connaissais pas... En fait, j'ai feuilleté PyonGyang, et j'ai tout de suite acroché ! Au moment de payer le bouquin, j'apprends qu'il est en dédicace, et qu'en plus, personne ne fait la queue...
Et là, quelle surprise, un gars d'une gentillesse proprement hallucinante !
Mon seul regret a été de ne pas avoir lu le livre avant... Parce qu'il est énorme et parce qu'on aurai pu parler de Plastik Man :o) |
| | Pierre, 04.05.2004 à 21:15 | 153682 |
| | | | J'ai été très content de le rencontrer à Arras et de lui devoir ma presque première dédicace (eh oui ! Moi une dédicace). |
| | | | hop, ever m'a filé le lien vers une chronique qui a deux avantages:
1) elle est dessinée
2) elle apporte un avis sur pyongyang unpeu à contre courant
hop, on clique, et c'est en bas. |
| | june, 31.12.2003 à 9:17 | 131412 |
| | | | gnia gnia gnia... 8) |
| | Gilles, 30.12.2003 à 18:23 | 131362 |
| | | | Tu veux dire que tu vas pouvoir voir/lire toutes les emails/pièces jointes qu'on t'envoie ??? Yahou ! :) |
| | june, 30.12.2003 à 13:54 | 131303 |
| | | | je récupère un ordi tout bientot, et une connexion a la maison aussi, z'allez voir ce que vous allez voir... 8) |
| | xaxa, 30.12.2003 à 13:48 | 131299 |
| | | >> Ca, c'est de l'info, June :)
Faut pas lui en vouloir,
depuis qu'il bosse c'est plus le même notre june.
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| | june, 30.12.2003 à 13:25 | 131294 |
| | | | pfffff... jamais content... 8° |
| | Gilles, 30.12.2003 à 13:21 | 131291 |
| | | >> tu veux parler d'animation ou de bd ?
>> tu me diras, dans les 2 cas, j'en sais fichtre rien... 8)
Ca, c'est de l'info, June :) |
| | june, 30.12.2003 à 13:18 | 131290 |
| | | tu veux parler d'animation ou de bd ?
tu me diras, dans les 2 cas, j'en sais fichtre rien... 8) |
| | loic, 30.12.2003 à 9:11 | 131246 |
| | | | savez vous sur quoi il bosse actuellement ? |
| | Herbv, 29.12.2003 à 19:17 | 131191 |
| | | >> Enfin bon, tout ça, c'est de l'enculage de mouches.
Complètement. Ce qui compte, c'est que les carnets de voyages de Delisles plaisent, ce qui est normal, vu leur qualité :) |
| | | | Moi, j'aime beaucoup les albums autobiographiques de Delisle.
Je ne vois pas bien en quoi il n'y aurait que peu de choses personnelles ou intimes dans ces oeuvres...
Il y a aussi une forme mise en avant d'un rapport au monde qui est en jeu dans l'autobiographie et qui me semble bien présent chez Delisle.
Enfin bon, tout ça, c'est de l'enculage de mouches. |
| | Guewan, 28.12.2003 à 21:26 | 130959 |
| | | Très intéressant ton lien.
On aurait pu parler de "Mémoires" puisque la définition est : "Les mémoires sont un récit rétrospectif où l'auteur-narrateur raconte son expérience en mettant en avant le déroulement de sa carrière et les services qu'il a rendus dans son domaine d'action. " MAIS.. le protagoniste ne peut en être l'auteur.
Il est assez difficile de classer ces albums. Mais cela n'enlève rien à leur qualité, et bravo pour le superbe focus ! |
| | Herbv, 28.12.2003 à 9:05 | 130862 |
| | | Remontée de sujet depuis les limbes :)
Je viens de lire Shenzhen (et de lire le focus sur Pyongyang), depuis le temps que je la cherchais, cette BD. C'est que j'ai eu du eu du mal à la trouver, il a même fallu que je me la fasse offrir :) . Et maintenant que je l'ai, je la vois partout :) .
J'avais adoré Pyongyang, j'ai adoré Shenzhen. Du coup, j'y suis allé de ma petite bullechronique. Quelle excellente lecture que je conseille à tous.
Dans le focus, plusieurs bulledairiens ont parlé d'autobiographie. Je dois dire que je trouve ce terme trop galvaudé même s'il est exact et qu'il devrait être réservé aux oeuvres plus personnelles : Journal de Neaud, Livret de Phamille de JC Menu, Persepolis de Satrapi, ...
Je parlerais plutôt de carnet de voyage car il n'y a pas grand chose de personnel, pour ne pas parler d'intime dans Shenzhen ou PyongYang.
Certes, la définition de autobiographie est la suivante : « Récit de la vie d'une personne par elle-même. Récit dont l'auteur est à la fois narrateur et personnage principal (cette identité est établie par celle du nom propre) et qui raconte sa propre existence de manière rétrospective. » et ces deux oeuvres correspondent à cette définition. Mais je trouve que cela manque de nuance car de très nombreuses oeuvres rentrent dans ce cadre or il y a une différence fondamentale entre PyongYang et le Journal : l'un raconte, l'autre se livre. Certes, il existe des nuances dans l'autobiographie comme le journal intime, le récit de vie, les mémoires, l'autoportrait. Il faudrait donc pour moi exprimer ces nuances quand on parle d'une oeuvre autobiographique. Mais cela n'est pas simple à faire dans la pratique. Je suis donc pour une définition stricte comme celle proposée par un spécialiste : « Récit rétrospectif en prose qu’une personne réelle fait de sa propre existence, lorsqu’elle met l’accent sur sa vie individuelle, en particulier sur l’histoire de sa personnalité ». On en est loin avec les oeuvres de Delisle.
Pour ceux que la question intéresse, je vous conseille d'aller lire cette page traitant du terme autobiographie. |
| | | |  Albert et les autres: Lu chez everland ce week end, je suis très mitigé, ça fait plutôt exercice de style assez vain bien souvent. C'est d'ailleurs souvent mon problème avec les exercices de style. C'est intéressant en soi, pour la forme... mais ça ne me raconte souvent pas grand chose. Là, si il y a des petites saynètes marrantes et bien trouvées, beaucoup restent assez fades. Peut-être que le fait de devoir en développer 26 nuit à la "force" de l'ensemble. |
| | crepp, 15.06.2003 à 20:49 | 95234 |
| | | | ha oui elle est pas mal du tout, je vais la mettre dans mon best of :o) |
| | man, 15.06.2003 à 17:36 | 95216 |
| | | >> c'est l'environnement qui prend le déçu.
Jolie formule :o) Et en plus très adaptée à Delisle ;) |
| | crepp, 15.06.2003 à 14:48 | 95196 |
| | |   Bon j'ai donc lu dans la semaine Shenzhen et je viens de terminer PyongYang. Le second titre a ma préférence. Premièrement en jouant beaucoup plus avec le blanc, le dessin de Delisle gagne en clarté, plus sobre mais plus direct.
Deuxièmement dans Shenzhen c'était surtout lui le principal intérêt et sa façon de gérer son ennui. Dans Pyongyang, il est beaucoup plus en retrait, c'est l'environnement qui prend le déçu. Cette manière de raconter m'a beaucoup plu.
Une belle découverte.
|
| | | | | oui, très intéressant le focus. j'ai lu Shenzen que j'ai moi aussi adoré (comme pas mal tout ce que j'ai lu de Delisle) Donc je vais me ruer sur ce PyongYang :o) |
| | | | Merci à vous pour le focus sur PyongYang !
Je ne connais absolument pas Delisle et j'avoue que cet album me tente énormément !
Je vais à présent lire le focus avec intérêt et à mon avis, demain je vais craquer chez mon libraire :)
Bien joué donc le focus ! :) |
| | | | C"'est clair qu'il est plus ambitieux sur celui là, et c'est sans doute pour ça que je garde une petite préférance pour Shenzhen. m'enfin il a tellement de talent que ça reste un méga coup de coeur aussi :o)
Sinon je pense que t'as probablement raison Man. |
| | | | | Portnawak, c'est pas à capitaine Sin qu'il le prête, 1984, c'est au guide ! |
| | man, 05.06.2003 à 22:13 | 94096 |
| | | Bon alors voilà, ça fait longtemps que je voulais en parler, mais le problème du focus c'est qu'on peut pas en parler sur le sujet privé si tout le monde ne l'a pas lu, et là comme ça a duré un moment... ;o)
Enfin bon, je vais pas faire ma fine bouche :o))
§§§§§§§§§§§ TIPEU SPOILERS §§§§§§§§§§§
Donc, voilà, je voulais parler de plusieurs aspects que j'ai pas abordé dans ma chronique, parce que justement je voulais en débattre d'abord avec les autres.
En fait, j'ai l'impression que le changement principal de Pyongyang par rapport à Shenzhen est que Delisle a découvert qu'il avait un public, et que ce public réagissait à ses aventures. En gros, il me semble qu'il s'adresse beaucoup plus à son lecteur, qu'il écrit moins "dans le vide" comme il semblait le faire pour Shenzhen. Il multiplie les "vous", nous prend à témoin beaucoup plus facilement. Enfin c'est une impression, j'aimerais savoir ce que vous en pensez.
Et puis un autre point, plus de détail celui-là, mais dans le même registre, c'est l'exemplaire de 1984 de George Orwell. Bon, il me semble évident qu'il l'a emporté parce qu'il allait dans la dictature la plus lourde au monde. Mais j'ai aussi l'impression qu'il l'a emporté dans la perspective de son bouquin, en espérant, par exemple, faire des parallèles lumineux ou en tirer des conclusions de haute volée. Et que finalement, rien :o))) et que du coup il en a moins parlé que le début ne le laissait présager, sauf quand il le prête au Capitaine Sin.
(Caaaaaaaaaapitaaaaine SIN ! tu n'es paaaaaaaaaaas.....)
En gros, du Delisle tout craché, un peu bordélique, et qui met ses ambitions politico-philosophiques derrière son bon vouloir :o) Mais c'est comme ça qu'on l'aime :o))) |
| | | | | boooh moi je l'aimais bien ce lien la...:o))) |
| | | | | (saleté de copié/collé :o))) ) |
| | feyd, 05.06.2003 à 22:03 | 94092 |
| | | euh, non mr-claude, ça c'est le focus précédent :)
enfin, le lien dans la petite fenetre a gauche est le bon :) |
| | crepp, 05.06.2003 à 21:49 | 94091 |
| | | | C'est assez amusant, je viens de recevoir comme cadeau Shenzhen et PyongYang. Bon je vais les lire mais un peu plus tard. |
| | | | Hop hop hop, avec un peu de retard, mais bon... (Tinigrifi estexcusé ;o) )
Voici le..........
Focus sur sur PyongYang. Un album à ne pas rater sera la première conclusion :o))) |
| | | | | ah non, j'ai rien rajouté, mais si chez toi tu le lis directement par le logiciel flash, ça peut être différent (taille de la réalisation/taille de la publication) |
| | Yuio, 10.04.2003 à 14:07 | 86104 |
| | | >> nan c'est bon, la balise pour un objet flash c'est embed, pas img , c'est tout :o)))
bien sûr... j'avais totalement oublié... parfois kesskejesusicon... tu as touché à la taille de l'image ou non ? le perso est plus grand chez moi et la fenêtre aussi... : / |
| | | | | nan c'est bon, la balise pour un objet flash c'est embed, pas img , c'est tout :o))) |
| | Yuio, 10.04.2003 à 13:58 | 86098 |
| | | | Bon... j'ail'air d'un bullenain mais je voulais vous mettre la bande annonce que Guy a envoyé pour annoncer son album.... Je remarque que les .swf foirent grave... Je garde le truc pourmoi du coup ! |
| | compte supprimé . 31.01.2003 à 23:52 | 76330 |
| | | | Je vais répondre à ma propre question, preuve qu'on est jamais si bien servi que par soi-même: ça s'appelera Pyonyang, ça fera 196 pages, ce sera édité par l'Association et ça coûtera 25 euros. |
| | compte supprimé . 11.01.2003 à 15:23 | 72093 |
| | | | Des infos sur la "suite" (notez les guillemets) de Shenzhen ? |
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