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effer, 10.06.2008 à 15:39309590

Musashi continue son combat contre les 70 samurai du dojo Yoshioka, mais il s'épuise et c'est ce qu'attendent ces adversaires restant, maintiendra-t-il le rythme de cette boucherie dans une boue ensanglantée?
Inoue ne déçoit pas, ce fameux combat est hallucinant, comme les visions embuées de sang de Musashi, magniquement dessinés en lavis.
Ce n'est plus la grace fluide du début, on sent le poids de la fatigue et des blessures affectant Musashi, qui tranche à l'aveuglette , mais aussi le désarroi des Yoshioka.
Le meillleur est que le dessinateur continue d'insérer de subtiles réflexions sur la Voie du sabre, l'utilité du samurai dans une période privée de guerres, ainsi qu'un très beau flash back sur la vie d'un des meilleurs membres du dojo, ultime souvenirs d'un passé révolu.
Inoue ne dessine pas un chambarra de plus avec ses doses de découpes de corps en règle, mais il renforce de plus en plus la psychologie de son histoire et des personnages, il fait plus qu'adapter un roman populaire, en cela il se rapproche, dans un style plus moderne mais tout aussi virtuose de ce que fait Hirata Hiroshi: remettre le samurai à sa place dans son temps, l'ere Edo celle où le samurai est devenu inutile.
4 XXXX

yan, 09.06.2008 à 14:26309536
Thierry :
(…) si Hanawa s'inspire de contes traditionnels, il les revisite de maniere tres personnelles, et dans la narration, et par l'utilisation quasi systematique d'elements de science-fiction, remplacant les creatures surnaturelles typiques de l'univers des contes et legendes par des extra-terrestres. D'une certaine maniere, ce parti-pris me semble etre une fausse bonne idee, dans le sens qu'il n'apporte rien aux recits en tant que tels. Je ne comprends pas ce que recherche Hanawa dans cette approche.

Oh, Hanawa a peut-être lu Passport to Magonia, le célèbre ouvrage du Dr Jacques Vallée qui pensait que les ovnis ne devaient pas être d'origine extraterrestre mais plutôt provenir d'une autre dimension, dimension identifiée par lui comme étant celle ou vivent les êtres que l'on trouve dans tous les folklores.

Thierry, 09.06.2008 à 14:09309534
Vrai deception que ce receuil d'Hanawa. J'aimerais deja que Kana m'explique le bandeau, qui vante un ouvrage qui nous fait decouvrir u autre pan de la tradition japonaise. Il s'agit pourtant d'une relecture tres libres de contes japonais, donc assez eloignes de la tradition, justement. Sans doute suis-je en train de chicaner, mais ce bandeau induit en erreur quant au contenu. En effet, si Hanawa s'inspire de contes traditionnels, il les revisite de maniere tres personnelles, et dans la narration, et par l'utilisation quasi systematique d'elements de science-fiction, remplacant les creatures surnaturelles typiques de l'univers des contes et legendes par des extra-terrestres. D'une certaine maniere, ce parti-pris me semble etre une fausse bonne idee, dans le sens qu'il n'apporte rien aux recits en tant que tels. Je ne comprends pas ce que recherche Hanawa dans cette approche.
Les contes respectent les regles du genre, faisant graviter chaques histoires autour d'un grand-pere et sa petite fille, personnages archetypaux du genre que constitue le conte. Ils representent une forme de trait d'union visuel entre les histoires, qui sont independentes les unes des autres, les personnages eux-memes sont distincts, meme s'ils conservent la meme identite graphique.
Hanawa est aussi coutumier d'une narration particuliere, peu lineaire et d'un ton qui oppose la durete des recits a l'innocence de la ptite fille, observatrice candide des evenements. Ainsi, lorsque son veau devient un taureau en une nuit, elle ne se demande pas quel prodige peut expliquer cette transformation, mais ne voit qu'il ne sera plus vendu. Cette vision a hauteur d'enfant etait deja presente dans Tensui, a mon avis infinniment superieur a ce recueil, qui vaut essentiellement pour le dessin d'Hanawa.

ingweil, 21.05.2008 à 10:42309149




Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas autant poilé sur un titre. C'est drôle, c'est frais, c'est bien vu, c'est surprenant, c'est émouvant, c'est bien campé, c'est attachant... Bref Yotsuba& c'est bon mangez-en !

effer, 12.05.2008 à 17:06308546
[pourquoi_manger_chien : album sans vignette]Pourquoi j'veux manger mon chien: Trois pauvres chinois arrivés de la campagne à Honk Hong se retrouvent plus misérables qu'ils ne l'ont jamais étés, en plus, ils sont loin d'avoir inventé l'eau chaude, cela pourrait être ridicule ou misérabiliste, et bien non, l'auteur nous délivre des miettes d'humanité sarcastiques avec quelques personnages un peu caricaturés, mais des décors très réalistes, un one shot qui ne laisse pas indifférent, 4 os pour le chien!

wandrille, 12.05.2008 à 11:06308519
Bon bé je me suis fait tous les GTO... c'est parfois un peu répétitif, le héros est incassable et toujours puceau, les professeurs (et les adultes) sont tous des pervers, les ado tous ultra-violents mais finalement sensibles et gentils, c'est parce qu'on a trahit leur confiance, tout ça (Patrick Bruel quand tu nous tiens...).

Mais bon, ça se lit quand même vachement bien ce truc là.

THYUIG, 03.05.2008 à 16:29308085
Mouais, gageons que le second tome apporte toute la lumière sur un intrigue un brin alambiquée, parce que pour le moment, tout cela sonne un peu creux. (je rappelle que Byun Ki-hyun est l'auteur du très réussi Nouilles Tchajang). Bon, faut que j'attrape la conclusion de cette histoire maintenant.

Mr_Switch, 28.04.2008 à 14:11307777
Toujours trop de personnages. Ca tourne en rond (vraie caricature du coté feuilleton vas-y-que-je-te-fais-durer de ce genre de manga). Mais on poursuit, car on aimerait connaitre le fin mot de l'histoire. Mais jusqu'à quand ? (c'est pas pret de se finir ...)

Mael, 26.04.2008 à 15:31307695
Sympathique. Une narration un peu confuse mais les mystères (volontaires ou non ?) s'éclairent au fur et à mesure de l'action. Dispensable mais intéressant pour passer un bon moment... Si comme moi vous le trouvez en occase....

effer, 25.04.2008 à 17:25307644
[habitant_infini21 : album sans vignette]L'habitant de l'infini T 21: Tous les survivants sont sortis de la prison, maintenant chaque camps compte ses hommes et recrute, cette fois on assistera sans doute au combat final entre Habaki (comdamné) et Anotsu avec ce qui reste de l'ittoryu.
Bien sur Manji et Lin se retrouve au milieu, mais Manji a de quoi haïr Habaki! Un tome plus calme et plus psychologique, c'est l'hiver, et il y a encore un petit peu de combat, mais la tension monte...
4 sabres

NDZ, 22.04.2008 à 9:27307370
Oh purée, ça faisait longtemps que je cherchais cela : du manga qui m'interpelle, qui me parle, qui me colle des frissons et des sourires à la fois. Alors certes, ce ne sont que des recueils de récits courts, mais cet exercice si difficile de la nouvelle est ici maîtrisé à la perfection par Tatsumi. Les histoires nous parlent - sans concession mais en faisant preuve d'une grande sensibilité - des hommes et des femmes, de la société japonaise, de la vie grouillante et sales des humains, de désespoirs et de rêves, de cauchemars et d'espérances... une belle palette. Certains puritains ne retiendront que le côté un peu "trash" ou racoleur de certaines lignes de force de la majorité des récits (sexualité refoulée, non accomplie, frustrations qui débouchent sur la nécro/zoophilie ou sur le viol), mais ça serait vraiment (à mon avis) fermer les yeux sur les qualités réelles de ces livres.

Charlie Brown, 18.04.2008 à 22:18307209
Xavier :
Thierry :
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine


Parfois, non. J'ai un entretien avec le monsieur réalisé à Angoulême qu'il va me falloir traduire et retranscrire, dans lequel il disait clairement qu'il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu. Rassurant, non? Ou pas.


Totalement rassurant pour ma part... :o)
Merci pour cette précision, Xavier... Je commençais à me sentir bien seul dans mon incompréhension. Mais si l'auteur me rejoint, c'est bon signe...
Quoique...

Thierry, 18.04.2008 à 17:42307197
lanjingling :
Thierry :
Xavier :
Thierry :
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine


Parfois, non. J'ai un entretien avec le monsieur réalisé à Angoulême qu'il va me falloir traduire et retranscrire, dans lequel il disait clairement qu'il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu. Rassurant, non? Ou pas.


Andreas aussi a parfois du mal a se rappeler ce qu'il a voulu dire.

moi aussi
je m'inquietais , mais suis en bonne compagnie finalement


il vous en manque un quatrieme pour la belote.

lanjingling, 18.04.2008 à 17:34307194
Thierry :
Xavier :
Thierry :
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine


Parfois, non. J'ai un entretien avec le monsieur réalisé à Angoulême qu'il va me falloir traduire et retranscrire, dans lequel il disait clairement qu'il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu. Rassurant, non? Ou pas.


Andreas aussi a parfois du mal a se rappeler ce qu'il a voulu dire.

moi aussi
je m'inquietais , mais suis en bonne compagnie finalement

Thierry, 18.04.2008 à 17:22307191
effer :
Il boit trop de sake Tori Miki

vaut mieux du sake que de la tourtel

effer, 18.04.2008 à 17:16307189
Il boit trop de sake Tori Miki

Thierry, 18.04.2008 à 11:27307162
Xavier :
Thierry :
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine


Parfois, non. J'ai un entretien avec le monsieur réalisé à Angoulême qu'il va me falloir traduire et retranscrire, dans lequel il disait clairement qu'il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu. Rassurant, non? Ou pas.


Andreas aussi a parfois du mal a se rappeler ce qu'il a voulu dire.

Cobalt 60, 18.04.2008 à 11:03307157
Xavier :
Thierry :


Il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu.


Pareil. D'ailleurs, j'ai arrêté.

Xavier, 18.04.2008 à 10:57307155
Thierry :
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine


Parfois, non. J'ai un entretien avec le monsieur réalisé à Angoulême qu'il va me falloir traduire et retranscrire, dans lequel il disait clairement qu'il y avait pas mal de fois où, en se relisant, il se demandait vraiment ce qu'il avait pu trouver drôle en premier lieu. Rassurant, non? Ou pas.

Thierry, 18.04.2008 à 9:57307146
toujours ce delire non-sensique de Tori Miki, parfois incomprehensible pour l'occidental, parfois meme pour le japonais, et je me demande si Tori Miki comprend tout ce qu'il dessine. La forme reste strictement attachee au gauffrier 3x3, le graphisme reste austere, les personnages stoiques, arborant quasi toujours la meme expression figee, mais une folie de tous les instants, une logique qui a pris un conge sans solde et un grand voyage en absurdie. J'adore !

effer, 10.04.2008 à 17:38306755
tueur se passe à la fin de l'ere Edo, une époque de troubles de complots entre partisants du Shogun et partisants d'une restauration d'un pouvoir impérial fort.
Ogata Izo samurai famélique de dernier rang ne serait qu'un pauvre type frustre si il n'était pas sabreur redoutable.
Cette qualité lui vaut d'être affecté par son chef à la plus vile des besogne, celle d'assassin.
Hirata Hiroshi nous dessine encore magistralement une perle du gekika, fustigeant toujours mais en d'autres termes les règles de vie et le soit disant bushido implacablement ici bafoué dans le sang.
Le glossaire et les notes de fin de volume sont très bien faites pour ceux qui auraient peur de l'histoire du Japon.
Coup de coeur!
P.S. L'album est adapté librement d'un film de Gosha Hideo (Hitokiri) qui donne envie: voir ici.

chrisB, 05.04.2008 à 10:20306582
Oh un one-shot !! je vais voir ca de plus pres

THYUIG, 05.04.2008 à 10:13306580
Où l'on retrouve tout ce qui faisait le charme de Satsuma et de l'âme du Kjudo : une société japonaise inégalitaire, immobile, des fiefs qui s'affrontent dans des jeux politiques confus, et tout cela servi par un dessin incroyable de maîtrise et de modernité (pensez, ça n'a que quarante ans). Bien entendu, ça ne palira toujours pas à ceux qui ne trouvaient rien à mâcher dans les précédentes oeuvres d'Hirata, les autres feront comme moi, l'avaleront d'un trait.

Cobalt 60, 01.04.2008 à 18:02306408
Merci Wandrille pour cette présentation bien détaillée.

wandrille, 01.04.2008 à 16:52306405
C'est vraiment très proche de l'esprit de Planète. L'ambiance en ouverture est nettement proche de l'esprit "dépassement de soi" de la première série, mais plus axée autour d'une amitié, celle de Goro et de Lostman, que l'obsession adolescente du héros de Planète (qui me fait penser au grand frère de "little miss sunshine").

Les personnages sont plus vieux, très branchés cul au départ, mais, au fur et à mesure de leur progression, ils acquiert tous les deux une épaisseur. Goro reste un bon vivant ultra professionnel sous des dehors déconne, avec un fond de droiture qui apparaît au détour des histoires et des situations de crise, Lostman est le personnage froid par excellence (qui rappelle un peu Guile de Street Fighter, maintenant que j'y pense), manipulateur et individualiste en apparence mais qui rejoint les rangs de l'armée US, loin du sentiment.

Au fur et à mesure de la série (qui n'est pas terminée) elle prend un tour beaucoup plus politique (montée en puissance de la chine avec une guerre des étoiles et une course à l'armement, terrorisme des états pétroliers qui sont menacés par le développement des ressources énergétiques spatiales)... tout cela mélangé avec bon nombre de destinées individuelles, habilement mélangées.

Vraiment cette série gagne à avoir une seconde (troisième) chance.

Cobalt 60, 01.04.2008 à 15:23306399
C'est vrai que j'ai jeté une ou deux fois un oeil sur cette série.
La première fois, c'était à la sortie du premier volume. Classé BD de cul racoleuse aussitôt. Plus tard, j'ai trouvé les engins spaciaux et les images planantes aussi attirants que dans Planète, mais les perso tout pourris, nettement moins réussis. Du coup, je n'ai pas tenté une troisième approche. J'ai peut-être eu tort. La série est terminée, non ?
Ça m'intrigue cette histoire de prequelle tout de même. Tu ne penses pas que le patronymes communs pourraient être aussi un clin d'oeil de l'auteur à Planète. Les éditeurs sont les mêmes, les dates de publication concordent ?
Est-ce que c'est dans le même esprit que Planète (thèmes écologistes, psychologie fouillée des personnages…) ?

wandrille, 31.03.2008 à 17:30306368
Tout à fait... j'avais effectivement vu que le dessin et les auteurs étaient différents, mais plus la lecture avançait plus ça devenait évident.

En fait, c'est bel et bien une préquelle, après vérification, notamment d'un fait tout bête, c'est que le père et la mère du héros de Planète ont les même nom que Goro et sa copine dans moonlight miles (et la même gueule, bien sûr).

mais j'ai longuement douté.

Bref, ceux qui ont aimé Planètes ne devraient pas s'en plaindre. Ceux qui ont regretté que Planète ne soit pas plus porté sur le sexuel non plus, du reste.

Cobalt 60, 31.03.2008 à 17:12306365
Tu es sûr que c'est une préquelle ? Les auteurs ne sont pas les mêmes et le dessin non plus.

chrisB, 31.03.2008 à 17:12306364
wandrille :
La série a été plombée en France par les scènes de cul qui disparaissent totalement dans le reste de la série. C'est bien dommage.


Tu changeras jamais, toi, hein :o)

wandrille, 31.03.2008 à 16:18306356
Pour ceux qui sont passé à côté de cette préquelle à l'excellente série "PLANETE".

Moonlight miles raconte juenesse de Goro, le père du héros de planète, lors de la première vague de colonisation de l'espace.

La série a été plombée en France par les scènes de cul que les auteurs se sont crus obligés d'ajouter dans les trois premiers volumes de la série et qui disparaissent totalement dans le reste de la série.
C'est bien dommage, parce que c'est une série qui tabasse.

wandrille, 31.03.2008 à 16:07306354
hé hé hé, on dira ce qu'on voudra, y a pas de fumée sans feu... la renommée de ce titre n'est pas imméritée.

Thierry, 21.03.2008 à 16:13306005
Rien de neuf sous le soleil levant. Efficace et bien trousse.

Charlie Brown, 21.03.2008 à 15:16306000
lanjingling :
minute, on se calme un peu , la
j'etais prem's


Caramba, té révoilà en travers dé mon chémin, vil coyote !

Ça va chier !
On réglera ça à coup de Tintin et de Spirou, demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne.

(Je risque d'être à court de munitions avant toi... 24 albums, ça fait un peu juste... mais qu'importe, quand on aime, on ne compte pas.)

Smiley_Bone, 21.03.2008 à 12:12305995
Mouais pas vraiment compris les notes plutôt négatives d'Amours blessantes, enfin sauf si on suit la bande dessinée plus pour les personnages que pour le concept.:o)

lanjingling, 21.03.2008 à 11:58305993
Charlie Brown :

Je ne suis pas fan de Kiriko, j'en suis littéralement amoureux !
(je suis amoureux de ses héroïnes aussi...)

Voilà... Kiriko Nananan, je t'aime !
minute, on se calme un peu , la
j'etais prem's

Charlie Brown, 21.03.2008 à 9:18305982
J'avais écrit, il y a quelques temps de cela...

Charlie Brown :
Je viens de lire


C'est aussi bon que



...Je crois que je suis fan de Kiriko...


Après lecture de Strawberry Shortcakes





... je dois me rendre à l'évidence...

Je ne suis pas fan de Kiriko, j'en suis littéralement amoureux !
(je suis amoureux de ses héroïnes aussi...)

Voilà... Kiriko Nananan, je t'aime !

effer, 20.03.2008 à 17:39305963

Ogami Ito et sont fils sont à Edo, et le shogun fulmine contre Yagyu Retsudo et sa confiance en ses capacités à l'éliminer s'émousse. Il lui adjoint son goûteur ( et maître des poisons surtout).
Après les fastes d'une cérémonie au palais, nous plongeons dans les bas-fonds de la ville, ses "oiseaux de nuits": les prostituées de bas étage, affamées et droguées qui se disputent les berges du fleuve.
L'empoisonneur se révèle être un homme pervers et terriblement sournois qui tisse une toile implacable autour du loup solitaire.
Aucun coup de sabre dans ce tome 20, mais une ambiance malsaine très réussie.
4 kimonos rouges...

effer, 18.03.2008 à 17:44305857

Le "retour à la terre" de son enfance d'une jeune femme après une rupture douloureuse.Une belle chronique au rythme lent des saisons, des travaux des champs d'une communauté villagoise très isolée.
C'est tout simple mais tellement chaleureux comme ces bons petits plats concoctés ensembles.
4 bons bols de riz gluants.

THYUIG, 15.03.2008 à 10:28305704
à





Bon faut être au minimum amateur du genre pour aprécier ce manga, et même avec la meilleur volonté du monde, l'ennui pourrait poindre le bout de son nez. Toujours rien à dire côté dessin, c'est juste beau et bien réalisé, malgré tout il n'y a pas d'image que l'on porte d'un bout à l'autre d'un tome, il n'y a pas de séquence un peu particulière à se remémorer, juste une suite de très beaux dessins malgré tout un peu vaine. Côté scénar, ben voilà, ça reprend les choses au Japon là où Tsui Hark les avait laissées en Chine : ces salauds d'europeens qui vont faire pourrir notre civilisation. Alors on ne réflèchie pas trop là-dessus, faut pas déconner, mais c'est un bon pretxte pour que tout le monde se tape logiquement sur la gueule. Sur ce plan là, pas de problème, l'hémoglobine est bien présente, malheurement la comparaison avec l'Habitant de l'infini intervient à nouveau justement, Samura est beaucoup plus fort et imaginatif dans la réalisation de ce type de scène. Donc un manga qui s'écoule, mais qu'à la limite je préfèrerais suivre devant ma télé plutôt que sur format papier.

Thierry, 10.03.2008 à 11:42305414
mouais, Arai reste sur la tangente, entre critique sociale et poujadisme. J'ai un peu de mal a voir ou il veut en venir. Autant le personnage de Kai est terriblement ambigu, autant la naivete de certaines scenes et un symbolisme un peu lourdingue brouillent les cartes et font perdre beaucoup d'impact a cette serie. Je crois que je vais en rester la.

Willy le Borgne, 05.03.2008 à 0:14305095
il semblerait que Hunter X Hunter revienne nous faire un petit coucou, du moins au Japon, le tome 25 est sorti et quelques chapitres vont également sortir dans le Jump.
A quand la sortie française pour le tome 24 sans parler du 25 ?

lanjingling, 01.03.2008 à 13:33304904
wandrille :




Hé ben c'est pas mal du tout, ça...

ouais , c'est bien reac & bien prenant , comme un bon vieux buck danny ,mais c'est moins documenté , la redemption est moins maitrisee , & on s'en lasse plus vite

wandrille, 01.03.2008 à 10:24304895




Hé ben c'est pas mal du tout, ça...

THYUIG, 01.03.2008 à 8:34304891
Il ne se passe absolument rien dans ce second tome c'en est limite flippant. Toujours aussi bien dessiné mais alors j'ai la curieuse impression qu'on nous vend du manga au kilomètre. Bref.

THYUIG, 28.02.2008 à 14:12304756
2 gamins perdent leur mère victime du choléra dans le Japon d'avant la période Meiji. Assez cru dans son rapport à la violence, on pense immédiatement à Samura côté dessin et ambiance. Très plaisant à lire pour un premier tome, mais vraiment proche de l'atmosphère de l'habitant de l'infini. Ce qui est positif peut être lourd si la comparaison reste trop évidente par la suite.

THYUIG, 12.02.2008 à 18:30303864


Dans un futur pas si lointain, une nouvelle loi Pharmaceutique permet de se lacher un peu en matière de drogue et de réalité parallèle et fantasmée. En gros, tout le monde se shoote pour échapper à un quotidien vraiment naze. C'est dans ce contexte qu'une "pompe" d'un nouveau genre est introduite sur le marché. On est vraiment coincé ici entre les univers de Jeff Noon et Philip K. Dick avec qui plus est un dessin (assez proche d'Otomo) vraiment réussi au rythme changeant rendant la lecture très agréable, l'auteur se lançant régulièrement dans de longs plan-séquence avec beaucoup de réussite.
Au final même si ce n'est pas passionnant plus que ça, la cohérence de l'univers dans lequel le personnage principal évolue laisse présager du meilleure pour la suite.
D'un autre côté ça peut aussi complétement se planter, on n'est à l'abris de rien.

Willy le Borgne, 12.02.2008 à 2:27303823
chrisB :
Je retrouve vraiment cet esprit decalé des animes de ma jeunesse (les papillons naugragés etc). Ca se lit comme du petit lait, le melange est savamment dosé. miam miam



Pour développer un peu plus le post dans les dernier achats.
Cette série peut être sympa au début, les enquêtes sont pas mal et si on a aimé Sherlock Holmes c'est encore mieux. Mais ça tourne trop vite en rond et rapidement c'est que du bis repetita. 2, 3 tomes maxi je dirais

Herbv, 09.02.2008 à 10:35303732


Outre le bilan Manga de Mangaverse, deux autres bilans sont à votre disposition sur le web.

Tout d'abord, même s'il ne se consacre pas qu'aux mangas, je ne peux que vous rappeler d'aller lire celui de XaV sur du9.

Ensuite, MangaVoraces vient de mettre en ligne le sien avec la mise en avant de 12 titres, un par mois.

Enfin, un excellent article "Le bilan 2007 du manga et ses conséquences" est disponible dans le numéro de février du magazine Animeland.

chrisB, 07.02.2008 à 12:04303622
Je retrouve vraiment cet esprit decalé des animes de ma jeunesse (les papillons naugragés etc). Ca se lit comme du petit lait, le melange est savamment dosé. miam miam

chrisB, 06.02.2008 à 12:20303546
Oui sur 2 tomes :o)
on est loin des séries fleuves...

auroress, 06.02.2008 à 12:16303543
oui sauf que des fois une histoire est à cheval sur deux tomes...
oui oui je suis blasée aussi si je veux

chrisB, 06.02.2008 à 11:49303535
J'imagine bien qu'avec 55 tomes il y a des hauts et des bas, voir que l'inventivité baisse.

L'avantage c'est que l'on peut s'arreter quand on veut, la série étant un condensé de petits plaisirs et non une histoire qui traine.

auroress, 06.02.2008 à 11:41303534
au début ça va après ça lasse... enfin je te laisse découvrir par toi-même jeune padawan...

chrisB, 06.02.2008 à 11:37303532
Carrement super sympa. Je suis fan du pti Conan, le melange d'intrigue et d'humour est au poil !!

Dieu, 22.01.2008 à 21:31302696
Ha merci, enfin de la nouveauté alors. Ca fait donc 2 personnes enthousiastes avec celle qui a bullenoté l'album. Quasiment une tendance! ;-)

Herbv, 22.01.2008 à 19:02302688
Un début de réponse est disponible ici

Dieu, 22.01.2008 à 18:44302685
de tiroir?

Dieu, 22.01.2008 à 18:43302684
Le dernier Junji ito (Remina), c'est bien ou c'est du fond de tiroir.

effer, 22.01.2008 à 17:05302671
[cats5 : album sans vignette] Le niveau baisse 3 griffes pour les dessins réalistes de chats parsemant ce tome.
Je veux une réédition complète de What's Michael de Kobayashi Makoto, sens japonais, couvertures d'origines, 8 tomes seulement, c'est tellement mieux sur tous les plans!!!

ingweil, 21.01.2008 à 14:40302539
Mieux que le second tome, on introduit un peu plus de finesse dans ce dernier opus. Les personnages gagnent en profondeur (Shuichi est assez intéressant dans son rôle complètement déconnecté, déboussolé, lui qui était le seul à voir les évènements arriver se détache progressivement de l'histoire). Moins de morts spectaculaires, une réflexion qui se dégage sur la folie de l'être humain, sur l'oppression que l'on peut trouver dans les villes. Restent que le message final n'identifie pas clairement les éléments de la civilisation humaine qui ont provoqué le glissement, que cette vision d'une entité extérieure qui serait responsable fait manquer la critique sociétale qui accompagne généralement les livres du genre et qu'il manque un élément fédérateur à cette trilogie (même si l'auteur réintroduit quelques éléments passés et leur donne un éclairage intéressant). Ç'aurait pu être un très grand titre, c'est une bonne série et c'est déjà pas si mal. À ne pas mettre entre toutes les mains c'est parfois très impressionnant.

ingweil, 18.01.2008 à 14:53302407
Brrr... C'est quand même assez gerbant parfois. Dommage que l'auteur se contente d'une juxtaposition de saynètes vaguement liées les unes entre les autres plutôt qu'une véritable intrigue qui engloberait les 3 volumes. Si ça suffit au plaisir (et au dégoût) de lecture dans le premier tome, la formule s'essoufle un peu dans le second volume, obligeant l'auteur à jouer de la surenchère. Un peu ce que j'avais ressenti à la lecture de la dame de la chambre close. Bon vivement la suite quand même (ce soir wouhou !!!).

chrisB, 17.01.2008 à 10:55302293
De mémoire c'est Noir Firbird qui avait buzzé sur la série, bref ca me titillait depuis qq temps.
Au final décu meme si ca reste prometteur, je m'explique :o)
La premiere histoire est pour moi imbuvable, elle pese sur ce tome (1/3 du bouquin). Les suivantes sont beaucoup plus sympathiques, et laisse augurer d'aventures attachantes. A suivre

Glotz, 15.01.2008 à 17:37302201
lanjingling :
schulz , feiffer , blutch ont aussi fait des pages de b.d. sur la danse tres reussies ,& sans le "cote heros"
mais c'est vrai que c'est difficile a reussir , & je suis curieux de lire ce manga (tu ne sais pas s'il est traduit en chinois par hasard ? )

Il y a aussi la page de La Maison dorée de Samarkand où Raspoutine et Corto improvisent une danse, et qui fait partie des raisons qui me font préférer cet album parmi toute la série.

chrisB, 15.01.2008 à 12:12302151
Je ne l'ai pas lu celui là, mais pareil que Asano, content d'avoir un auteur manga à defricher

THYUIG, 15.01.2008 à 12:03302149
Thierry :
La ou Matsumoto decrit la malaise de la jeunesse a travers l'onirisme et le symbolisme, Okazaki prefere une approche en faux-semblant. Derriere un style faussement innofensif, elle dresse un portrait tout aussi dur, tempere par un humour tres noir.


son doute son bouquin que je préfère pour le moment !!

fow, 15.01.2008 à 10:28302142


Bon j'ai lu ça ce week end. Ca se lit vite, y a du rythme, c'est marrant de voir un manga qui se déroule en europe, les décors sont parfois superbes. On a un peu tendance a tout nous expliquer en détail, histoire qu'on comprenne bien ce qu'on a déjà vu venir un peu, mais bon, c'est prenant quand même. Par contre y a pas un seul truc drôle mais bon, on continue.

chrisB, 15.01.2008 à 10:19302141
Petit verdict manga overview

Le tome 7 de ce beau petard mouillé qu'est Death Note.
La fin du premier cycle (ouf) et l'amorce d'un second (mince) qui s'annonce encore plus laborieux que le premier. J'arrete ici pour ma part.

Premier tome d'une courte série de 4 tomes. Le résumé de la fiche est explicite je ne vais pas detailler l'histoire, sachez juste que c'est bien fait, que malgré des passages un brin larmoyants on s'attache à l'histoire et aux personnages. Bref, un thème assez peu developpé sur un fond historique interessant (évolution justement du monde des sourds), à découvrir

Le quartier de la lumière d'Inio Asano.
Quel plaisir de découvrir un auteur interessant, né en 1980, c'est donc un mangaka de la jeune génération (j'imagine). J'ai hate de lire ses autres traductions, en espérant qu'elles soient de ce calibre.

Seton tome 2. Cet episode se deroule pendant la jeunesse de Seton, un cran au dessous du premier ca reste une bonne lecture.

Thierry, 15.01.2008 à 10:07302139
La ou Matsumoto decrit la malaise de la jeunesse a travers l'onirisme et le symbolisme, Okazaki prefere une approche en faux-semblant. Derriere un style faussement innofensif, elle dresse un portrait tout aussi dur, tempere par un humour tres noir.

auroress, 14.01.2008 à 16:18302112
lanjingling :
auroress :
Subaru tomes 4 et 5 c'est très très bien
Un manga sur la danse a priori on se dit comment que ça va pas le faire, c'est inrendable sur le papier...
Et bien en fait non, je ne sais pas comment fait l'auteur mais il est très très fort pour réussir à faire passer tant les mouvements que l'émotion. Seul reproche c'est le côté "héros", syndrome à la seyia, je suis au bord de la mort mais je me relève et je vais jusqu'au bout.

schulz , feiffer , blutch ont aussi fait des pages de b.d. sur la danse tres reussies ,& sans le "cote heros"
mais c'est vrai que c'est difficile a reussir , & je suis curieux de lire ce manga (tu ne sais pas s'il est traduit en chinois par hasard ? )

(je ne sais pas t'imagines bien :))
sinon sachez qu'il s'agit de danse classique ET de danse moderne...

Le PBE, 14.01.2008 à 14:52302104
lanjingling :
auroress :
Subaru tomes 4 et 5 c'est très très bien
Un manga sur la danse a priori on se dit comment que ça va pas le faire, c'est inrendable sur le papier...
Et bien en fait non, je ne sais pas comment fait l'auteur mais il est très très fort pour réussir à faire passer tant les mouvements que l'émotion. Seul reproche c'est le côté "héros", syndrome à la seyia, je suis au bord de la mort mais je me relève et je vais jusqu'au bout.

schulz , feiffer , blutch ont aussi fait des pages de b.d. sur la danse tres reussies ,& sans le "cote heros"
mais c'est vrai que c'est difficile a reussir , & je suis curieux de lire ce manga (tu ne sais pas s'il est traduit en chinois par hasard ? )

J'ajouterais Baudoin (j'ai de superbes planches en mémoire, je dirais dans "le portrait")

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