Résumé: Tao, grand maitre d´arts martiaux qui sait manier les katanas comme personne, est chargé de mener une escouade de soldats pour une mission suicide contre des vampires...
Moi je sais pas pour vous, mais ça a l'air énorme :)
Malavida sort en DVD entièrement remastérisés cinq films de Andrzej Munk dont on ne connaît en France que "La passagère" en version inachevée. Ce très grand film sur la confrontation trouble d'une gardienne SS et d'une déportée au camp d'Auschwitz est proposé en deux versions: celle diffusée en France et une complétée par un autre réalisateur polonais.
Voir l'article sur Le Monde
5 DVD Malavida : "Les Hommes de la croix bleue" (1955), "Un homme sur la voie" (1957), "Eroica" (1958), "De la veine à revendre" (1960), "La Passagère" (1963).
Quel film ! Quelle acteur ! Quelle mise en scène ! Quel travail sur la musique ! Il faut juste un peu revoir son Aldo Moro et ses brigades rouges pour ne pas perde le fil par moment, mais, putain, c'est fort !
Je cherche un film (sur la guerre du vietnam ??) avec la chanson de Ray Charles "Georgia" (sur la fin ??)
Pleaseeeeeeeeeeeeee
ptain et moi qui pensais que le grand Charlie venait à mon secours !!!
tout ca pour lire des inepties sur Jean Lefevre :o) nan mais je vous jure :o)))
Vil flatteur !
Cela dit, j'ai bien peur de ne pouvoir t'être d'un grand secours...
Les films de guerre, c'est pas trop mon truc (enfin j'en ai vu quand j'étais gamin, mais ça m'a vite saoulé...). Quant aux films sur la guerre du Vietnam, j'ai décidé qu'avec 5 films, j'en avais fait le tour (Voyage au bout de l'enfer (le meilleur mais le plus éprouvant), Platoon, Apocalypse Now, Né un 4 juillet et Good Morning Vietnam) et je crois pas que je pourrais en supporter plus.
Et cette chanson ne me rappelle aucun de ces films... Désolé. (en même temps, on peut pas se fier à ma mémoire sur des films vus une seule fois il y a plus de 15 ans et traitant d'un tel sujet.)
lanjingling :
tu ne l'as pas dit tu l'as sous-entendu au travers d'une citation tronquee ; meme si cette citation est celebrissime , proceder ainsi par allusion (plus ou moins fine)prouve que tu es elitiste & snob , & as donc plus d'une qualite indispensable aux cinephiles
je pensais pourtant au "Voyage au bout de l'enfer", (The derr hunter: le titre français est trop racoleur pour ce film somme).
Pour Wagner c'est "Appocalypse now"...
;-)
good morning vietnam , c'est "wonderful world"; sur la guerre du vietnam , t'aurais demande wagner , fastoche , "voyage au bout de l'enfer" , evident , "full metal jacket" , c'est pas le genre de musique qu'utilise kubrick , dans rambo peut-etre ?
Alors comme j'ose tout (oui, c'est à ça qu'on me reconnaît... :o)), je n'hésite pas une seconde à vous dire, à chrisB et toi, que j'adore ce film, nanard magnifique s'il en est !
Voilà le parfait exemple des propos que nous échangions avec lanjingling sur l'autre topic (qui fait finalement doublon avec celui-ci, je n'aurais pas dû le créer d'ailleurs, je me rends compte qu'on aurait pu causer "cinéphilie" dans celui-ci... mais, comme je le disais dans ma phrase au-dessus, je suis un peu con...).
tu ne l'as pas dit tu l'as sous-entendu au travers d'une citation tronquee ; meme si cette citation est celebrissime , proceder ainsi par allusion (plus ou moins fine)prouve que tu es elitiste & snob , & as donc plus d'une qualite indispensable aux cinephiles
chrisB :
help help !!
Je cherche un film (sur la guerre du vietnam ??) avec la chanson de Ray Charles "Georgia" (sur la fin ??)
Pleaseeeeeeeeeeeeee
Dans mon coffret Audiard. L'idiot du village Lefebvre debarque a Paris. Il espere vivre dans la tour eiffel et au sacre coeur et ne rentrera chez lui que quand il lui arrivera quelque chose.
Parmi les enigmes qui divisent les experts, comment Jean lefebvre fut-il un acteur a succes ? Inexpressif et transparent au possible, il balade son air de chien batuu entre des saynettes sans reels liens. Tantot comedie de siuation, tantot fable ecologique pre-68, ce film, du au dispensable Serge Korber ne vaut pas grand chose, a l'exception de quelques jolis dialogues signes Audiard, Bernard Blier et Dany Carel. Mais a part ca... pff
HaHaHaHa !
Alors comme j'ose tout (oui, c'est à ça qu'on me reconnaît... :o)), je n'hésite pas une seconde à vous dire, à chrisB et toi, que j'adore ce film, nanard magnifique s'il en est !
Voilà le parfait exemple des propos que nous échangions avec lanjingling sur l'autre topic (qui fait finalement doublon avec celui-ci, je n'aurais pas dû le créer d'ailleurs, je me rends compte qu'on aurait pu causer "cinéphilie" dans celui-ci... mais, comme je le disais dans ma phrase au-dessus, je suis un peu con...). L'amour de certains navets étant une condition apparemment sine qua non de la cinéphilie en herbe, celui-ci fait partie de mon panthéon des petits plaisirs simples... :o)
Ne serait-ce, justement, que pour Dany Carrel, fraîche et pulpeuse à souhait, pour Audiard et ses dialogues toujours hilarants et ciselés (mon préféré dans ce film : "Je suis ancien combattant, militant socialiste et bistrot... C'est dire si, dans ma vie, j'en ai entendu, des conneries !"... :o)), ses situations débiles, la gueule de Blier qui se sent une âme paternaliste pour tout rejeton de l'Assistance... etc...
Quant à Jean Lefebvre, tant qu'on ne l'a pas trouvé parfait dans Les Tontons flingueurs, Ne nous fâchons pas, Quelques messieurs trop tranquilles ou C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueuler (ces deux derniers faisant partie de mes nanards préférés !... Les deux premiers, de mes grandes comédies préférées) voire dans les "Gendarmes", on ne peut effectivement pas comprendre grand chose au personnage... :o)
Mais je ne vous en veux pas...
Dans mon coffret Audiard. L'idiot du village Lefebvre debarque a Paris. Il espere vivre dans la tour eiffel et au sacre coeur et ne rentrera chez lui que quand il lui arrivera quelque chose.
Parmi les enigmes qui divisent les experts, comment Jean lefebvre fut-il un acteur a succes ? Inexpressif et transparent au possible, il balade son air de chien batuu entre des saynettes sans reels liens. Tantot comedie de siuation, tantot fable ecologique pre-68, ce film, du au dispensable Serge Korber ne vaut pas grand chose, a l'exception de quelques jolis dialogues signes Audiard, Bernard Blier et Dany Carel. Mais a part ca... pff
moi je pensais russe, au sens financé par et non issu d'une oeuvre russe :o)
Les deux mon capitaine: le film est une adaptation des carnets d'Alexandre Arseniev sur ses expéditions de cartographie de la Sibérie et sa rencontre avec le chasseur Gold Dersou Ousala qui deviendra son guide.
Le film a été financé par les soviétiques, tourné en Sibérie avec des acteurs Russes et une équipe mixte, Kurosawa ayant amené son fidèle ingénieur du son.
(Il est étonnant de voir à cette occasion qu'Alexandre Arseniev avait été traduit au Japon et que Kurosawa l'avait lu et aimé; c'est la raison qui lui avait fait accepté d'en tourner une adaptation. Arseniev était alors inconnu en France).
Effectivement, Dodes'kaden est beaucoup mieux construit que Les bas fonds, la psychologie de chaque personnage est très élaborée, et le travail sur la couleur époustouflant!
J'adore Dodes'kaden, premier film en couleur de Kurosawa, ou l'art de jouer sur les couleurs fondamentales, dans un grand film sur les déclassés du Japon, dur mais d'un humanisme exceptionnel, beaucoup plus construit dans la description des personnages, quand à la mise en scène, c'est magnifique.
Le film a fait un bide au Japon, et Kurosawa tenta de se suicider.
Ce "vilain petit canard" fait parti des chef d'oeuvre de "Tenno"*
Dersou Ousala c'est le plus grand "film Russe" de Kurosawa, une merveille, d'ode à la nature,avec des plans à couper le souffle et des scènes d'anthologies: le blizzard sur le lac gelé!
*Tenno: l'empereur: surnom donné par les japonais à Kurosawa.
Je n'arrive pas à faire un classement, je les aime tous, chacun possède SA scène qui me fais trembler de plaisir:
Rashomon: l'une des plus belle scène érotique du cinéma ( jeu de lumières sur les corps en sueur), des N&B qui tuent.
Vu The Spirit .... mouais... ça passe le temps, mais dès la scène d'intro ou le héros "cours" sur les fils électriques on a un peu peur des partis pris esthétiques. Impression qui s'estompe (un peu) par la suite.
Ça reste visuellement intéressant mais pas mémorable.
Je me rends compte, grâce à ta liste, que je n'ai vu que l'excellent Rashômon ! (Non non, même pas Les Sept Samouraïs !)
Hé bé ! Y'a du boulot et du plaisir en perspective... :o)
Kurosawa c'est 31 films, je les ai pas tous en fait, j'ai des trous au début et à la fin :o)
1943 : La légende du grand Judo
1944 : Le plus beau
1945 : La nouvelle légende du grand Judo
Les hommes qui marchent sur la queue du tigre
1946 : Ceux qui batissent l'avenir
Je ne regrette rien de ma jeunesse
1947 : Un merveilleux dimanche
1948 : L'ange ivre
1949 : Le duel silencieux
Chien enragé
1950 : Scandale
Rashomon
1951 : L'idiot
1952 : Vivre
1954 : Les sept samouraïs
1955 : Vivre dans la peur
1957 : Le chateau de l'arraignée
Les bas-fonds
1958 : La forteresse cachée
1960 : Les salauds dorment en paix
1961 : Le garde du corps
1962 : Sanjuro
1963 : Entre le ciel et l'enfer
1965 : Barberousse
1970 : Dodes'kaden
1975 : Dersou Ouzala
1980 : Kagemusha
1985 : Ran
1990 : Rêve
1991 : Rhapsodie en août
1993 : Madadayo
Pour Kurosawa, j'ai la totale en vost anglais (edition chinoise)
J'ai 20 films de Kurosawa, mais j'ignore si c'est "la totale"?
"Ceux qui marchent sur la queue du tigre", je l'ai enregistré en 2008 sur Arte, c'est un moyen métrage ancien: une adaptation d'une pièce de Kabuki, très plaisante pour l'humour et la légèreté du thème.
J'ignorais totalement l'existence de ce film!
Kurosawa qui adapte Gorki, très très sombre !!
J'ai decouvert le cinema japonais avec Kurosawa, mais avec le temps je lui prefere Ozu et Mizoguchi, et je decouvre d'autres de ses "contemporains" (Gosho et Naruse, par exemple) qui me touchent
Satyajit Ray est vraiment un auteur interessant, les 2 que tu cites sont les plus faciles à trouver, les 2 sont très bons (Charulata me touche un peu plus que l'autre). Et si tu trouves La complainte du sentier et La déesse, tu me tiens au courant :o)
J'ai regardé Donzoko hier, c'est sombre mais magnifique, il y a toujours un fond d'humanité qui perce chez Kurosawa.
J'adore Mizoguchi ( le peintre de la femme et de sa condition inhumaine), Imamura,Ozu, Oshima, Kore Eda Hirokatsu, Aoyama Shinji, Kurosawa Kioshi....
Charulata est un des rare film qui m'a fait pleurer de bonheur!
La Déesse vient de sortir en DVD, La complainte du sentier, existe seul, sinon il existe un coffret de la trilogie d'Apu.
Satyajit Ray, j'en ai une palanquée en VHS, j'adore ce réalisateur!
Vas voir par là ou sur dvdrama, dans le forum, chez ceux qui revendent leur DVD.
Je vais regarder le coffret de la trilogie Apu, surtout que je n'ai jamais vu le 3ème "Apur Sansar", aussi bon que les 2 premiers j'imagine ?
chez Kurosawa, dans le genre non chambara, j'aime beaucoup Vivre et Chien enragé (plus dur à trouver).
Kurosawa qui adapte Gorki, très très sombre !!
J'ai decouvert le cinema japonais avec Kurosawa, mais avec le temps je lui prefere Ozu et Mizoguchi, et je decouvre d'autres de ses "contemporains" (Gosho et Naruse, par exemple) qui me touchent
Satyajit Ray est vraiment un auteur interessant, les 2 que tu cites sont les plus faciles à trouver, les 2 sont très bons (Charulata me touche un peu plus que l'autre). Et si tu trouves La complainte du sentier et La déesse, tu me tiens au courant :o)
J'ai regardé Donzoko hier, c'est sombre mais magnifique, il y a toujours un fond d'humanité qui perce chez Kurosawa.
J'adore Mizoguchi ( le peintre de la femme et de sa condition inhumaine), Imamura,Ozu, Oshima, Kore Eda Hirokatsu, Aoyama Shinji, Kurosawa Kioshi....
Charulata est un des rare film qui m'a fait pleurer de bonheur!
La Déesse vient de sortir en DVD, La complainte du sentier, existe seul, sinon il existe un coffret de la trilogie d'Apu.
Satyajit Ray, j'en ai une palanquée en VHS, j'adore ce réalisateur!
Vas voir par là ou sur dvdrama, dans le forum, chez ceux qui revendent leur DVD.
petit film choral, très genre Sundance, qui se démarque par une certaine fraicheur mald-gré des passages qui auraient pu déboucher sur un film plus scabreux. Maos le charme opère et le résultat est des plus plaisants.
Je l'ai vu à sa sortie et j'ai vraiment beaucoup aimé ! Je ne peux donc qu'abonder en ton sens et vivement le conseiller à toute personne dotée d'un minimum de goût.
Kurosawa qui adapte Gorki, très très sombre !!
J'ai decouvert le cinema japonais avec Kurosawa, mais avec le temps je lui prefere Ozu et Mizoguchi, et je decouvre d'autres de ses "contemporains" (Gosho et Naruse, par exemple) qui me touchent
Satyajit Ray est vraiment un auteur interessant, les 2 que tu cites sont les plus faciles à trouver, les 2 sont très bons (Charulata me touche un peu plus que l'autre). Et si tu trouves La complainte du sentier et La déesse, tu me tiens au courant :o)
Les bonnes occasions, entre 0,5 et 3 €:
Bird, sous blister,
Donzoko ( Les bas fonds), sous blister,
Le salon de musique,
et j'attends Charulata, Dune et Brazil, miam.
Louise-Michel : Tres drole, tres bien. Pour qui aime Groland, Bernie et ce genre d'humour.
allez voir aussi les videos tres marrantes sur le blog de siné
petit film choral, très genre Sundance, qui se démarque par une certaine fraicheur mald-gré des passages qui auraient pu déboucher sur un film plus scabreux. Maos le charme opère et le résultat est des plus plaisants.
flamboyant, qui fleure bon le cinémascope, sans honte aucune dans l'exploitation éhontée de tous les clichés du genre. Mais ça le fait :o)
Honnêtement, j'y suis allé un peu à reculons pour Angelina Jolie, j'avais vu une interview d'Eastwood qui disait que c'était dommage que les gens ne la considèrent que pour sa beauté, que pour lui c'était vraiment une super actrice. Et bien je ne dirai pas qu'elle m'a ébloui comme Hillary Swank a pu m'éblouir dans Milliond Dollar Baby, mais le rôle était peut-être un peu plus casse-gueule. Comme ce sont les deux seuls films où je l'ai vue avec Raisons d'Etat (où je l'ai trouvée vraiment pas mal, même si elle a parfois un peu de mal à donner la réplique à Matt Damon), je ne peux pas dire qu'elle m'agace autrement que par sa notoriété un peu saoûlante.
Pour ce qui est de Ridley Scott, j'avais plutôt bien aimé la chute du faucon noir et American gangster mais effectivement, on est très loin de Bladerunner. Je ne suis pas sûr que j'irai voir son adaptation de Monopoly (quelle idée débile...)...
John Ford me disait souvent "si dans un de mes films tu vois la caméra, alors j'ai loupé un truc" il me disait aussi "si à la fin du film t'es capable de te souvenir d'un plan de manière précise, alors ce plan est à chier"
Clint est un des grands réalisateurs d'aujourd'hui, j'ai un peu de mal avec Angelina Jolie, si tu dis qu'elle est bien dirigée alors il faut effectivement voir.
Les freres Scott, loin des 2 cités dessus (surtout Tony qui est à peine potable), ont fait leur temps et leurs meilleurs films, Ridley avec Alien, Thelma et Louise et surtout Bladerunner, je n'attend plus grand chose d'eux (de Ridley en fait car de Tony je ne crois pas avoir attendu qqchose :o))
L'échange de Clint Eastwood.
Un très grand film assurément, d'une sacrée justesse. La performance d'Eastwood est d'avoir su tirer le meilleur de tous ses acteurs sans jamais déséquilibrer l'histoire, Angelina Jolie par exemple est parfaitement "fondue" dans le film, jamais trop mise en avant, comme Amenabar avait pu trop mettre en avant Nicole Kidman dans Les Autres par exemple. Le traitement m'a fait penser à Truman Capote (le film), et à la théorie du roman de Capote : faire un film avec le moins d'effets possible, où tout doit sembler le plus réel possible. J'ai trouvé que c'était une sacrée leçon de cinéma, et même d'art narratif de manière générale.
Quelques longueurs peut-être sur la fin, Eastwood ne réussit pas à échapper aux modèles du genre avec le petit défilé des "Mais que sont-ils devenus", à mon sens complètement inutiles et redondants, et la recherche d'une fin à tout prix, mais à part ça c'est vraiment du tout bon.
Mensonges d'Etat de Ridley Scott.
C'est un peu un remake de Spy Game de Tony Scott. Surprenant le manque d'ambition de Ridley Scott sur ce film après La chute du faucon noir. C'est filmé certes de manière très incisive, on retrouve un peu ce qui fait le principal intérêt des Bourne, une caméra très proche de l'action, un rythme haletant, mais le manque d'enjeux est criant, les parallèles avec Spy Game finissent par être tellement énormes que c'en est fatiguant. Dommage parce que la confrontation entre Mark Strong et Russel Crowe avait vachement de gueule.
L'affiche est assez immonde, mais le film vaut son pesant de cacahuetes. Young at Heart est une chorale de seniors, comme il en existe beaucoup. La difference ? Le repertoire ! The Clash, The Ramones, Sonic Youth, James Brown, Coldplay...
Durant les 7 semaines precedents leur nouveau spectacle, cette chorale atypique est suivie par une equipe de Channel 4, qui nous fait partager leur passion.
Classique dans la forme et sa dramaturgie, le documentaire prend toute sa richesse dans la personnalite des protagonistes, dont la joie de vivre est tellement communicative qu'on se laisse emporter. Digne, emouvant et drole, il est ironique de se dire que pendant que des gamins sous prozac nous cassent les oreilles avec leurs chants ringards, soporifiques et vieillots, des vioques nous donnent une lecon de vie.
le film etait en avant-premiere au Vendome, et sera donc sans doute programme dans quelques semaines. Je conseille et me plussoie
Vicky, Cristina, Barcelona: dans un monde de crise et de morosité, l'intelligence d'un bon Woody Allen cela requinque: trois très beaux rôles de femmes dans un film qui paraît léger, mais qui distille un pessimisme profond sur l'incertitudes des choix, à voir.
:-)
quand même dommage, cette voix off qui nous maintient à distance d'une histoire qui aurait peut-être pu nous toucher un peu....
Vicky, Cristina, Barcelona: dans un monde de crise et de morosité, l'intelligence d'un bon Woody Allen cela requinque: trois très beaux rôles de femmes dans un film qui paraît léger, mais qui distille un pessimisme profond sur l'incertitudes des choix, à voir.
:-)
quand même dommage, cette voix off qui nous maintient à distance d'une histoire qui aurait peut-être pu nous toucher un peu....
Vicky, Cristina, Barcelona: dans un monde de crise et de morosité, l'intelligence d'un bon Woody Allen cela requinque: trois très beaux rôles de femmes dans un film qui paraît léger, mais qui distille un pessimisme profond sur l'incertitudes des choix, à voir.
:-)
quand même dommage, cette voix off qui nous maintient à distance d'une histoire qui aurait peut-être pu nous toucher un peu....
Vicky, Cristina, Barcelona: dans un monde de crise et de morosité, l'intelligence d'un bon Woody Allen cela requinque: trois très beaux rôles de femmes dans un film qui paraît léger, mais qui distille un pessimisme profond sur l'incertitudes des choix, à voir.
:-)
Hilary Swank au casting, je crains de pas être très objectif, ça reste un film pas mal, pas non plus un chef d'oeuvre ni un témoignage terrible, mais c'est pas non plus foireux, voilà quoi.
ça par contre, je veux bien pour le côté didactique et réconciliation nationale, mais la guimauve ça colle au dent, je sais bien que Mandela vieillisse mais c'est pas comme ça qu'on va rendre hommage au bonhomme.
L'avantage avec les vols Emirates Paris-Dubaï, Dubaï-Johannesbourg, Dubaï-Le Cap... (amuse toi à faire la suite toi même, associe le nom d'une ville à Dubaï et tu obtiens une destination Emirates) c'est qu'outre un personnel naviguant de tout premier ordre on a aussi une vidéo-sonothèque qui déchire.
Bref dernièrement j'ai vu :
j'en suis encore tout chose tellement que ça m'a botté
Javier Bardem rules !!! (j'y ai vu du Nicholson de Shining dans sa folie)
Daniel Day Lewis fidèle à lui même, je sais pas pourquoi en plus là ils ont fait un bon film autour... une tuerie.
Pour ne pas aimer il ne faut avoir ni coeur ni tympan.
on en ressort pas indemne de ce film ou c'est juste à moi que ça fait ça?
Bon je vous évite toute les daubes que je me suis avalé à base de will smith et autre Poelvoorde, c'est long des fois les voyages.
Je ne l'ai pas vu ce Mike Leigh (ni le precedent d'ailleurs). Et même si je preferre ses drames à ses comédies, j'ai du mal à croire que cela soit aussi négatif.
Pour moi, c'est le type même d'auteur qui fait "toujours" le même film (c'est pas négatif, hein, au contraire), apres ce "Be happy" est il l'exception ?
Pour le coté Amélie Poulain (top anthousiaste naive de la vie, j'imagine), Leigh à la facon de Capra, a toujours appuyé les traits de ses personnages, pour nous forcer à les "voir".
Enfin les dialogues affligeants, mince, c'est en général un aspect super léché de ses films (gros passif dans la théatre).
Et puis si on commence à casser Mike Leigh, que va t'il rester au cinéma anglais :o)
pffffff, Mike Leigh se plante royalement dans cette horrible sucrerie sans saveur et chiantissime. J'ai eu l'impression qu'il tentait un melange d'Amelie Poulain et de cinema social anglais, mais son personnage principal est exasperant au possible, et l'intrigue entime ue foule de petites sous-intrigues sans jamais aller au bout d'une seule, multipliant les faux departs et les dialogues affligeants. Restent les lecons de flamenco et les lecons de conduite (enraha !), qui auraient pu deboucher sur un joli film touchant, mais Mike Leigh ne propose un film creux et sans interet aucun.
Franchement une belle surprise... un petit film sans pretention qui suit les petits bonheurs et malheurs d'une famille, au fil de moments forts. L'ensemble doit beuacoup aux comediens, dont un excellent Jacques Gamblin. C'est frais, drole, emouvant sans etre tres original... et ne fut-ce que pour Jacques gamblin qui regarde son fils pendant une competition de air guitare... Jacques Gamblin est grand
Valse avec Bachir Une animation un peu surprenante (on a parfois le sentiment de voir une adaptation de cases de BD), mais un vrai grand film. J'ai beaucoup pensé à Maus et à Notes pour une histoire de guerre. C'est un film à la fois sur le traumatisme subi par les soldats israéliens lors de la guerre du Liban et des massacres de Sabra et Chatila, et une réflexion sur les liens qui unissent un peuple à sa mémoire. Le parti pris formel de présentation sous forme d'un documentaire alimenté par les témoignages offre un objet assez fascinant, naviguant entre l'histoire du pays et celle de ses habitants. Le film n'oublie jamais les principales victimes de la guerre, les Palestiniens, malgré son israélo-centrisme. Les dernières séquences sont vraiment difficiles à supporter...
Valse avec Bachir
C'est un film magnifique et le film le plus couillu de l'année, ils sont nuls les jurés du festival de Cannes de ne lui avoir rien attribué!
(Il y a des maladresses d'animations normales pour un premier long métrage 100% israélien hyper réaliste en 2D+ 3D cell shading sans rotoscopie.)
C'est l'un des meilleurs films que j'ai vu en 2008, allez vite le voir.
L'expo de la cinémathèque francaise dédié à Mélies est pas mal du tout. Comme le billet donne aussi l'accès à l'expo permanente (dont la collection de Langlois) il y a vraiment du contenu pour les amateurs de l'histoire du cinéma.
"Be Kind, Rewind" de Michel Gondry !
Des idées, des idées, et encore des idées ! Ça fait vraiment du bien.
Bref, c'est excellent !
Vive les films suedés, et vive Fats Waller !
The proposition de John Hillcoat, écrit par Nick Cave.
Un étonnant western australien, où il est question de famille, de vengeance, de culpabilité, et à peu près tous les thèmes chers a Nick Cave. Pour faire court, il y est question d'un marché passé entre un policier et un hors-la-loi. Personnages excessifs, décors grandioses, l'ambiguïté du bien par rapport du mal, violence et choc des cultures, entre blancs et aborigènes, colons anglais tentant de conserver leur tradition et rudesse du climat... le scénario est riche, et bien mis en image, quoique je ressente parfois une certaine difficulté à passer des moments contemplatifs à ceux plus violents. Guy Pearce manque également un peu de charisme, mais Ray Winstone et John Hurt sont excellents. Puis il y a Emily Watson, toujours impeccable :o)
Pas un chef d'oeuvre, mais bonne soirée.
Et la musique est superbe
No country for old men
Une très grande réussite des frères Coen: on prend un genre de film et on le traite de manière très décalée, avec si possible un ou deux losers ou personnages bien barges, on mélange bien, avec une splendide photo, un scénario intelligent, et cela donne superbe moment de cinéma.
Même quand on est fan, c'est formidable de voir que les Coen savent encore et toujours nous étonner!