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| Washington enfin ! Le voyage aura été long, semé d'embûches et de drames. Avant la conclusion de ce périple, l'un des compagnons de Rick se révélera être autre chose que celui qu'il prétendait être. Une fois la colère passée, l'espoir renaît néanmoins avec l'apparition providentielle d'une communauté visiblement épargnée par le fléau qui ravagea l'humanité voici un an déjà. Une étape décisive !
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  topolino 7
| A la fin de la lecture de ce dernier Walking Dead, je suis assez partagé. Pour la première fois, on ne retrouve pas le rythme frénétique qui fait le bonheur des 11 autres épisodes. Peu de fuite pour la survie, la traque s'arrête, nos fuyards après 14 mois se posent enfin dans "un monde parfait". Plus de horde, plus de zombies (un comble !!)... donc quelque part une certaine frustration.
Nos 12 survivants intègrent une micro société qui a tout du monde parfait : on pense au film « et l'homme créa la femme » (The Stepford wives) : Kirkman nous donne une vision non dénuée de cynisme de la société américaine : tout le monde trouve de suite un emploi, en fonction de ses compétences, les femmes sont égales aux hommes, chacun possède sa propre maison, on promène son chien, on invite ses voisins et on échange ses recettes de cuisine, les enfants jouent ensemble, on fête même Halloween !!!! (le clin d'oeil est plaisant)...bref un monde parfait...
Espérons cependant que cette pause ne s'éternise pas et que Rick et ses compagnons retrouvent rapidement un monde hostile...
Je n'en doute pas car le petit Carl (le seul lucide ?) déclare : cet endroit est « bidon » « tout le monde fait semblant » « on va devenir faibles » « quand va t on partir ? ».
To be continued...
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