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| Surpopulation, technologie et conquête de l'espace : voilà ce qui poussa nombre d'humains à quitter leur monde d'origine lorsque celui-ci s'avéra être trop réduit pour tous les nourrir. Ainsi débuta la Grande Migration, emmenant ces colons vers de nouvelles planètes, terres d'asiles recluses dans les confins galactique.
Embarqués dans les gigantesques vaisseaux de transport Génétic, certains vinrent s'installer dans le système de Dehope. Ils foulèrent d'abord le sol de la planète qu'il dénommèrent Ellis, en souvenir de leurs ancêtres immigrants qui joignaient l'Amérique par Ellis Island. Et c'est Eugieno Collodi, un napolitain, qui imposa sur leur nouveau lieu de vie les traditions de la Mafia sicilienne.
Don Alessandro en est un lointain descendant, et tout comme son ancêtre, il dirige la Cosa Nostra d'une main d'acier. Face à lui, une antique secte chinoise appelée le Lotus Blanc semble menacer son hégémonie. La mystérieuse organisation nargue le maître Sicilien qui tente de nouer de nouvelles alliances pour asseoir son pouvoir. |
  thierry
| Une suite a "Exterminateur 17", l'oeuvre mythique de Bilal et Dionnet ? Voila qui sonne comme une très mauvaise idée. Dionnet avait quitte le petit monde de la BD depuis déjà longtemps et Bilal n'est évidemment plus de l'aventure. C'est Igor Baranko, un des jeunes protégés des humanos, qui reprend le dessin. Pourtant, les humanos semblent y croire dur comme fer puisqu'ils ont commence par sortir une version recolorisée de l'album original, histoire de préparer le terrain pour cette nouvelle trilogie qui se situe dans le prolongement de l'histoire originale.
Il faut une sérieuse dose d' inconscience pour oser succéder a Bilal, mais pour une oeuvre de jeunesse. Baranko est évidemment bien loin du talent de Bilal. Son style hésite entre Moebius et le Bilal du début des années 80, mais encore avec quelques faiblesses. Le dessin est laborieux mais colle plutôt bien a l'ambiance voulue par Dionnet. Le scénario est encore difficile a juger. Ces 46 planches ne servent qu' a mettre en place les éléments de cette intrigue. Il est malgré tout rafraîchissant de retrouver une intrigue SF qui ne parle pas de mégacorporation ou d'OGM. C'en est presque désuet. Mais il faudra attendre la suite pour se faire définitivement une idée de cette reprise. |
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