Après son échec lors de l'audition organisée par l'agence LME, Kyôko est au trente-sixième dessous. Comme si ça ne suffisait pas, elle tombe sur Shô qui, humiliation suprême, ne la reconnaît même pas (il faut dire qu'elle a complètement changé de look) ! Elle qui lui a été dévouée pendant des années, qui l'a suivi à Tôkyô pour l'aider à accomplir son rêve de devenir une star du show-biz... Commençant à se résigner à l'idée qu'elle n'est pas faite pour ce milieu, Kyôko voit s'évanouir toutes ses chances de se venger de Shô en devenant plus célèbre que lui. Mais c'est sans compter avec le chef du Darumaya, qui parvient à la persuader de ne renoncer que lorsqu'elle aura absolument tout tenté pour réaliser son projet. Kyôko est d'ailleurs bien inspirée de retourner à l'agence LME, car c'est tout ce qu'attendait son président, le fantasque Takarada, pour créer une nouvelle pépinière de talents baptisée la section “love me”, qui a pour but de former des célébrités en inculquant à ses recrues “le désir d'être aimé”, trait de caractère indispensable à toute célébrité digne de ce nom. Et pour être aimé, quoi de mieux que de rendre services à ses contemporains ? Kyôko devient ainsi corvéable à merci au sein de l'agence LME, dans le but d'apprendre à toujours faire passer les désirs des autres avant les siens. Défi d'autant plus cruel que ce comportement, Kyôko l'a eu à l'égard de Shô, qui a profité d'elle avant de la quitter !