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  Cellophane
| J’ai adoré le principe.
Ces êtres qui peuvent glisser sur le temps pour voir ce qui s’est passé ou se passera, ça fonctionne bien, c’est intéressant et ça ouvre plein de possibilités. Et en premier lieu, il y a cette narration découpée en puzzle qui permet de tout comprendre au fur et à mesure.
Les dessins restent excellents à mon goût – et même si je ne suis pas fan du design des nouveaux protagonistes de ce tome. La scène de gare, pleine d’inventivité dans les détails, vaut le coup !
Cependant, deux détails m’ont laissé pantois (enfin, c'est plus que des détails…). Pourquoi le choix du Yiarhu-kah ??? Cela offre, certes, de nouvelles opportunités – dont le nouveau pouvoir de Nävis qui commençait à prendre beaucoup (trop) de recul avec les nouveaux arrivants… Mais pourquoi ce choix ? Et puis si le pouvoir temporel est intéressant, l’explication finale tombe si brutalement qu’il m’a fallu un temps pour tout bien comprendre… Quelques cases supplémentaires pour arriver à cette fin, en douceur, n’auraient pas été superflues…
Dommage que ce final m’ait laissé quelques déceptions parce que l’ensemble est bon, surtout les images arrêtées !
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