Le volume 13 de Shin Chan nous propose 120 nouvelles pages de gags reposant sur un même mécanisme : l’impertinence du jeune Shin qui met en évidence la bêtise des adultes. Mais, petit rupture de la routine de cette série, nous avons droit à deux histoires transposées dans le passé. L’auteur met en scène d’une part Shin-chan et ses parents dans une adaptation très libre de la fable de la princesse de bambou. D’autre part, une seconde fable transporte nos trois personnages dans un Far West fantasmé et orientalisé. Inutile de dire que ces deux nouveaux univers donneront toute latitude à notre garnement de faire mille et une bêtises. Le reste du volume est consacré aux courtes histoires habituelles comme celle de l’hospitalisation de M. Nohara. Tout cela n’apporte rien de bien neuf à la série.