Mis à part le dessin de la quatrième de couverture, on ne trouve que peu de gore dans ce volume.
Serre se tourne vers plus d’humour absurde ou de dérision.
Ce recueil est parfois répétitif (que ce soit le « tout faire soi-même » ou l’échelle avec quelque chose de coincé dedans. Certaines idées reviennent), voire plonge dans le déjà vu (il y avait la Vénus de Gault et Millau dans le précédent volume. Ici nous avons le droit au ponceur de Rodin). Bref, l’ensemble m’a moins convaincu.
D’accord, on sourit souvent. Mais ça ressemble plus à du dessin humoristique de magazine qu'à de l’analyse cynique comme avant…
Il y a quelques dessins légendés, ce qui n’apporte pas souvent grand-chose : Serre est meilleur à mon goût dans le one-shot silencieux…
Et puis il y a des dessins qui, souvent ceux en couleurs, offrent moins de détails ou d’ombrage…