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  Cellophane
| Les gags les plus symboliques me semblent les plus efficaces – une fois encore, quand l'auteur part dans le surréalisme (les marionnettes, le culbuto crâne/humain, l’homme horloge), ça me dépasse. Je trouve ça à peu près joli, dans ces cas-là, mais je ne saisis ni message ni humour.
L’humour absurde (l’arroseur d’arbre, SOS suicide), l’humour noir (le parachutiste, l’abus dangereux), l’humour décalé (le cercueil et le tourniquet, le centaure), le symbolisme (la semeuse, le sablier), je marche plutôt bien.
Mais pour certains gags, je cherche encore ce qui est vraiment drôle…
J’ai donc été emballé par presque les trois quarts des pages.
Quant à la couleur, je trouve toujours qu’elle simplifie les ombrages : je préfère les dessins en noir et blanc.
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