| |
| |
 |
|
|
|
| |
herbv
| Séki est heureux ; il a réussi à trouver un squelette de dinosaure après de minutieuses fouilles sur son bureau. Quelques jours plus tard, après une longue séance d’essai de lunettes (c’est qu’il est placé au fond de la classe et que le tableau est loin, n’est-ce-pas ?), le voilà qui se remet au shôgi. Pourtant, il va s’agir cette fois de les confronter aux échecs occidentaux. Lequel de ces deux « sports cérébraux » sera le plus fort ?
Yokoi, quant à elle, explore toujours ses cas de consciences. Elle ne doute toutefois pas qu’elle doit continuer à aider ses « compatriotes », quitte à s’opposer à Séki. Après tout, il le mérite bien !
Avec ce troisième tome, nous repartons pour quatorze nouveaux cours, pardon, courts chapitres (plus trois courts bonus) où Séki va une nouvelle fois faire preuve d’une imagination débordante et d’un sérieux à toute épreuve. Le comique de répétition continue à bien fonctionner, d’autant mieux que Takuma Morishige réussit à développer régulièrement des variations (notamment en faisant intervenir d’autres personnages) dans un schéma de gag qui serait autrement trop répétitif. Surtout, il fait évoluer Yokoi : elle se laisse de plus en plus embarquer dans les jeux de Séki, au point que son cancre de voisin recherche parfois sa participation. Mais cela n’est pas sans conséquence pour la jeune fille car son professeur principal a remarqué une baisse de ses résultats scolaires. Nul doute que le mangaka saura en tirer profit pour ses prochaines histoires... Tant mieux car on en redemande, encore et encore ! |
|
|
|
|
|
| |
| |
