Dans ce patte de mouche, Killofer laisse libre cours a une fantaisie bien connue, celle d'être star de Rock. Sa mégalomanie trouve donc à s'exprimer à travers une poignée d'histoire qui monte depuis le simple amateurisme en chambre jusqu'au délire mégalo final, avec toujours cette pointe de cynisme et d'absurde qui font la spécificité du travail de Killofer.
Quant au dessin toujours impeccable et froid, on aime ou pas.
A titre personnel, j'adore.