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  herbv
| Alors qu’Andô cherche à déterminer l’étendue de son pouvoir, Inukaï continue à accroître son emprise sur la ville. De plus, un nouveau danger semble devoir peser sur notre jeune héros. En effet, la nacelle d’une attraction foraine, dans laquelle il a failli prendre place, s’est décrochée. Voilà une mort immédiate échappée de peu ! Est-ce un hasard ? Il semblerait bien que non !
Par la suite, Andô est confronté à un jeune tueur surdoué dans son domaine et semblant invincible. Que se passe-t-il donc ? Qui peut bien être le mystérieux commanditaire de ce contrat placé sur sa tête ? Pas Inukaï qui ne doit même pas soupçonner son existence. Néanmoins, Andô n’a pas trop le temps de réfléchir à ces questions, son esprit étant accaparé par la recherche d’une solution à son problème. Comment échapper à son exécuteur qui semble jouer avec lui comme un chat avec une souris ?
Avec le deuxième tome du Prince des ténèbres, Megumi Ôsuga, l’auteur, continue l’adaptation en manga d’un roman de Kôtarô Isaka. Avec l’entrée en scène de La Cigale, un tueur professionnel infaillible et la découverte d’une des sources de pouvoir d’Inukaï, le fantastique, déjà présent dès les premiers chapitres, devient un des thèmes majeurs de l’histoire. Malheureusement, on peut considérer que cela se fait au détriment de l’univers mis en place jusqu’ici. L’exagération d’un certain nombre de situations qui en résulte confine souvent au ridicule. Il est possible que certains lecteurs se désintéressent beaucoup de ce récit qui ne repose plus sur la confrontation de deux personnalités fort différentes. Ainsi, on peut considérer que cet opus est assez décevant et cela est bien regrettable tant les prémices semblaient encourageantes. |
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