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| Poet Anderson - The Dream Walker |
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  Cellophane
| Je n’ai pas réussi.
Certes, les dessins sont assez esthétiques, dans un mélange comics/manga, puisant dans le premier pour le design, dans le second pour le mouvement et le cadrage.
Mais le résultat donne quelque chose d’étouffant, de moyennement lisible. On ne comprend pas toujours où on est, qui est là, ce qui se passe, au premier regarde et assez vite, je me suis un peu perdu.
Pour le scénario, c’est pire ! Il y a 3 000 informations par page !
Alors le monde et l’idée sont certainement bien construit mais on nous balance de nouvelles informations toutes les trois cases et rapidement, on se perd totalement dans l’histoire.
Qui est où ? Pourquoi ? À quoi sert qui et comment marche quoi ? Rapidement, le tout devient un mystère dans lequel chaque nouvelle info nous perd encore plus (pas toujours claires, qui plus est : le frère n’est jamais venu dans ce monde, deux cases après, si, il connaît tout mais ne voulait pas le dire – pourquoi, mystère…)
Ajoutez à cela que, parfois, on passe d’un lieu à l’autre sans prévenir et qu'il faut une page ou plus pour comprendre où on est et avec qui…
Je n’ai pas réussi à me faire à ce marathon trop touffu. |
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