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- | Le kiosque de l’utopie, 1ère partie, [] | - | Le musée national de l’accessoire et de l’insignifiant, 2ème partie, [] | Au fil des pages, le lecteur découvre la vie de quelques habitants d’une cité dont il ignore le nom et la situation géographique exacte (les voitures et les vêtements font penser à une ville américaine des années 50), en particulier celle de Sebastian Zorn, Ignacio Kagel, Idálio Alzheimer et Anatole Kopek, tous membres d’un jazz band (« le plus mauvais groupe du monde, résultat d’un mélange inouï d’ineptie et d’absence totale de sens musical »). On croisera aussi Thomas Flugelhorn, le compilateur de coïncidences, Barbara Zahn, auteur d’un annuaire odontologique, Elvino B. Weiss, l’un des principaux activistes de la Fondation pour le recul de la science, Roberto Rosz, directeur du musée de l’accessoire et de l’insignifiant, Kaspar Grosz, secrétaire général du Parti impopulaire idiosyncrasique, et bien d’autres… |