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| Zidrou persiste et ''signe'' : après le magnifique Lydie, La peau de l’ours nous fait voyager de l’Italie contemporaine aux États-Unis de la fin des années 30. Amadeo a pour devoir quotidien de lire à un vieil homme son horoscope. Il est loin d’imaginer que cet aveugle, canne à la main, a été montreur d’ours aux États-Unis, puis assistant d’un chef mafieux ! Une histoire d’amour, de vengeance, de lâcheté… Zidrou et Oriol jouent avec tous les ressorts du romanesque pour nous émerveiller et nous émouvoir. |
Cellophane
| Mouais…
L’histoire est assez bien narrée, pas de réel temps mort. Ça avance dès qu'il s'agit de présenter la situation, les personnages, les liens qui se tissent, le dénouement…
Mais il reste un côté très classique dans l’ensemble, sans rien de novateur…
On est dans un monde de brigands, de maffieux, et sans aucune surprise.
Les personnages sont caricaturaux au possible et malgré une ou deux idées sympas (de la lecture au bain au costume blanc taché), l’ensemble est assez linéaire et plutôt plat…
Comme en outre, je n’ai pas super accroché aux dessins, j’ai eu du mal.
Pas qu’ils soient mauvais, ces dessins, et ils rendent bien l’ambiance d’une petite bourgade italienne d’il y a quelques années… Mais ces têtes aux nez excessifs, cette impression de crayonné… Je ne suis pas entré dedans.
C'est pas mal mais sans plus. |
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