| Sans artifice, se déploie devant nous une nature spectrale, magnifiée, impartiale comme le temps et la mort. Une incarnation divine faite d’horizons lointains et de tendres bruissements. Un homme rentre chez lui... Lorsque retentit dans les usines la fin de la journée, que les femmes raniment les feux du foyer, que le soleil achève sa course dans le ciel d’ouest, un homme rentre chez lui. Traversant les paysages ravagés par la guerre, hanté par les disparus et le fracas qu’il laisse enfin derrière lui. Les espaces qu’il traverse, témoins indifférents, l’observent et recueillent le regard et les pensées de cet homme. Autres publications: |