|
| |
|
|
|
|
  Cellophane
| Je suis partagé à tendance positive.
Le dessin, je m’y suis assez vite fait même si, au départ, je l’ai trouvé bien particulier… Il y a un côté dans le trait ou les ombrages qui laisse une impression un peu brouillon, flou, pas finie… Mais ça a un style personnel et je m’y suis assez vite fait.
L’histoire, pour un premier quart, est bien mystérieuse. Dans la moitié du tome qui suit, on se dit qu’on va comprendre mais on a presque plus de questions que de réponses.
Enfin, dans le quart final, on a des réponses qui peuvent paraître satisfaisantes sur la trame principale mais laisse plein de points en question : pourquoi voit-elle tout ça, que vient faire le pachyderme du début, pourquoi ça s’appelle comme ça, que veut dire tout ce qui a été posé, de l’élève aux flamands roses en passant par le papillon (c’est le docteur qui le fait ou pas) ?
Alors on peut y voir une « licence » poétique : plein de petits détails sans réelles raisons qui donnent une ambiance mystérieuse et réussie, renforcée par ce dessin ; ou si on est plus terre à terre, un ouvrage abscons.
Je me suis retrouvé un peu entre les deux : j’aurais bien aimé tout comprendre des tenants et aboutissants mais j’ai trouvé ça quand même sympa et joli.
|
|
|
|
|
|
| |
| |