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| La tête trop pleine de sa passion pour Rumi, Abe Takahiro se retrouve tout démuni face à sa fiche d'orientation, incapable choisir son futur. Et après, il vire violent...
De leur côté, Asai Rumi et Matsui Yôko veulent faire éclater leur amour pour FMP à la face du monde : elles font l'impasse sur les contrôles pour se consacrer à la création d'un nouveau dôjin qu'elles présenteront au Comiba... mais les jours sont comptés, pas de temps à perdre ! Alors, Matsui décide de prendre les devants et de donner un coup d'accélérateur à sa relation avec le beau Chiba... en l'invitant dans sa chambre !!
Oui, parce que y'en a marre que ça stagne, alors on se bouge ! Tout le monde !! |
herbv
| Alors que Rumi et Matsun préparent dans la fébrilité le Comiba, quitte à faire l’impasse sur les examens de fin de semestre pour pouvoir proposer un nouveau dôjinshi sur Full Metal Prince, Momose semble de plus en plus entraînée du côté de la force noire du boys love, jalouse de la réussite des deux jeunes dôjinshika alors qu’elle-même continue à cacher au reste du monde sa passion pour les amours entre hommes. De leur côté, Abe et Chiba suivent des trajectoires différentes. Pendant que le premier est toujours dans le flou le plus complet, tant au niveau de son orientation scolaire que de son amour envers Rumi, le second a de moins en moins de doutes et il commence à être exaspéré par les questionnements de son ami.
Si le début du sixième tome d’Otaku Girls est dans la droite ligne du précédent opus et donne l’impression que la série commence à stagner et à tourner en rond avec un comportement de Rumi de plus en plus extravagant, ce qui ne peut que lasser le lecteur, la dernière partie vient sauver le récit en permettant enfin une progression dans l’une des histoires amoureuses. Il était temps étant donné qu’il s’agit de l’avant-dernier volume. En effet, l’auteure, Natsumi Konjoh, n’a plus que quelques chapitres pour achever son manga. En dehors de cela, la narration reste égale à elle-même ainsi que le dessin. Il en ressort donc une lecture toujours agréable et il ne reste plus qu’à attendre quatre mois pour voire s’achever un titre qui a favorablement surpris public et critique depuis ses débuts.
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