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| Niklos Koda prolonge en République tchèque, un flirt entamé en Norvège avec Sonia Dobrovna, une ravissante femme d'affaires. Celle-ci ignore toutefois que l'espion-diplomate connaît la véritable nature de ses activités…
Officiellement directrice d'une société d'import-export, Sonia travaille en réalité pour Hali Mirvic, un trafiquant d'armes qui approvisionne les combattants d'une guérilla dont le but est de créer un Etat regroupant les républiques des Balkans. Le rôle de la jeune femme est de blanchir l'argent en le versant sur un compte numéroté à Chypre. Très méfiant, Mirvic change régulièrement le code de ce compte bancaire. Il en communique une partie à Sonia et l'autre, à son homme de confiance Polkow. Tous deux se rencontrent à un moment et un lieu convenus pour composer l'entièreté du numéro de code. Or, voici que Polkow a été tué à son arrivée à Prague! Désormais, seul Mirvic peut livrer à Sonia les chiffres du secret que son adjoint détenait. Ce qui va le forcer à sortir de la clandestinité. C'est en tout cas ce qu'espère Koda dont la mission est de le coincer. Mais, l'objectif des assassins de Polkow est maintenant d'arracher à Sonia, les chiffres du code qui leur manquent. Ils vont dès lors tenter de soudoyer Koda, son nouvel amant, en utilisant les imparables pouvoirs de séduction de son ex-maîtresse, la belle espionne Valentina Souleva… |
  crepp
| Le lieu :Prague par une belle nuit
Les personnages : un homme et une femme
L’action : Un tendre baiser ? Non un meurtre !
Le héros : Niklos Koda.
Voilà le retour du héros charmeur par excellence. Après des aventures parisiennes, après une escale à Marrakech, Jean Dufaux et Olivier Grenson emmènent Koda ainsi que le lecteur à Prague. Et j'avoue tout de suite, je m’y suis cru à Prague. Le dessin de Grenson est d’une grande maestria, beaucoup plus que la représentation d’une carte postale, il y a de la vie dans son trait. Par contre il y a un coté plus statique pour ses personnages.
Jean Dufaux nous conte une histoire d’espionnage assez classique, très sensuelle mais non érotique (il garde ce thème avec Djinn). Pendant une partie de l’album Niklos Koda est même mis un peu de coté pour mettre en avant les deux héroïnes (Sonia et Valentina).
Alors oui, ce n’est pas un album surprenant par son originalité.
Mais non, on ne s’ennuie jamais.
Une série classique (ce n’est pas péjoratif) qui se lit agréablement.
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