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- | P3. En attendant Godot, [Récit complet] | - | P28. Ondine, [Récit complet] | - | P53. Douze hommes en colère, [Récit complet] | - | P77. Discipline du diable, [Récit complet] | - | P101. L'homme change en bâton, [Récit complet] | - | P125. Tartuffe, [Récit complet] | - | P149. Le singe acrobate, [Récit complet] | - | P173. Les douze mois, [Récit complet] | - | P199. Mort d'un commis voyageur, [Récit complet] | - | P223. Médée, [Récit complet] | |
  pikipu
| Nanairo Inko tome 3.
Voici l’un des Tezuka les plus inconsistants de ma mangathèque. Le principe est toujours le même. Une moumoute avec les lunettes de Michou. Des pièces de théâtre. De courtes histoires. Des parallèles…
Je fais partie de ces fans de Tezuka qui pensent que le maître est à son firmament dans les pièces longues, dans ces ouvrages denses où, au sein d’une grande histoire, il réussit à nous en conter plusieurs autres. Je pense à Bouddha notamment.
Nanairo Inko, à l’image de Black Jack ou du cratère manque d’impact, de pertinence. Trente pages ne suffisent pas à nous convaincre. Ni même à nous divertir, ce qui est pourtant une chose essentielle dans ce genre d’ouvrage.
Seule Médée, à la fin du volume, permet de ne pas être totalement déçu.
Est-ce un Tezuka en petite forme qui nous est présenté ici ? Est-ce une certaine lassitude face à une forme qui ne me convainc pas ? Est-ce le manque de consistance du personnage principal ?
Comparé à Black Jack, l’ara aux 7 couleurs est en effet bien pâle. Mercantile, sans véritable conviction, il est un anti-héros. Alors que le passé du médecin marron et ses motivations étranges deviennent un atout, celles de l’ara nous lassent, et même l’apport de personnages nouveaux tombe à côté, que ce soit l’agaçant et triste chiffon ou ce pauvre chien qui semblait si prometteur dans le volume précédent.
Je lirai le 4ème tome. Par curiosité. Par respect du maître.
En espérant que ce tome-là puisse me divertir. Au moins dans les transports en commun.
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