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| Réédité en 1995 |
  CoeurDePat
| L'histoire se déroule en 24 pages, d'un côté une image, de l'autre un petit texte servant de légende. C'est bien fait, car image et textes s'appuient l'un sur l'autre. De fait, l'un sans l'autre donneraient un résultat bien moindre !
Rien de transcendant, mais cette petite histoire est bien sympathique et agréable à lire, dans la même veine que les "Julius Corentin Acquefacques"; très étrange donc, et surprenante.
A voir également (même auteur, même collection) : "Le coeur des ombres". |
oslonovitch
| Marc Antoine Mathieu nous replonge ici dans ses univers de bureaucratie impersonnelle, à la limite du cauchemar kafkaïen. Ses encrages noirs sont toujours aussi beaux, intrigants et cette bichromie reste aussi séduisante que dans les autres œuvres plus connues de l'auteur. L'alternance de texte sur une page et de planche sur l'autre est bien fichue, et finalement le gros défaut tient de la fin un peu trop hâtive à mon goût.
J'ai effectivement trouvé que si le décor et l'ambiance ont déjà été développés dans d'autres albums (voir la série Julius Corentin Acquefaques), cette idée de "mutation" aurait franchement mérité d'être transportée à une longue et véritable histoire, plus étoffée, plus introspective encore, bref, mieux finie.
Témoin de cet arrière goût de déception qui m'est resté un peu au milieu de la gorge, ma notation pourra sembler un peu sévère mais à moins d'être un fan inconditionnel de Mathieu, je ne vois absolument pas ce que peut apporter la lecture de cette "patte de mouche".
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