| Atteint d’un cancer généralisé, M. Vanadris est accepté dans un hôpital au service des soins palliatifs. Il suivait jusqu’ici une chimiothérapie qui doit être arrêtée. Un docteur, puis une infirmière, règlent les détails de son séjour. Malgré la morphine, le vieillard souffre de plus en plus, physiquement, mais aussi de se voir ainsi diminué. Il redoute de ressembler aux autres pensionnaires qu’il aperçoit dans leur chambre. De plus, à cause de son traitement, il commence à délirer. On lui propose de rencontrer un psychologue, mais c’est auprès d’un prêtre qu’il cherche un soutien moral. La mort s’installe inéluctablement. Un dialogue avec son fils, déjà fortement perturbé, s'établit néanmoins. M. Vanadris n’en peut plus et aimerait que son fils le débranche de toutes ses sondes. Mais l’euthanasie n’est pas autorisée, et Cyril se trouve de plus en plus désarmé...
|