|
| |
|
|
|
|
  Cellophane
| Si le troisième tome se rapprochait du premier, ce quatrième se rapproche hélas du deuxième.
On retourne dans les gros combats, du « plein la vue » à l’américaine, du grandiloquent dans les dernières pages…
Hop, mon intérêt redescend après le tome précédent.
Certes, la « guerre civile » n'est pas trop mal réalisée ; et ça pourrait être intéressant à suivre, mais ça reste grossièrement paf paf boum boum, sans subtilité, et avec une morale décevante.
Pire, ça donne l’impression que ce n’est que l’esquisse d’un prologue et que pour vraiment profiter de l’histoire, il faudrait encore lire 50 tomes…
Ça reste joliment fait mais sans plus. Dans les comics américains, de Superman à n’importe lequel, il se dégage une force, une animosité puissante des images. Pas là. C’est joli mais ça n’est pas tripant. |
|
|
|
|
|
| |
| |