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  Cellophane
| On dirait qu’il y a deux albums dans cette BD.
D’abord, il y a l’histoire de Monsieur Xing Yun qui, si elle fait penser à Vito la déveine dans Spirou et Fantasio, reste agréable à suivre car amusante, pleine d’inventivité et d’humour.
Et puis, il y a la seconde histoire – qui n’en est même pas une. C’est la description, laborieuse et interminable, du caractère des Marsupilami. On a tous les adjectifs possibles, illustrés de toutes les façons possibles.
Les deux ou trois premières fois, c’est amusant. A la vingtième, je n’en pouvais plus.
Alors qu’il aurait été tellement plus intéressant de développer l’histoire de Xing Yun et comment il parvient à obtenir des poils de marsu, ou ce qu’il advint après…
A moitié satisfaisant.
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