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  Coacho
| Je serai généreux pour ce tome car je n’arrive pas à apprécier objectivement celui-ci.
La tragique disparition de JF Tello, dessinateur d’origine de la série, n’y est pas étrangère…
Le pari devenait compliqué pour Filippi puisqu’il devait finir sa série sans sa moitié créatrice, et pour Velasco qui devait se fondre dans un univers si personnel en ces difficiles circonstances.
Mais voilà, inconsciemment peut-être, la magie n’opère plus…
Le scénario, pourtant sûrement déjà écrit dans les grandes lignes du vivant de Tello, piétine et nous perd dans des considérations mollassonnes un peu ennuyeuses.
Ca peine à partir, à moins que ce tome eut été remanié pour laisser le temps à Velasco de s’approprier les personnages ?
Un peu perdu aussi graphiquement, je ne remets pas en cause le travail de Velasco qui est de très bonne facture mais preuve est faite que l’on s’attache avant tout à un univers par ce que l’alchimie des auteurs nous livre de personnel.
Alors ne serait-ce que pour honorer la mémoire de Tello, je vous encouragerais volontiers à lire ce tome mais ne prenez pas ça pour une obligation…
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