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| Norio croyait connaître le monde dans lequel il vivait, mais un accident lui fait découvrir des choses qu'il n'aurait jamais imaginées Ce garçon d'apparence plutôt ordinaire, obtient subitement des attentions aussi bien romantiques qu'indésirables d'hommes appartenant à une nouvelle « race mêlée »*, dont les membres sont classés par ordre de rareté et de désirabilité. |
  washkami
| Les dessins sont plutôt nuls (ah, les torses démesurés aux bras squelettiques... la super tête sans tête de Yonekuni dans la piscine... que du délire...). L'idée de départ pourrait être intéressante si l'intrigue était menée de façon plus dynamique, malheureusement, le tout se noie rapidement dans le yaoi : "yama nashi, ochi nashi, imi nashi", "pas de pic, pas de chute, pas d'histoire". Un bon point quand même pour le dessin de couverture ! |
herbv
| Norio est un lycéen qui s’est écrasé violemment contre un mur en essayant son nouveau scooter. Depuis, certaines personnes se comportent bizarrement avec lui, comme le capitaine du club de judo. Ce dernier et d’autres personnes lui apparaissent sous la forme d’animaux, comme des ours ou des singes. Il se met à recevoir de nombreuses lettres de déclaration d’amour de la part de garçons et de filles de son lycée. Mais le pire est à venir : après s’être presque fait agresser sexuellement par la fille la plus populaire de l’établissement scolaire, il se fait enlever par un inconnu qui se révèle être plus qu’entreprenant. Mais que se passe-t-il ? Pourquoi tout le monde semble être devenu fou autour de notre jeune tombeur malgré lui ?
Love Pistols n’est pas un boys love de plus issu des magazines de l’éditeur spécialiste du genre, Libre. Non, cette série, intitulée Sex Pistols dans son pays d’origine, nous propose quelque chose de plutôt original et amusant grâce à un postulat de départ totalement loufoque. Certes, il faut savoir passer outre un dessin plutôt rebutant tant la morphologie humaine semble mal maîtrisée. Certes, la plupart du temps, la narration n’est pas un modèle de clarté. Pourtant, si le lecteur arrive à franchir ces deux obstacles, c’est un premier tome relativement plaisant à lire qui l’attend. Ah ! Au fait, si vous êtes rebuté par la zoophilie, vous pourriez aussi vouloir rejeter le manga et ça pourrait être dommage. Sinon, allez-y, le titre semble en valoir le coup ! Oui, il serait temps que je lise la suite… |
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