| Quand un petit astronome anonyme se rend en ville, loin de son observatoire, que découvre-t-il ? Les femmes ! Hautes, indifférentes, occupées, mais ô combien gracieuses, et belles, et obsédantes... Elles sont là, dans les rues, dans les magasins, aux terrasses des cafés, partout. Si proches, mais aussi lointaines que la plus lointaine des galaxies. Petit bonhomme, tu l’as bien compris : sans amour, le monde est vide, et aussi effrayant que le silence éternel des espaces infinis. Quitte ta lunette, petit bonhomme, et cherche la femme qui t’aime, elle est sûrement là, au coin de la rue. |