| Love and that fucking duck |
Cette fois-ci, finie la zone urbaine, notre petit gars se met au vert ! C’est facile : il suffit de prendre le bus, d’attendre le terminus pour débarquer au bout du monde. Et là, miracle : on l’accueille, on l’invite à manger, on lui offre l’amour… C’était donc si simple, le bonheur, il suffisait de partir ? Ou bien est-ce une plaisanterie qui va se terminer en mauvais trip, avec réveil nocturne, morsure de canard et cadavres dans la cave ? |