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| Une nouvelle rubrique de critiques venimeuses sur le site de la bibliothèque crée un buzz. Hors d'elle quant à son contenu, Iku fait part de sa colère au responsable, Sunagawa, mais la réaction n'est pas celle attendue. Pendant ce temps Satoshi, le frère aîné de Tezuka avec qui il avait rompu tout contact, demande à le voir… C'est alors qu'éclate à la bibliothèque une sombre affaire de dissimulation de livres. Et Iku est désignée comme complice ! |
  herbv
| Le tome 7 de Library Wars – Love & War démarre un nouveau cycle des (més)aventures de la première classe Iku Kasahara. En effet, elle va se retrouver impliquée dans une affaire de dissimulation de livres et être interrogée par la redoutable Commission d’audition. La réputation de cette dernière ferait peur à n’importe qui et une jeune recrue comme Kasahara a toutes les raisons de craindre le pire. Heureusement, elle sait pouvoir compter sur ses supérieurs directs et ses collègues les plus proches, Tezuka et Shibasaki. Et la devise « à quelque chose malheur est bon » va se vérifier car cette audition va être pour elle l’occasion d’en apprendre plus sur le passé du lieutenant Dojo mais va peut-être découvrir une piste pour retrouver l’identité de son « Prince charmant ».
La série est un excellent vecteur pour apprendre la patience. La version française ayant rattrapée la japonaise, il faut généralement attendre six mois entre chaque volume alors qu’on brûle de lire la suite. Pourtant, rien de bien original ou nouveau n’est survenu depuis de nombreux chapitres. Il est néanmoins impossible de ne pas être à chaque fois scotché par la lecture des péripéties et charmé par la relation entre Kasahara et Dojo utilisant le même mélange de romantisme et d’humour. Alors certes, on pourrait se plaindre de l’absence de message sur la censure et ses conséquences, surtout en cette période de tentation au Japon et dans le reste du monde, notamment occidental, mais on ne va pas bouder son plaisir : vivement le tome 8 !
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