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| Les zigouilleurs de l'infini |
Kaput et Zösky sont deux extraterrestres terriblement cruels et méchants, enfin, surtout Kaput, même si Zösky cache bien son jeu... Leur seul et unique but dans la vie semble être de détruire, de tuer le maximum d'êtres vivants et d'amasser le plus de pognon possible... Ils vont ainsi de planète en planète, fermement décidés à tout casser ou voler, mais leur bêtise, leur orgueil démesuré, leur méconnaissance des univers visités, sans compter leurs engueulades ne font que leur attirer un maximum d'ennuis ! |
  oslonovitch
| Une BD destinée à un jeune public avec deux héros, Kaput & Zosky, deux E.T. qui n'ont qu'un but dans la vie : envahir des planètes, oppresser leurs habitants et tout faire péter.
Ces Adolf & Bénito transposés dans un environnement SF sont vraiment dégénérés, mais parviennent quand même à nous faire sourire sur certaines planches. Ces courtes histoires sont en effet d'une qualité très inégale, et si certaines sont bien marrantes, d'autres sont peu intéressantes.
Je ne sais pas ce que ça peut donner, lu par les yeux d'un gamin mais pour moi, c'est loin d'être indispensable... |
CoeurDePat
| "Kaput & Zösky" : voilà une petite BD qui se veut bête, méchante et rigolote.
Le public visé semble bien être un peu jeune, certes moins que pour les "Monstrueux..." et "Venezia", mais plus que pour les autres livres de Trondheim.
Les histoires sont courtes, entre une et six pages, et basées sur quelques idées récurrentes : tout pêter, dominer ou casser une planète, aller au casino. De qualité inégale, certaines sont franchement plaisantes, alors que d'autres m'ont quelque peu laissé de marbre.
Dans l'ensemble, je dirais que cet album est dispensable. |
pikipu
| Il y a le Trondheim de Lapinot, le Trondheim de l'Association, le Trondheim de l'Oubapo, le Trondheim du Donjon... et le Trondheim de Kaput et Zösky.
Alors forcément, c'est du Trondheim. Les dessins sont toujours aussi attachants, c'est un fait. Le scénario, qui met en scène deux tortionnaires de l'espace de pacotille, est toujours un peu déjanté. Mais il manque la poésie, l'humour et le regard lucide du Trondheim que l'on aime. On sourit parfois, on s'ennuie souvent et l'on est jamais conquis.
Comme quoi, ça arrive même aux meilleurs. |
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