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| Inu-Yasha et ses amis sont toujours à la poursuite de l’ignoble Naraku. Chacun assume son propre destin… Mais, même dans les moments difficiles, ils continuent à conserver sourire et optimisme. L’essentiel étant qu’ils soient tous ensemble ! |
  herbv
| Toujours à la recherche des morceaux de la perle de Shikon, toujours à la poursuite du mystérieux Naraku, Kagome, Inu Yasha et leurs amis arrivent dans un village où la maison du maire se révèle être hantée par un monstre. La routine donc… Après l’avoir défait, il ne leur reste plus qu’à reprendre leur chemin. C’est ainsi qu’ils vont croiser Kôga, lui aussi à la recherche de Naraku. Peu après, c’est sur Kagura, une des âmes damnées de leur ennemi commun qu’ils tombent. Évidemment, tout ceci ne peut déboucher que sur des combats. Malheureusement, c’est la nouvelle lune, ce qui contraint Inu Yasha à devenir humain pendant ce temps. Le Hanyo et Kôga seront-ils contraints de s’associer pour vaincre ?
Malheureusement, comme il s’agit du 21e volume et que la série en totalise 56 au Japon, on se doute dès le début que l’intrigue ne va pas avancer beaucoup. Deux des ennemis d’Inu Yasha apprennent qu’il se transforme en humain pendant les nuits de nouvelle lune. On imagine sans peine qu’ils sauront en profiter à un moment ou à un autre mais sans pouvoir l’emporter pour autant. On voit la relation entre Sango et Miroku évoluer un peu, mais si peu qu’à ce rythme, le fameux Détective Conan aura eu le temps de percer le secret des hommes en noir avant que nos deux amoureux-qui-s’ignorent ne s’embrassent.
Vous l’aurez compris, la série Inu Yasha traîne en longueur comme cela ne devrait pas être permis. Et pourtant, malgré une adaptation française toujours aussi médiocre, Kana n’étant pas un des plus mauvais éditeurs francophones pour rien, un scénario indigent et des personnages passablement fades, on peut quand même réussir à apprécier les combats qui, même s’ils sont nombreux, ne durent jamais longtemps, et l’extraordinaire bestiaire qui nous est proposé par l’auteure, Rumiko Takahashi. Ses talents de conteuse sont toujours bien là et réussissent à nous divertir. Après tout, c’est peut-être sa seule ambition et dans ce cas, le contrat est rempli.
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