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| Miroku a sa main ensorcelée par Naraku… Sango a vu les siens se faire massacrer sous ses yeux… Ces deux personnages portent en eux une indélébile volonté de vengeance. Mais le temps adoucit les mœurs… Ils n’en sont pas moins des êtres humains et nourrissent des sentiments qui ressemblent à l’amour…!
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  herbv
| Quand le tome 16 de la présente série est sorti, ses lecteurs attendaient depuis plus d’un an de voir la fin du combat opposant Inu Yasha à Kagura, une maîtresse des vents extrêmement redoutable. Malheureusement, le long délai de parution entre les tomes ne change rien à l'impression que laisse cette série, tellement elle semble fade, sans souffle ni imagination, en comparaison des précédentes œuvres de Rumiko Takahashi (à commencer par cette célèbre série avec la charmante extra-terrestre en bikini tigré…). En 20 ans, on ne peut que constater une régression apparente dans la qualité des shônen de la mangaka numéro 1 au Japon. Et pourtant son talent est, en réalité, intact comme le montrent ses nouvelles paraissant dans le Big Comic Original. Quel gâchis...
Mais revenons à ce volume. Nous assistons donc sans passion à la victoire de Kagome, d’Inu Yasha et de leurs alliés sur Kagura, Kanna et leur maître Naraku, qui sont obligés de se retirer alors qu’ils avaient pratiquement gagné le combat. N’ayons pas peur pour la suite de l’histoire, ils reviendront encore plus forts. Effectivement, on a droit à tous les poncifs du genre, tout est ultra prévisible, vu et revu. En plus, il n’y a que très peu d’humour, ce qui n’aide pas à sortir l’histoire d’une médiocrité comme on n’en avait peut-être pas encore vu dans cette série, pourtant dans une bonne moyenne la plupart du temps. C’est donc sans aucune impatience que l’on attendra la suite, en se demandant si l’on pourra tenir jusqu'à la fin alors que la série totalise 56 tomes au Japon.
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