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  Cellophane
| Je suis mitigé.
Certes, l’histoire se conclut plutôt bien – et encore, il n’y a pas grande différence, au final, entre le début et la fin. C’est un instant fugace, un instant fugace de 174 pages tout de même. Peut-être y a-t-il trop de pages…
Certes, tout est bien mené, justifié, mais pour parvenir à nous conter l’histoire, l’auteur fait pas mal de redites. Elles se justifient, sont justes, mais restent des redites…
Il y a une ambiance glauque dans ce volume. Mais souvent, dans ce genre de contexte, on attend l’élément crucial qui nous libérera, qui nous fera souffler, une fois l’élément passé. Là, l'élément arrive mais n’a pas la puissance escomptée à mon goût.
Les dessins fonctionnent bien, en noir et blanc, déchirés, et contribuent bien à l’histoire. Les visions de nuit sont encore plus belles. Mais ces visions d’insomnie demeurent tout de même énigmatiques.
C’est une belle histoire, bien racontée, mais qui ne m’a pas touché outre mesure.
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