| C : Couleurs (album en n&b, mis à part le bonus)
Dès l’explosion de la radio d’Estebald en pleine séance de jardinage nocturne, et tout au long de ce premier volume, les signes de temps plus troublés encore que précédemment se multiplient — au point que l’on en regretterait presque l’arbitraire féodal crétin de RAISON D’ÉTAT. |