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| Après le succès de la fête de l’école et l’événement majeur qui a marqué sa fin, Junpei décide de se trouver un job pour offrir des cadeaux de noël à ses amies. Il se retrouve par hasard embauché dans le fast-food où travaille Satsuki… Et comme si ça ne suffisait pas voilà que son amie d’enfance Yui refait surface pour une cohabitation des plus hasardeuses… |
  herbv
| Junpei Kitaoji est toujours en pleine indécision, n’arrivant pas à se décider entre Tsukasa, Aya et Satsuki. Néanmoins, il n’a pas le temps de cogiter longtemps avec l’ouverture de la kermesse du lycée et la projection du film qu’il a tourné et réalisé avec l’aide du ciné-club recréé à cette occasion. Les fêtes de fin d’année approchant, il se sent obligé de faire des cadeaux à ses trois amoureuses et décide de prendre un petit boulot de serveur. Or, Satsuki travaille dans le même établissement, ce n’est pas sans compliquer les choses pour sa vie amoureuse. Cependant, comme si cela ne suffisait pas, voilà que Yui Minamito, une amie d’enfance et ancienne voisine venant de sa campagne profonde, débarque chez les Kitaoji le temps de passer le concours d’entrée au lycée où se trouve Tsukasa. Malheureusement pour Junpei, Yui est devenue une fille formée et la promiscuité, le sans-gêne de celle-ci ne sont pas sans lui créer de nombreux coups de sang. Pire encore, elle a décidé de l’aider dans sa vie amoureuse…
Ce cinquième volume d’Ichigo 100% marque une nette amélioration dans la qualité de la série. En effet, après deux tomes bien moyens qui ne nous avaient épargné aucun des poncifs du genre, l’arrivée d’un nouveau personnage, bien loin des individus coincés qui n’osent pas donner une tournure plus physique à leurs amours, redonne un certain rythme à l’histoire et donne l’occasion de s’amuser à nouveau à la lecture des mésaventures de Junpei. Certes, Yui est l’occasion pour Mizuki Kawashita de déshabiller ses personnages plus que de raison mais il est intéressant de noter qu'on ne voit jamais leur nudité, un obstacle venant toujours boucher la vue du lecteur. Le dessin reste de qualité et les filles sont vraiment plus mignonnes les unes que les autres. Malheureusement, cet opus est un peu gâché par un travail de lettrage particulièrement minable avec des choix de police de caractères atroces au niveau de la lisibilité et de l’esthétisme, ce qui est indigne d’une grande maison d’édition comme Tonkam. |
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