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© Vents d'Ouest

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Livre 1
ScénarioTolstoï Alexis | Rabaté Pascal
DessinRabaté Pascal
Noir et BlancRabaté Pascal
Année1998
EditeurVents d'Ouest
CollectionIntégra
SérieIbicus, tome 1
autres tomes1 | 2 | 3 | 4
Bullenote [détail]

En ces premiers jours de 1917, Siméon Ivanovitch Nevzorov s'ennuie au bureau, s'ennuie au lit, s'ennuie dans l'alcool. Il rêve de richesses et d'aventures sans avoir le courage d'entreprendre quoi que ce soit. Mais Siméon a de la chance : cette vie pleine de rebondissements qu'il n'arrive pas à forger par lui-même, la Révolution va la lui apporter sur un plateau ! Le chaos est une période formidable ! Il sufffit de se baisser pour ramasser les débris de la grande Russie, comme de l'or, de l'argent ou des âmes perdues... A condition, bien sûr, de faire preuve de cynisme et d'opportunisme. Et cela, Siméon Ivanovitch Nevzorov n'en manque pas, lui qui est né sous le signe de la mort, sous le signe du crâne parlant d'Ibicus...

Autre publication:

pl. 126 dans Cent pour cent bande dessinée

 

3 avis

jean loup
Très très bon. Rabaté s'est acheté par hasard aux puces un bouquin à trois francs de Tolstoï. Il découvre chez lui que ce n'est pas le Tolstoï de "Guerre et paix" mais un homonyme. Il le lit quand même. Il a bien fait. Son adaptation de ce livre qui raconte l'ascension d'un jeune homme aux dents longues dans la Russie de 1917 est magistrale. Dessin aussi original que maîtrisé, scénario excellent et novateur, découpage bien vu, rythme impeccable. Seul aux commandes, Pascal Rabaté s'impose avec un talent qui force le respect. "Un ver dans le fruit" était déjà prometteur. "Ibicus" m'a encore plus impressionné. On trouve peu de ce genre d'histoire en BD, et franchement, cela va peut-être donner des idées à certains scénaristes. Quant à toi, ami lecteur, hâte-toi d'ajouter cette perle à ton collier.
pikipu
J'ai longtemps hésité à lire Ibicus. A force d'entendre tant de gens vous dire que c'est très beau, que tu vas voir c'est super, que t'es con de pas l'avoir encore lu, on se dit que l'on va forcément être un peu déçu.

Que nenni!

On se réjouit déjà de sentir le poids d'un volume entre ses mains, parce qu'on se dit que ça justifie son prix. Et l'on se laisse transporter par ce dessin vaporeux, aéré, on se dit qu'on n'a jamais vu autant de nuances de gris, et l'on découvre un univers étonnant, des personnages étranges, Saint-Pétersbourg prête à accueillir une Révolution en marche.

1917 est là. Notre pauvre et insipide héros va-t'il devenir l'homme riche que lui a décrit cette voyante? A force d'y croire, va-t'il provoquer lui-même son propre destin dans cette période quelque peu troublée?

Devenu riche, faussement noble, étrangement amoureux, sûrement camé, que deviendra notre homme dans une Russie qui décime son ancienne noblesse et tout signe extérieur de richesse?

On regrette de ne pas déjà le savoir dans ce premier tome, mais vu le poids d'un seul volume, on se dit qu'il ne serait pas possible de tenir une intégrale de 4 tomes entre ses mains.

Et l'on attend impatiemment que son libraire ouvre ses portes ce matin. Car il nous reste encore 3 tomes à lire...
yakadmirer
Faisons simple, d'autres étant de bien meilleurs analystes : pourquoi lire Ibicus?
- Parce que c'est prenant
- Parce que c'est dépaysant
- Parce que c'est extrèmement joli
- Parce que la dernière planche.

En résumé : lisez Ibicus parce que.
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