Onizuka va commencer par sa spécialité… les problèmes familiaux. Pour le bien être de ses élèves, il cherchera des idées plus farfelues les unes que les autres. Mais vous ne savez pas le pire, c’est que ces méthodes fonctionnent. Le passé refait surface… un homme, une femme, une lettre, des souvenirs… (je vous laisse le suspense) ?
Fujisawa a su démontrer son talent de scénariste bien qu’il ne soit pas à son plus haut niveau. Le passé des collégiens traîne un peu en longueur et je pense que c’est le seul point noir de ce très bon tome. On obtiendra dans ce tome ce que l’on cherche à savoir depuis les premiers tomes et là maintenant si vous lisez ce tome vous le saurez enfin. Par ailleurs, il y a une petite fin comme on les aime, elle tombe à pic.